Un Colloque s'est tenu le 2 juillet dernier sur la reconstruction de l'enseignement médical en Haïti. Objectif du colloque: présentation du projet de reconstruction de l'enseignement médical en Haïti. Les médecins haïtiens avaient en effet constaté bien avant le séisme que l'enseignement médical tel que dispensé dans nos facultés ne répondait pas à un impératif majeur: celui de former des médecins aptes à prendre en charge les problèmes de santé de la population haïtienne et disposés à rester au pays pour se mettre au service de cette population. Les médecins s’étaient rendus compte qu’ils formaient jusqu’à présent des médecins pour l'étranger et dans cette optique ils les formaient mal. Bon nombre de ceux qui s'expatrient n'arrivent pas à intégrer le système de santé du pays hôte et se retrouvent à faire n'importe quoi, sauf la médecine, d'où un gaspillage énorme. Conscients de ces problèmes, les facultés de médecine haïtienne (la FMP et 3 facultés privées reconnues) ont au courant de l'année 2009 défini le profil du futur diplômé en médecine d'Haïti. Le projet actuel a pour objectifs: une refonte complète des curricula de formation de façon à les mettre en conformité avec le profil du diplômé; la modernisation des méthodes pédagogiques d'enseignement de la médecine. Ce projet est ambitieux et s'étalera sur une période de 6 années (susceptible d'être prolongée) avec un budget d'environ 24 millions de dollars canadiens. Les médecins haïtiens souhaitent que le Gouvernement apporte son appui à la réalisation d'un tel projet.
Après le hold Up sanglant de la SogeXpress du champs de Mars, le 13 juillet dernier, hier, c’est une autre succursale de la SogeXpress, située au carrefour de l’aéroport qui a été victime d’un hold Up.
Les 2 agents de sécurité ont été rapidement maîtrisés par deux bandits armés qui se sont emparés d’une somme d’argent dont le montant n’a pas été communiqué ainsi que des munitions. Selon des témoins, deux hommes ont mené l’opération sans tirer un seul coup de feu, on ne déplore cette fois-ci aucune victime.
Des patrouilles de la police de Delmas sont arrivées sur place pour constater les faits, les bandits s'étant enfuis depuis longtemps. Carl Henri Boucher, le commissaire de police de Delmas, s’est dit révolté de voir des espaces, qui ne devraient même pas être utilisés pour des boutiques, être transformés en succursales. De plus, la faiblesse du système de sécurité de ces établissements est une véritable invitation aux bandits. « Des rencontres ont déjà été organisées avec les responsables de ces succursales à ce sujet, de nombreuses promesses ont été faites mais jamais elles n'ont été tenues » à déploré le commissaire Boucher.
Grâce au judo, Haïti décroche sa première médaille aux Jeux Centramériques et Caraïbes tenus à Porto-Rico. Il s’agit d’une médaille d’argent remportée par la judokate Ange Mercie Jean-Baptiste le lundi 19 juillet 2010.
La jeune athlete, Ange Mercie Jean-Baptiste s’est distinguée dans la catégorie femme des 57 kg à ces jeux aux Jeux Centramériques et Caraïbes tenus à Mayagüez, Porto-Rico. C’est une bonne nouvelle pour notre pays s’est réjuit la sportive qui a Presque gagnée la médaille or après s’être oppose à la colombienne Amaris Yadinys dans la ville d’Aguada, à côté de Mayagüez. Ange Mercie a gagné trois combats avant d’accéder à la finale. Rappelons que l'athlète haïtienne, Ange Mercie Jean-Baptiste, avait déjà remporté une médaille d'argent. C’était aux derniers Jeux Centramérique à Carthagène en 2006.
Le Sénateur Anacacis Jean Hector a fait savoir que jusquà date le parti UNITE n’avait pas encore de candidat officiellement ésigné comme candidat aux présidentielles du 28 Novembre, Et d’aouter que le president Préval craint fort qu’avec la designation d’un candidat le parti néclate. Beaucoup de noms sot cites mais aucun n’est jusqu’à date le candidat official. Toujours selo le sénateur Anacacis le candidat choisi par le parti UNITE devra avoir les caractéristiques suivantes: disposer de liens solides avec la communauté internationale, être proche du secteur privé des affaires être supporté par le « secteur » populaire » Trois exigeces donc qu’il n’et pas très facile de remplir.
Ils seront une centaine venus de la Caraïbes et de l’Amérique latine et paseront quatre mois plein dans le pays à observer le déroulement du processus electoral dans ses différentes phases et celui ds elections. Ils ne partirons qu’après ls elections Ceci dans le but d’asurer un processus crédibles et accepté de tous. Cependant ce n’est pas l’avis des leaders politiques pour qui la presence de cette mission d’étrangers ne signifie pas pour autant que les elections seront honetes, sinceres et libres.
- L'ex sénateur Turneb Delpé, chef de file du regroupement Rasanblé soutient que la présence de ces observateurs ne saurait être considérée comme une garantie pour des élections crédibles et démocratiques. Il rappelle que les précédentes missions d'observation électorale de l'Organisation des Etats Américains (OEA) avaient approuvé plusieurs élections frauduleuses.
Turneb Delpé affirme qu'il se fait le porte parole des 4 regroupements, Alternative, Libération, Rasanblé et Uccade, en préconisant la poursuite de la mobilisation en vue du départ du chef de l'Etat et des conseillers électoraux.
- Pour sa part le chef de file de Ayiti an Aksyon (AAA), Youri Latortue, approuve la démarche de l'OEA et de la Caricom faisant valoir qu'il s'agit d'un aspect technique dans le processus électoral.
Il estime toutefois que l'aspect politique dans l'organisation des joutes doit être prioritaire. Youri Latortue déplore que le représentant du secrétaire général de l'ONU n'ait pas encouragé un dialogue entre les acteurs et le chef de l'Etat avant le coup d'envoi du processus électoral.
Le processus électoral est assombri, insiste le sénateur Latortue qui réclame le départ des conseillers électoraux.
Interrogé sur l'importance de la mission d'observation pour la crédibilité des joutes le chef de file de AAA estime que sa présence est insuffisante. Il appelle les autorités gouvernementales à engager le dialogue en vue de garantir la crédibilité des prochaines élections.