La mission d’experts en question de santé choisie par le Secrétaire Général pour enquêter sur l’origine du choléra en Haïti est arrivée dimanche… La mission d’experts en question de santé choisie par le Secrétaire Général pour enquêter sur l’origine du choléra en Haïti est arrivée dimanche…
C’est HaïtiLibre qui l’annonce relayant le porte-parole officiel des Nations Unies, Martin Nesirky, qui a fait savoir que cette équipe d’experts nommés par les Nations Unies pour enquêter sur l’origine de l’épidémie de choléra en Haïti est arrivée dimanche à Port-au-Prince. On sait que l’origine de cette épidémie est imputée aux soldats népalais en poste dans le Plateau central d’où avait débuté l’épidémie le 19 Octobre 2010 avec la mort d’enfants qui s’étaient baignés dans les eaux de la rivière Meille. On sait aussi que le camp népalais est accusé de déverser dans la rivière les déchets humains. C’est le Secrétaire Général des Nations Unies, Ban Ki-Moon, qui avait fait savoir que cette mission d’experts avait été constituée. Les experts arrivés dimanche en Haïti sont précédés d’une renommée internationale en épidémiologie, microbiologie et en santé publique. Haïti Libre précise que cette équipe est conduite par le Docteur Alejandro Cravolo du Mexique. Celui-ci travaille auprès du Centre international de recherche sur la diarrhée au Bangladesh. La mission comprend trois autres membres: Cllaudio Lanata du Pérou de l’institut d’enquête nutritionnelle du Pérou, le Dr Daniele Lantagne des Etats-Unis de l’université de Harvard et le Dr Balakrish Nair des indes. Il est de l’Institut national du cholera et des maladies entériques.
Les rumeurs concernant le retour du président Jean-Bertrand Aristide, en exil depuis février 2004, se sont renforcés ce week-end avec le début de nettoyage de la maison de l’ex-président à Tabarre. Mercredi des manifestants brandissant des photos d’Aristide réclamaient son retour. Chez lui à Tabarre, on voit des gens s’affairer, arrachant de la grille les posters de candidats, d’autres plantent des fleurs, après avoir débarrassé la pelouse de toutes les herbes folles. La maison est illuminée depuis le week-end dernier. Toute cette agitation est due aux rumeurs concernant un éventuel retour de l’ancien président de son exil d’Afrique du sud où il vit depuis février 2004. L’un des avocats de Jean-Bertrand Aristide, Ira J. Kurzban, a annoncé le prochain retour de Mr Aristide après avoir reçu mardi (8 février) des mains d’officiels du gouvernement haïtien un passeport diplomatique au nom de son client. La maison avait été pillée par des bandits et l’on remarque encore quelques meubles, un grand piano et un portrait en huile de l’ex-président. Le Miami Herald précise que les équipes de nettoyage ont trouvé une cachette bien dissimulée dans laquelle se trouvaient des billets de $ 100 en mauvais état.
Une trentaine de textes sont regroupés dans cette toute nouvelle édition, dont les histoires à succès : « Ti Sentaniz », « Lea Kokoye », « Maître Zabèlbòk » et « Gwo Moso ». Accompagnés cette fois-ci des inédits : « Mant Lucia », « Diktati », « Lettre à Max Manigat » et « Elie Lescot ». Six volumes en tout présentés par Digipack avec un texte de la comédienne Paula Péan, des illustrations de jud-Alix François. Maurice Sixto est mort en 1984, cela fait 27 ans maintenant mais son art n’a pas perdu la moindre plume et on écoute avec autant de plaisir Léa Kokoye que Ti Sentaniz. Quant aux quatre inédits, on est frappé de la description que fait le conteur de la Dictature, dans Diktati, surtout avec le retour dans le pays de Jean Claude Duvalier. La coordonnatrice de la Fondation Maurice Sixto, Mme Gertrude Séjour nous a rendu visite à Haïti en Marche. “Les textes de Maurice Sixto sont des leçons pour la vie” déclare Gertrude Séjour. Les six (6) volumes sont présentés en Digipack avec des illustration de Jud-Alix François et un texte de la comédienne Paula Péan. Cette nouvelle édition des œuvres de Maurice A Sixto, disponible à la FMAS et chez les disquaires, a été rendue possible grâce au concours de la Fondation Maurice A Sixto, FOKAL, AMTECH, BNC et AyitiKomik.
La formation musicale Carimi, qui a parlé à HPN, souhaite moins d’extravagance cette année dans le carnaval et suggère que les 200 000 dollars prévus pour les chars soient versés aux groupes à pied et ainsi réduire le budget du Carnaval 2011. Carimi ne sera pas à Port-au-Prince les 6, 7 et 8 mars mais le groupe espère participer au carnaval de Jacmel. Les musiciens de T-Vice, quant à eux, trouvent "immorale et insensée l’organisation du carnaval dans de telles circonstances avec les gens qui vivent sous les tentes au Champ-de-Mars. Il y a beaucoup d’autres choses plus importantes à régler maintenant dans le pays, disent-ils. « Kreyol la » aussi ne compte pas sortir durant les jours de festivités traditionnelles. Cela ne semble pas être l’avis du maire de Port-au-Prince qui a fait savoir que le public, même les gens vivant sous les tentes, ont besoin de se distraire.