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Catégorie : La Revue de la Semaine

Création : 3 juin 2016

REVUE DE PRESSE  3 JUIN 2016

Cette semaine a éte celle de la sortie du Rapport de

, la Commission indépendante d’évaluation et de vérification électorale (Cieve). Le président de la Commission, François Benoit a remis officiellement le rapport au président jocelerme Privert qui, de son côté l’a remis au CEP

C’est donc au CEP que revient la mission d’appliquer les recommandations de cette commission

La première demande la reprise des élections présidentielles, car les élections de octobre 2015 sont entachés de tellement de tricheries qu’il n’y a pas moyen d’en faire quoi que ce soit.

Toute une pluie de suggestion est à l’ordre du jour.

Celle d’André Victor qui dit ceci:

Tout en étant conscient de la nécessité de refonder l’Etat-Nation et de répondre sans délai aux urgences nationales, la présente note concerne un problème conjoncturel et propose, non une solution de crise, mais une méthodologie rationnelle et objective pour gérer le projet de dialogue politique comme instrument non violent de sortie de crise.  Cette méthodologie se base sur la dynamique de groupe, en tant que domaine d’étude de la psychologie sociale et repose sur la théorie de l’organisation sociale, en tant que l’une des plus grandes inventions réalisées par l’homme sur notre planète

Celle de Fanmi Lavalas demandant au CEP et au BCEN de prendre  une décision conforme à ce que dit le rapport de la commission Et en conclusion de la note, on lit: Bien que la situation économiques soit très grave et se détériore de jour en jour le peuple haïtien a confiance et continue sa mobilisation jusqu’à ce que il trouvera de bonne élections libres, honnêtes, démocratiques qui mettra en scène un pouvoir légitime qui sera au service du peuple haïtien.

On a aussi la suggestion de Rasin Kan Pèp la demandant des élections générales à tous les niveaux et dans de bonnes conditions.

C’est tout le pays dit Rasin Kan Pèp la qui attendait les résultats du travail de la commission de vérification.

A l’exception de la poignée de supporters du PHTK et du bloc impérialiste ayant pour nom la Communauté  internationale. Et Rasin Kan Pèp la continue en ces termes:

Le travail de la commission a montré clairement qu’il n’y a pas eu d’élections. Aussi Rasin Kan Pèp la demande des élections générales à tous les niveaux, des sanctions contre les responsables de ce qui s’est passé le 9 aout et le 25 octobre, l’organisation des prochaines élections avec les ressources du trésor public et la reconstruction de l’appareil électoral sous la base d’une participation civique.

AUTRE NOUVELLES A SIGNALER POUR LA SEMAINE:

Le départ pour Cuba du président Privert qui  participera au  Septième Sommet des Chefs d’Etat et de Gouvernement de l’Association des Etats de la Caraïbes (AEC) qui se tiendra à la Havane,  Cuba le samedi 4 juin 2016.

Et puis des interdictions de départ en série qui ont été ensuite levées dès le lendemain.

Voici ce qu’en dit l’Agence Haïti Libre

Levée de la mesure d’interdiction de départ

Lâché par le Ministre de la justice, Me Jean Danton Léger a été obligé de se rétracter  dans les mesures d’interdiction prises à l’encontre des anciens ministres de Martely et des conseillers électoraux de l’admiistration de Pierre-Louis Opont.

“Le Parquet de Port-au-Prince informe le public en général et les intéressés en particulier qu’il a été décidé d’annuler les ordres d’interdiction de départ émis à l’encontre des membres de l’ancien régime et ceux de l’ancien conseil électoral provisoire en attendant la saisie des voies ordinaires de poursuite”

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Le Groupe de huit candidats à la présidence communément appelé Groupe des 8 (G-8) prône un compromis historique entre les acteurs politiques, en vue d’éviter le chaos, suite au rapport de la Commission indépendante d’évaluation et de vérification électorale (Cieve).

Ce « compromis politique historique » doit impliquer les trois pouvoirs de l’État, les acteurs de la société politique, économique et civile, avant le 14 juin 2016 (date de la fin du mandat du président Jocelerme Privert), souligne-t-il, dans une note en date du 31 mai 2016.

Face à la « vaste opération de crime électoral planifié de main de maître (…) » lors des élections de 2015, comme le souligne le rapport de la commission, le G-8 estime que « des sanctions exemplaires devront être prises pour que cela ne se reproduise plus ».

Il appelle les instances compétentes à approfondir les informations et agir en conséquence, conformément à la loi.

Le quotidien Le Nouvelliste dans un éditorial écrit: “ En soumettant son rapport lundi au président de la République, en présence de la presse et de diverses personnalités, la Commission indépendante d’évaluation et de vérification électorale a touché du doigt la plaie qui ronge ce pays depuis une vingtaine d’années. Toutes les faiblesses des opérations électorales ont été identifies par la Commission qui préconise la refonte du système électoral haïtien Il n’est un secret pour personne que la première grave crise électorale de l’après-Duvalier remonte aux élections du 21 mai 2000. Depuis lors, aucun gouvernement n’a pris les mesures nécessaires pour résoudre les problèmes constatés dans ce système électoral. Les différents gouvernements qui se sont succédés se montraient plus intéressés à exploiter les faiblesses du système au lieu d’améliorer le processus électoral. C’est dans cette optique qu’après chaque crise électorale, une crise politique voit le jour. Tut ceci explique qu’en l’espace de 19 ans le pays a connu 4 crises électorales qui ont valu une vingtaine de missions internationales.

L’hebdomadaire Haïti en Marche titre en première page de son numéro 20:  POLITIQUE : LE GRAND SUSPENSE. R´ESULTATS V´ERIFICATIONS, CALENDRIER ´ELECTORAL SUR FOND DE MISERE.

Et pendant ce temps, à Miami, l’ex-président d’Haïti, Michel Martelly, qui a repris depuis sa casaque d’ancien animateur de bal masqué, Sweet Micky, ne trouve rien de plus intelligent à déclamer que ‘je vous reviens aujourd’hui multimillionnaire !’
Multimillionnaire en effet, il l’est devenu. Avec cependant un salaire de président de la république qui ne dépasse pas 200.000 gourdes ou moins de 3.000 dollars le mois. Mais avec des per diem de 20.000 dollars par jour quand il voyage, avait relevé une agence locale de nouvelles,

et il ne s’est pas privé.
 Chaque jour la communauté nationale apprend jusqu’à quel point la bande à Martelly (nous avons failli dire ‘la banque’ à Martelly) a laissé le pays sur la paille.

L’actuel gouvernement provisoire a dû réduire son budget de fonctionnement de plusieurs milliards (de gourdes). Selon la Présidence, en l’espace de 5 mois, soit du 1er octobre 2015 au 7 février 2016 (date du départ du pouvoir de Michel Martelly), l’ancienne administration a dépensé 85%

de l’enveloppe budgétaire.
 Des fonds Petrocaribe qui fournissaient au budget public entre 20 et 28 milliards de gourdes, seulement 3 milliards sont disponibles.

En même temps, le support budgétaire international est passé de 5 à 2 milliards. Parce que de plus, l’ex-gouvernement n’a pas fourni aux institutions financières internationales (Fonds monétaire) les rapports sur les fonds préalablement décaissés. Toute cette actualité crée bien entendu un énorme suspense. Dans quelque camp que l’on se place, celui de l’ex- président Martelly et de son successeur désigné, Jovenel Moïse,

ou de l’opposition divisée elle-même en différentes branches et sous-branches.

La communauté internationale joue un rôle non déguisé. Et ne cachait pas, jusqu’à récemment, sa préférence pour la victoire du candidat du régime sortant.

Officiellement elle n’a pas changé d’avis. Malgré les nombreuses évidence du désordre généralisé et du vrai pillage qui ont caractérisé la gestion économique de ce dernier.


Du mot de Roosevelt: ce sont peut être des salauds, mais ce sont nos salauds !

D’ailleurs si c’était le cas, vous diront les représentants de l’International, pourquoi n’avoir pas mis l’action publique en mouvement?

Jusqu’à la récente attaque contre le commissariat de police des Cayes qui a laissé un policier mort, qui peut faire partie du même scenario.

Pourquoi l’action publique n’est-elle pas réellement mise en mouvement là non plus ???

Comme un corset que l’on doit nous forer à endosser coûte que coûte. Dune façon ou d’une autre. Un lit de Procuste. En usant de différentes manettes à la fois : misère économique atroce, accompagnée de provocations à la chaine de Martelly, auditions parlementaires à suspense, tentative de putsch… en attendant la suite !

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Catégorie : La Revue de la Semaine

Création : 18 juin 2016

LA REVUE CETTE SEMAINE COMMENCERA AVEC LA REUNION DE L’ASSEMBLEE NATIONALE, AU COURS DE LAQUELLE AUCUNE DECISION DEFINITIVE N’A ETE PRISE, PAR MANQUE DE QUORUM. 

Cependant d’après l’accord du 5 Février, le mandat du president provisoire JOCELERME PRIVERT devait expirer le 14 juin 2016 si aucune décision n’était prise pour prolonger son mandate.

Or un groupe de  sénateurs ayant laissé la séance en pleine discussion, il n’y a pas eu de  quorum et aucune décision n’a pu être prise.

Dans la soirée du 14 Juin, le président ai Jocelerme Privert s’adressait à la nation pour rappeler que sa mission était d’organiser les élections. Celles-ci n’ayant pas encore eu lieu, il n’était pas question pour lui de s’en aller.

Réactions à la  chaine, suite à ces deux événements.

Nous vous parlerons d’abord de la note de Ban Ki Moon dans laquele on lit ceci:

Seule L’Assemblée Nationale est capable de décider sur la gouvernance provisoire pour l’achèvement du processus électoral.

Aussi le Secrétaire général appelle t-il  l’Assemblée nationale à prendre une décision de manière urgente et à déterminer un arrangement viable pour la gouvernance provisoire ceci pour assurer l’achèvement des élections et le retour à l’ordre constitutionnel sans plus attendre.

Ensuite nous avons cette dépêche de Haïti Libre concernant cette déclaration du Sénateur Jean Baptiste Bien aimé, un pro-Privert.

Il signe avec 10 de ses collègues sénateurs une déclaration qui prône la poursuite de l’accord du 5 février 2016 et la prolongation du mandat de l’ex Président provisoire jusqu'à l'installation d'un nouveau président élu, au plus tard le 7 février 2017 ; si l’Assemblée nationale se tient, Jocelerme Privert a une forte probabilité de voir son mandat prorogé.

L’INSECURITE continue à gagner du terrain.

Rezonodwes annonce la mort de Michel Stéphane Bruno un jeune et dynamique technicien appartenant au secteur technologie et qui a beaucoup oeuvré durant sa courte vie pour le développement de la nation.

Né à Port-au-Prince Michel Stéphane BRUNO est un consultant haïtien en système d’information, un passionné de la technologie et de l’économie du savoir qui oeuvre depuis plus d’une dizaine d’années dans le domaine de a technologie au niveau national, régional et mondial. Il a été assassié à Port-au-Prince, dans des conditions pas encore rendues publiques.

Poursuivons la Revue avec un article de Jacqueline Charles extrait du Miami Herald. “ Comme le mandat du président provisoire est terminé écrit la journaliste, qui est maintenant en charge? Et la journaliste Jacqueline Charles opine que les Parlementaires  ont manqué à l’appel en désertant leur poste, ce qui a empêché toute décision sur la question qui pourtant parait basique: Est-ce que le président par interim Jocelerme Privert doit rester à son poste ou bien doit il être remplacé par le Premier ministre Enex Jean charls ou par un autre leader qui occuperait la présdience par interim.

Tout ceci laisse les Haïtien déjà occupé à lutter contre la sécheresse, le Zika et affaisé par la pire crise économique que le pays ait connu depuis 15 ans.

Personne ne peut repondre à cette question : QUI EST MAINTENANT EN CHARGE.

Personne ne sait en effet.

Pour le present quart d’heure, Privert est un president de facto, disent certains.

Rien de tout cela ne serait possible si le pays n’était pas divisé.

Privert, dans son adresse à la nation a fait savoir qu’il demeurait patient, attendant la decision de l’Assemblée Nationale. Il a rappelé ses réalisations Durant les derniers 120 jours qu’a duré son mandat.

Le Premier ministre dit ne pas aimer cette situation qui le met en sandwich entre le Président et le parlement. Il a rappelé que ce qu’il veut par dessus tout c’est empêcher le moindre incident à travers els rues de la capital. Cette crainte de débordement de la situation inquiète aussi la communauté international.e Ce que nous attendons de vous, ditu ne haute personnalité des Nations Unies, c’est que vous preniez une decision. Si vous décidez de prolonger le mandate du president Privert, nous sommes prêts à travailer avec lui Si vous ne voulez pas étendre son manda, nous sommes d’accord. Quelque soit votre decision, nous serons avec le peuple haitien, du moment que cette decision ne soit pas inconstitutionnelle.

Un officiel américain dont la journaliste n’a pas cite le nom, de son cioté a rappelé que Durant les 2 dernières années, Haïti est en pleine crise politique. Son économie n’a fait que dégringoler, à l’image de sa monnaie locale.Et puis il y a la sécheresse il y a le ZIKA. Aucun investissement sérieux n’a eu lieu. Vraiment la clase politique semble ne pas se pencher sur ces problènes parce que tout le monde ne semble que s’acrocher au problème des électios qui ne réussissent pas à avoir lieu.

C’est une chose terrible pour Haiti et certainement une terrible chose pour l’Haïtien moyen qui se préoccupe de savoir ce qu’il va donner à manger à sa famille ce soir, plutôt que de savoir si oui ou non Privert est toujours president du pays.

Et en guise de conclusion: ces mots de Kathleen Desravines:

J’en ai marre !

Moi en tant que citoyen haitien, j’en ai marre de tout et de tous

Marre de soutenir la bétise, les coups fourrés des uns et des autres conmnés  à foirer et qu’on nous présente cependant comme étant des preuves d’intelligence et de patriotisme, de magouilles acceptables !

( et nous sommes sûrs que cette jeune femme Kathleen Desravines exprime tout haut l’opinion de la majorité silencieuse…

Oui. on en ont marre…Marre de tous et de tout…

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Catégorie : La Revue de la Semaine

Création : 1 juillet 2016

C’est vendredi 1^er Juillet aujourd’hui et en principe que l’Assemblée Nationale doit se tenir…

 A quelle heure ? 

L’Heure n’a aucune importance, puisque on ne la respecte pas au sein de la 50 ème Législature.

La séance de l‘Assemblée Nationale commencée déjà mardi et qi a avorté se serait poursuivi hier mercredi et jeudi avec es rencontres de groupe, avons nous appris et ce matin, d’après déclarations faies par le président a.i. du Bureau du Sénat reprendra aujourd’hui 1^er millet, toujours sur le même sujet :

L’on sait que l’Assemblée Nationale doit se réunir pour statuer sur le sort du Président Jocelerme Privert dont le mandat est arrivé à expiration depuis le 14 Juin dernier.

 Il s’agit soit de mettre fin au mandat de Jocelerme Privert, soit de le prolonger jusqu’à  l’installation le 7 février d’un nouveau président.

 Là dessus, les avis sont pluôt unanimes à condamner ce qui s’et passé à la Chambre MARDI.

1- Nous avons celui de Nenel Cassy

«  Si Jocelerme Privert quitte le pouvoir avant les élections, il passera pour un traître ».

«  Jocelerme Privert reste et demeure le président de la République d’Haïti. Il est vrai que son mandat avait une duré de 120 jours mais il avait aussi une mission qui était d’organiser les élections pour le renouvellement du personnel politique du pays. C’est ce qu’on lit dans la Note de Nènèl Cassis.

 Sa mission n’est pas encore achevée.

Jusqu’à ce que l’Assemblée Nationale se prononce sur son sort Jocelerme Privert a le devoir de rester au pouvoir, d’assumer ses responsabilités jusqu’au bout. Si Jocelerme Privert quitte le pouvoir avant la tenue des élections, il passera à nos yeux et au yeux de la nation pour un traitre. Aussi dois-je ajouter que l’assemblée des députés et des sénateurs est dans l’obligation d’accorder une prolongation au chef de l‘Etat. Le pays ne peut pas faire machine arrière. Tous ceux qui sont contre l’actuel chef d’Etat son contre la stabilité. Le pays ne peut plus faire l’expérience cauchemardesque du passé :

 ( déclaration de Nenel Cassy  publiée dans Chalenge)

2-  L »AHP ,  l’Agence Haïtienne de Presse publie une dépêche dans laquelle on lit :

« Le parlement  haïtien n’est pas parvenu MARDI  à prendre une décision  sur le mandat du président Jocelerme Privert, passant plus de 8 heures de temps à jouer la comédie: 

 Les parlementaires pro PHTK et alliés particulièrement ciblés et  accusés d’avoir exigé  en vain de l'argent et d’importants autres  privilèges dont des postes ministériels, ont fait échouer une séance en assemblée nationale après avoir sollicité son interruption à deux reprises.

 Après les réactions indignées  de nombreux sénateurs et députés  qui ont accusé leurs collègues de l'opposition de responsablité dans les récentes violences ayant frappé le pays,

3-  le CORE Group qui réunit les Ambassadeurs du Brésil, du Canada, de l’Espagne, de la France, des États-Unis d'Amérique, de l'Union Européenne, et la Représentante spéciale de l'Organisation des États américains, a déploré l’incapacité du Parlement à exercer ses responsabilités en vertu de l’article 7 de l’Accord du 5 février.

Il exhorte les députés et les sénateurs à poursuivre sans délai la séance pour mettre fin à l’incertitude qui prévaut depuis le 14 juin dernier, date à laquelle le mandat du chef de l'Etat est censé avoir pris fin, selon ledit accord.

4-        Pour sa part, la Secrétaire générale de l'organisation internationale de la francophonie, Michaelle Jean,  se déclare préoccupée par la situation en

Haïti  La Secrétaire générale qui est d'origine haïtienne, a  exprimé mercredi  sa préoccupation quant au contexte dans lequel se poursuit le processus électoral en Haïti. « Je tiens une fois de plus à souligner la nécessité de maintenir un climat politique apaisé pour pouvoir conduire à son terme le processus électoral, essentiel à la stabilité du pays » a déclaré la Secrétaire générale. « A cet égard, je condamne tous les actes de violence qui ont été

enregistrés ces derniers jours et j’en appelle au sens de responsabilité de tous les Haïtiens et Haïtiennes », a-t-elle ajouté.

5-        L’homme d’affaires Rudolphe BOULOS, opte pour le maintien de Jocelerme Privert jusqu’aux prochaine élections… L’ancien sénateur de la 43 ieme legislature, Rudolph ” Roudy” Boulos estime que le président provisoire de la république, Jocelerme Privert devrait être maintenu au pouvoir pour l’organisation des prochaines joutes électorales dans le pays. L’ancien sénateur de la 43 ieme legislature, Rudolph ” Roudy” Boulos estime que le président provisoire de la république, Jocelerme Privert devrait être maintenu au pouvoir pour l’organisation des prochaines joutes électorales.

 6-        L’ancien colonel  Himmler Rébu a jugé  malheureux de constater que certains parlementaires, au lieu de s’acquitter de leur vraie mission, ne cherchent qu’à défendre des intérêts particuliers. Il appelle la population à prendre note du comportement de ces élus et à être plus vigilants dans leur choix. 

7-        Et puis pour finir avec ce chapître des réactions âpres le spectacle dont nous ont gratifié les parlementaires pendant toute la journée du mardi et une bonne partie de la nuit du mardi au mercrdi ( 28 au 29 Juin 2016)

nous attirons votre attention sur  DEUX EDITORIAUX

D’abord celui du Nouvelliste : l’Editorial d Nouvelliste. Un Editoral dont le titre en ditp long : RAPACS ET ECORCHEURS E LA REPUBLIQUE. C’est le titre de cet édito poste le 29 Juin sur le site internet aussi du journal.

Et on y lit :

Après avoir enu l’actualité en haleine pendant plus de 16 heures de la convocation annonçant la séance en Asemblée nationale pour 11 heures du matin mardi jsqu’au oment où le président cholzer chancy a annoncé, âpres 3 heures du matin, mercredi que, faute de quorum la séance alat être mise en continuation, les parlementaires haïtiens ont éussi lexploit de ne même pas pu se mettre d’accord sur un ordre du jour. En un mot, l’Assemblée nationale n’est jamais entrée dans le vi du sujet qu’elle s’est éteinte à petit feu, asphyxiée par les minoritaires qui ont multiplié les interventions avant e filer à ‘anglaise. Faut-il revenir sur les motivations des uns et des autres ? Des proches du pouvoir ou des opposants ? Le Parlemen est une assemblée politique et il est normal que chaque camp déende ses position, cherche àobtenir le plus de concessions et d’avantaes. C’est le jeu parlementaire qui permet cet exercice en l’absence de majorité claire.

Et Le Nouvelliste, un peu plus loin poursuit en ces termes : La séance en Assemblée nationale s’est terminée mecredi en queue de poisson parce que les chats n’ont pas été satisfaits.. Ils sont restés sur leur faim de postes et de petits cadeaux.

Et un peu plus loin le qotidien conclut : Le Parlement, depuis la législature de 1988 a toujours eeté rebelle, chacun y a toujours cherché à avoir des avantages pour son patelin, pour ses proches, pour sa poche. DE 1988 à 2016, lappétit de nos élus a décuplé de façon exponentielle et inversement proortionnele aux capacités du Trésor public. Ce qui, malheureusement diminue, c’est leur habileté et leur disponibilité  à faire leur travail et à prendre leurs responsabilités.

A les rapaces, nos, vos, leur amis. Ils dépècent la république. Nous devons les aider à trouver le bon chemin.

 L’autre éditorial est celui du quotidien LE NATIONAL Il est intitulé : EN CHUTE LIBRE

Nos élus au Parlement, mal élus ou pas, auraient pu prendre de la hauteur en cette soirée du 28 juin 2016. Il est vrai que traditionnellement ici, on choisit la nuit justement pour ne pas prendre de la hauteur. La nuit, l’obscurité, les ténèbres ont été toujours choyées par nos comploteurs invétérés comme si l’absence de lumière nourrissait les sombres instincts et leur permettait de se déployer pleinement.

Il est difficile de prendre de la hauteur quand on s’évertue à creuser. On glisse vers les bas-fonds. Si ladite séance en Assemblée nationale a eu lieu, elle a duré des heures pour se terminer en queue de poisson après un débat finalement absurde pour l’adoption de... l’ordre du jour.

Voici à quel point sombre une nation. Aux mains de parlementaires qui ne peuvent s’entendre sur un ordre du jour alors que les citoyens, jour après jour, ne savent plus où donner de la tête avec une situation économique de plus en plus catastrophique qui va être ardue à gérer quand viendra l’instant de la rentrée des classes. Tout est indexé à la hausse alors que les salaires ne bougent pas, que la gourde lentement continue à se déprécier.

Mais nos parlementaires pour la plupart continuent leur petit jeu de pouvoir. Le ton avait été donné avec tous ces élus et anciens élus qui se sont dépêchés de décrocher des postes de ministres certainement pour être plus proches de la fontaine tant convoitée. On n’est pas parlementaire pour venir voter des lois et faire débats sur les grandes directions à donner à l’État et ainsi faire avancer la communauté, mais uniquement pour assouvir ses instincts de petits chefs.

 Et avant d  lore ce triste chapitre, une réflexion faite par le Groupe Jean Vorbe dans la dernière edition de la revue:

 Une fois de plus, nous n’arrivons pas à transformer une crise sérieuse en défi extraordinaire. Nous préférons fermer nos yeux et boucher nos oreilles aux leçons que nous enseigne l’histoire. Notre évolution future est donc plus qu’hypothétique. Notre capacité de changer notre condition d’individus insouciants (pour la grande majorité), à celle de citoyens responsables, l’est davantage. Nous sommes, semble-t-il, condamnés à répéter les mêmes erreurs... à errer… à divaguer… à dérailler …

 A moins que ne viennent à sortir de cette caverne de fous, quelques braves compatriotes qui, sans peur, voudraient affronter les démons qui nous habitent et nous conduire sur la voie de la renaissance. Renaissance de la conscience citoyenne. Renaissance des secteurs clés de la vie collective aussi.

 JEUDI SOIR on apprenait qu’aucune date n’avait encore été fixée pour la reprise de la séance en Assemblée Nationale Séance qui devait être décisive concernant le sort du Président Jocelerme Privert. Le bureau de l’Asseblée, ous dit on continue à discuter avec les différents blocs au Parlement au sujet de la date qui serait la plus favorable et pour les députés et pur es sénateurs. Vrai ou faux ?

Nous ne pouvons y croire..

IL ne reste que d’attendre…

AFFAIRE ATTAQUE CONTRE LA VOITURE DE JEAN HENRY CEANT

 Que s’est-il passé au niveau de Fonds Parisien/ Malpasse et concernant la voiture du candidat Jean Henri Céant ?

 Selon des informations communiquées par le Présient du Syndicat de la zone, une Barricade avait été érigée , site à un malheureusement incident impliquant un chauffeur de la zone et des policiers qui auraient tiré pour arrêter un individu souponné d’avoir accompli un acte malhonnête.

Un chauffeur de transport aurait reçu une balle Mawon et aurait été transpoté à l’hôpital.

Ses collègues auraient érigé n barricade pour protester. C’est alors qu’arrive le chauffeur de Me Céant au volant dune voiture que le candidat avait fait chercher de la République dominicaine.

 Le chauffeur du véhicule est sommé de s’arrêter

Au lieu e le faire, les gardes du corps se trouvant à l’intérieur du véhicule se mettent à tirer.

La foule riposte en lançant bouteilles pierres et autres projectiles…

 Le chauffeur tente de se dégager. Et c’et ainsi que dans son affolement en faisant ne marche arrière, il heurte un talus, les coups de pierre, et de toutes sores de projectiles se multiplient. Le chauffeurs, les gardes du corps doivent trouver refuge au commissariat de Malpasse.

 NOUS ALLONS ENCORE REVENIR AU QOTIDIEN LE NATIONAL qui dans sa dernière édition titre :  PAS DE DENOUEMENT EN VUE.

 Il s’agi de la greve au sein de la sane pubique.

 La situation dans les hôpitaux publics du pays est devenue plus complexe. À présent, il n’y a aucune relation entre les résidents et les autorités du ministère de la Santé publique et de la Population (MSPP). Selon les informations fournies au journal, les négociations ont été interrompues avant même l’échéance du mandat du président provisoire Jocelerme Privert. Pour ne pas perdre le fil du mouvement, les résidents

annoncent la reprise de la mobilisation pour bientôt.

 Et pour finir ce cri d’alarme que pouse le journal concernant la Place Pétion au Champs de Mars

 La place Pétion, fermée depuis Carifesta

Depuis la 12e édition du festival des Arts caribéens, Carifesta, qui a eu lieu en Haïti, du 21 au 30 août 2015, la place Pétion, située au Champ-de-Mars, n’est plus ouverte au public. Cet espace qu’on a réaménagé et qu’on a mis au service du « Grand Market » est depuis lors clôturé par des tôles rouges. À environ une année plus tard, des citoyens commencent à se poser des questions …

C’était notre revue pour la semaine

…

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Catégorie : La Revue de la Semaine

Création : 16 juillet 2016

UN CAMION FONCE DANS LA FOULE A NICE ET FAIT DES DIZAINES DE MORTS.

 Une dépêche de l’AFP ouvre la Revue cette semaine avec cette nouvelle concernant ce nouvel attentat en France et ce le jour de la Fête Nationale, le jour de la Bastille. Au moins 70 personnes sont mortes jeudi soir à NICE, dans le Sud de la France, fauchées par un camion qui a roulé dans la foule sur une distance de deux kilomètres a déclaré le parquet de NICE à l’AFP.Selon le procureur de Nice, Jean Michel Priètre, il s’agit d’un premier décompte réalisé par les pompiers. Une foule très dense était venue participer à une soirée festive et regarder les feux d’artifice pour la Fête nationale sur la Promenade des Anglais, haut lieu touristique près de la Méditérannée..

 L”ASSEMBLEE NATIONALE AVORTEE 

 14 Juillet: Une nouvelle fois, la séance en Assemblée Nationale  avortée. Cette fois-ci c‘est l’absence de quorum au niveau de la chambre basse qui a été déterminante.

Après deux appels nominaux, le président de l’Assemblée nationale, le député Cholzer Chancy n’a eu d’autres solutions que d’annoncer l’avortement de la séance. Une situation qui frustre les membres de la majorité au sénat qui accusent leur pair de fuir les débats.

Le premier appel nominal avait accusé la présence de 50 députés et de 18 sénateurs et le second appel a accuse la présence de 55 députés et de 16 sénateurs.

Donc le quorum pour tenir la séance en Assemblée nationale n’a pas été atteint…

 BILAN DES DERNIERES OPERATIONS POLICIEES

 La Police nationale d’Haïti a présenté mercredi 13 juillet le bilan de ses opérations dans treize communes de la région métropolitaine de Port-au-Prince. Ces opérations qui s’étendent du 1er Juin au 12 Juillet ont conduit à 916 arrestations et d’importantes saisies d’armes à feu et de motocyclettes illégales, a informé le port parole adjoint e la PNH, l’inspecteur Gary Desrosiers.

REZONODWES renseigne sur cette voleuse criminelle.

Une femme jugée pour s’être enrichie avec des dons offerts pour Haïti .

Cela se passé à Raleigh, en Caroline du Nord. La femme Jennifer Pierce affirme avoir voulu aider Haïti après le tremblement de terre de JANVIER 2010. Aussi s’est-elle mise à collecter des dons. Mais ces dons ne sont jamais arrives en Haïti, affirment aujourd’hui les autorités. Elle les a vendu les uns après les autres et a tout simplement empoché l’argent.  Jennifer Pierce qui a dirigé : SHARE OUR SHOES CHARITY est aussi accusée d’utiliser son organisation de bienfaisance bidon pour exercer d’autre genre de fraudes.

Aujourd’hui, elle s’est retrouvée au tribunal de Raleigh, en Caroline du Nord. Le mercredi 13 juillet elle a du faire face à de multiples accusations y compris l’obtention de biens sous de faux prétextes et l’accès illégal   à la base des données des corporations .

Depuis 2012, le permis de Jennifer Pierce avait été révoque quand on a découvert qu’elle a vendu les milliers de paires de chaussures qu’elle avait collecté pour les envoyer en Haïti.

L’acte d’accusation du grand jury vise également une autre société dirigée par Brian Keonte Chevalier. Dans ce cas l’organisation de bienfaisance qu’il dirigeait recueillait des tablettes et des milliers de téléphones portables pour les Haïtien. Tout a été revend et la société de Brian Keonte Chevalier a realisé des milliers et des milliers de dollars …

THE MIAMI HERALD, avec cet article de Jacqueline Charles donne des précisions sur ce problème bancaire qui affecte Presque toute la Caraïbe aujourd’hui.

Il s’agit d’une décision prise par les Etats-Unis de couper toute relation entre le système bancaire américain et certaines banques de la Caraïbes.

De nouvelles règles ont été adoptés par les banques américaines qui ne jugent pas rentables ce genre de relations avec les banques de la Caraïbes

Au moins 16 banques réparties dans 5 pays de la Caraïbes sont affectées par ce casse tête depuis le mois de mai. Ces régulations qui deviennent e plus en plus sévères peuvent forcer les gens à chercher d’autres moyens pour transférer des fonds de chez eux vers les banques américaines.

Jacqueline Charles parle de Belize, de la Jamaïque et de la Guyane où les chèques tires sur des banques américaines prennent encore beaucoup plus de temps pour être “ CLEAR”, c’est à dire pour être payés. Le Vénezuéla est le dernier pays en date à être victime de ce casse tête avec la City Bank qui vient de décider qu’elle allait suspendre certaines opérations dans ce pays. Il s’agit de Credit Card Charges dans les hôtels, de payment liés à différents achats.

L’Afrique, l’Amérique Latine, tout le monde est confronté à ce genre de problèmes. Mais le pays le plus affecté est Bélize où seulement 2 banques américaines maintiennent un service complet dans le pays.

ENCORE LA PRESSE ECRITE, le quotidien The National publie une vue de la salle d’audience du Parlement qui désespérément est restée vide avec un grand titre La législature de la paresse.

Les Correcteurs eux aussi ont observe  un arrêt de travail.

Toujours dans le National une revue de la situation dans les différentes administrations communales du pays. Et c’est partout pareil. Des caisses desespérément vides et une dette immense.  Tout à tourné sons=t passes en revue les administrations communales de Pétion Ville, Jacmel, Sant Marc, … et c’est partout pareil  Un nombre incalculables d’employés dont certains n’ont jamais mis les pieds sur leurs lieux de travail et qui reçoivent leur chèque chaque mois /tout est stoppé et les révocations vont bon train. Cela ne va pas sans des grincements de dents.

HAITI EN MARCHE parle culture AVEC CE GRAND TITRE:  Haiti, un pays qui n’est pas à la hauteur de ses héros.

Autre titre : Crise et blocage : Quand Haïti joue avec le feu.

Mais aussi celui ci: US pas d’aide pour les élections.

US Pas un sou pour les élections: Washington souffle sur le feu !

POURRISSEMENT DE LA SITUATION

( C’est un autre titre) et en sous titre : Raz le bol et anarchie.

Je ne sais pas si il vous en faut encore davantage.

Dans le même hebdomadaire on lit que deux étudiants haïtiens retrouvés morts au Sénégal. Il s’agit de FEDNESKY DERONVILLE ET DE MARCELIN EDOUARD. Agés respectivement de 24 et 29 ans, ces deux futurs ingénieurs ont été retrouvés morts le vendredi 28 juin.
Rien n’a filtrer concernant les causes de leur mort …

INSECURITE: assassinat de Wilhelms Edouard une mort qui frappe encore plus que toutes les autres. La liste continue de s’allonger. La police a commence a prendre des mesures pour un contrôle de ces homes a moto qui tuent et disparaissent dans la nature Cependant cela ne semble pas leur plaire puisque les hommes a moto ont fait une manifestation jeudi pour protester contre ce qu’ils appellent les tracasseries de la police qui les empêche de gagner leur pain…Et pourtant ils tuent, assassinent en pleine rue.

 Jamais un assassin n’a été dénoncé par un autre homme à moto. L’assassinat terminé, l’homme à moto disparait et ses collègues qui pourtant sont partout dans les rues juchés eux aussi sur leurs moto, gardent le silence. Eux aussi n’ont rien vu. Et ils continuent à braver les automobilistes, à graver leurs véhicules , arracher leurs rétroviseurs, à foncer dans les sens uniques,

 Oui ils sont tout puissants. Ils font la loi et quand la police se permet de chercher à y mettre un peu d’ordre, ils gagnent les rues et organisent une vaste manifestation de protestation.

 LE NOUVELLISTE ANNONCE UN MORATOIRE EN FAVEUR DE NOS COMPATRIOTES VIVANT EN REPUBLIQUE DOMINICAINE…

C’est là une excellente nouvelle qui est accueillie avec un OUF DE SOULAGEMENT

On lit dans l’EDITORIAL du quotidien, édition du 14 Juillet: La Direction de la migration dominicaine après le feu vert du président Danilo MEDINA a décidé , en début de semaine, de retarder d’une année la déportation de 130.000 Haïtiens en situation irrégulière par rapport au Plan national de régularisation des étrangers. Ces Haïtiens qui, pour la plupart, avaient versé entre 5 et 8 mille pesos aux différents services consulaires haïtiens en territoire dominicain n’ont pu jusqu’à présent obtenir les pièces d’identité nécessaires pour être en règle avec le Plan National de régulation des étrangers. Les critiques de part et d’autre à travers le monde, sur l’arrêt 168-13 du Tribunal constitutionnel dominicain, avaient poussé le gouvernement de ce pays à adopter toute une série de mesures afin d’atténuer les conséquences de cet arrêt.  Sachant que beaucoup d’Haïtiens en république dominicaine notamment les travailleurs sont dépourvus d’une quelconque pièce d’identité, le gouvernement Medina devait profiter de cette circonstance pour mettre en place ce plan de régularisation des étrangers. Dans un sens comme dans l’autre ce plan a été conçu afin de trouver un moyen légal pour rapatrier un grand nombre d’Haïtiens ayant travaillé depuis plusieurs années et qui ne se sont jamais munis d’une pièce d’identité. Pur l’année 2015, la direction de la migration dominicaine a rapatrié environ 100.000 Haïtiens. A l’annonce de ce plan de régularisation en juin 2014, l’administration Martelly avait mis sur pied quelques mois plus tard le Programme d’identification et de documentation des immigrants haïtiens. On avait cru à une décision importante qui allait résoudre le problème des migrants haïtiens dépourvus de pièces d’identité en territoire voisin et également entendre ce programme dans les autres pays de la Caraïbe où nos compatriotes se sont réfugiés sur des embarcations de fortune, notamment au Bahamas et au Iles Turcks and Caicos. L’administration MARTELLY a échoué écrit Le Nouvelliste dans ce programme en République dominicaine. Pendant cette période, des dizaines de millions de dollars tires des fonds Petro Caribe avaient ´té utilisés par ce gouvernement dans des contrats qui n’ont jusqu’à présent pas été honorés et le quotidien de conclure:

En obtenant des autorités dominicaines un moratoire sur ce dossier pour une année, car le 18 juillet prochain le rapatriement allait débuter, le président provisoire Jocelerme PRIVERT  A FRANCHI UN GRAND PAS. Va-t-il enclencher le processus là où l’administration Martelly a échoué ?

Ou le laissera t-il à l’appréciation du président qui sortira vainqueur de l’élection de cette année

 ET c’était l’édiorial de LEMOINE BONNEAU du NOUVELLISTE qui ferme notre revue, cette semaine