Haïti en Marche cette semaine publie sur sa page-couverture en gros plan la photo de l’étudiante haïtienne assasinée en république dominicaine.
Elle s’appelle Miguelita Marie Sheelove THOMAS et a été retrouvée le 22 juin 2017 à Las Americas à l’Est de Santo Domingo.
Son assassin ?
Le présmé assassin de la jeune fille aurait été arête par la police dominicaine.
Il s’agirait d’un Haïtien qui était en prison en Haïti depuis 2014, accuse de kidnappings, de meurtre et d’usurpation d’identité.
Il aurait usurpé l’identité e Dieuseul Simon Desras qui le pensait en prison en Haïti et qui est tombé des nues en reconnaissant sur la photo du présume haïtien publié par les medias dominicains celui qui avait commis bien des crimes en Haïti et qui n’avait pas encore été jugé.
Comment s’est il retrouvé en République dominicaine???
Le chef de la police dit ne pas pouvoir fournir une réponse. La mission de la police c’est areter les criminels. Une fois enfermé en prison, il est entre les mains de la justice. Seule ele peut expliquer pourquoi il a eté remis en liberté.
Simon Dieuseul Desras parle du danger que représentent ces criminels remis en liberté et libre comme le vent, à meme de recommencer par où ils avaient commence, Volant, dévalisant des honnêtes citoyens, les kidnappant, les tuant même si bon leur semble.
Les funérailles de l’étudiante haïtienne tuée la semaine dernière en République dominicaine, Miguelita Sheelove Thomas seront chantées ce lundi 3 juillet à l’église Bapiste de Cote plage à Carrefour. La famille éplorée n’a enore reçu aucune assistance du gouvernement, mis à part le rapatriement du cadavre. Le ministre des affaires étrangères dit attendre qu’une demande soit formulée. L’ex directeur général de la Police Nationale d'Haïti , Mario Andrésol propose la mise en place d’un conseil national de sécurité pour coordonner les efforts...écrit l’AHP
DOSSIER SANTE
Le premier ministre Jack Guy Lafontant conduit une visite du chantier du nouvel Hôpital de l'Université d'Etat
accompagné de l'ambassadrice de France en Haiti, Elizabeth Beton-Delègue, et du directeur général adjoint de l'AFD, Philippe Baudouin, une visite sur le chantier de l'Hôpital de l'Université d'Etat, en pleine reconstruction.
Selon le chef du gouvernement, les travaux sont a une phase très avancée, a 75% a-t-il dit, donnant la garantie qu'entre juillet et décembre 2018, l'ouvrage sera prêt à être livré.
Il s'agit d'un hôpital tertiaire qui sera doté d'équipements modernes et qui aura la capacité de prendre en charge toutes sortes d'urgence, a assuré Dr Lafontant qui se félicite de la coopération tripartie Haiti-France -Etats-Unis, pour assurer le financement des travaux.
Haiti a contribué à hauteur de 33 millions de dollars, la France 26 et les Etats-Unis 25, a rappelé le chef du gouvernement. Le nouvel HUEH aura une capacité de 525 lits et occupera une superficie de 25 mille mètres carrés.
Des travaux de restauration seront réalisés dans les hôpitaux périphériques pour la prise en charge des cas les moins compliqués, a encore indiqué Dr Lafontant.
L'HUEH, communément appelé l'hôpital général, est le plus grand centre hospitalier public du pays mais il fait souvent l'objet de crises récurrentes marquées par des arrêts de travail provoquant, des fois, le décès de patients, faute de soins.
DOSSIER EDUCATION
A l’ordre du jour aussi cette semaine l’annonce du Financement d’un projet de 8 millions d'euros en appui au 3e cycle de l’école fondamentale et au secondaire,
pour une éducation citoyenne et tournée vers l’avenir
Le Directeur Général adjoint de l’Agence Française de Développement (AFD), M. Philippe Bauduin, et le Ministre de l’Economie et des Finances (MEF), M. Jude Alix Patrick Salomon, ont signé JEUDI un accord de financement d’un projet de 8 millions d’euros le projet NECTAR.
Ce nouvel accord est une concrétisation supplémentaire de l’engagement bilatéral de haut niveau pour une coopération renforcée dans le domaine de l’éducation qui avait été décidé lors de la visite présidentielle du 12 mai 2015. Fruit d’un travail conjoint entre l’AFD et le MENFP, il se concentre sur l’amélioration de la qualité de l’éducation au niveau du 3e cycle et du secondaire.
Afin d’aider à tirer le meilleur de la jeunesse du pays, laquelle représente autant un défi qu’une opportunité pour son développement, le projet NECTAR a été élaboré dans la droite ligne de la réforme Bernard, qui constitue l’épine dorsale de la politique du MENFP depuis plusieurs décennies. Ce projet vise à concrétiser une école fondamentale de neuf années obligatoires qui soit bien articulée au cycle secondaire ainsi qu’aux autres débouchés offerts aux élèves.
COOPERATION
Visite de l’ambssadeur du Canada en Haiiti au ministère de l‘intérieur et des collectivités territoriales. Les discussions ont porté principalement sur la vision, les activités et programmes mis en œuvre par le Ministère de l'Intérieur dans le domaine de la décentralisation en Haïti et sur l'appui du Canada aux efforts entrepris par le gouvernement haïtien dans ce domaine.
QUELQUES NOUVELLES TIREES DE HAITI LIBRE
Etat d’urgence décrété par le président Moïse pour le Grand sud. Le Président Jovenel Moïse a publié dans le journal officiel « Le Moniteur » la résolution prise par le Sénat en vue d’instituer l’état d’urgence dans la région du grand Sud (Nippes, Sud-Est, Sud et Grand’Anse) et l’urgence environnementale à l’échelle nationale.
BILAN DE LA CARAVANE DU CHANGEMENT DANS L’ARTIBONITE
Selon Avenide Joseph, Porte-parole de la présidence, 43 kilomètres de canaux de drainage et 185 kilomètres de canaux d’irrigation ont été curés, 113 kilomètres de pistes agricoles réhabilitées au cours de la première phase de la caravane du changement qui prendra fin vendredi 30 juin dans l’Artibonite avant de se diriger vers le Grand Sud. Sur les 197 millions de gourdes prévues pour cette phase, 140 millions ont été dépensées jusqu'à présent.
DEUX ECOLE ONT ETE REHABILITEES DANS LE SUD EST
Plan International Haiti et la Direction Départementale de l'Éducation du Sud-Est, ont inauguré, la semaine écoulée, les travaux de réhabilitation de l’École Nationale Sable Cabaret, à Jacmel et de l’École Nationale de Fond Jean Noel, dans la commune de Marigot « Nous disposons désormais d'un environnement attrayant, sécurisant et amélioré » se sont réjouit les élèves.
LE COLLECTIF DU 4 DECEMBRE APPELLE A LUNITE POUR FREINER L’INSECURITE EN HAITI..
L’insécurité en Haïti revêt différentes dimensions : criminelle, foncière, alimentaire, économique et routière, aux yeux du Collectif du 4 décembre 2013 . Il exhorte la population à s’unir, pour réclamer de meilleures conditions d’existence « dans un environnement plus sécuritaire ».
Il l’encourage à exiger, de l’exécutif et des instances concernées, des dispositions institutionneles visant à mener une « guerre totale » pour stopper l’insécurité, qui revêt différentes dimensions : criminelle, foncière, alimentaire, économique et routière.
Cette conférence-débat voudrait donner le branle à une série d’initiatives, visant à solliciter l’union de toutes les filles et de tous les fils de la nation, pour éradiquer, définitivement, l’insécurité qui gangrène Haïti, déclare Jean Robert Argant, coordonnateur du Collectif du 4 décembre 2013.
C’est ALTERPRESSE qui en parle et mentionne aussi la paralysie des activités de l’OAVCT. Oui cela continue dela fait plus d’n mois maintenant et ceci malgré la creation d’une commission technique de restructuration .
Les activités demeurent toujours paralysées dans les 19 bureaux de l’Office d’assurance des véhicules contre tiers (Oavct), en dépit de la création d’une commission technique de restructuration de la dite institution.
« Les employés de l’Oavct ne sont pas responsables de cette paralysie. Ce sont des parlementaires, qui tentent d’empêcher l’installation des membres de la commission transitoire, créée le jeudi 22 juin 2017, en remplacement d’Elie Blaise, l’ex directeur de l’Oavct ».
C’est ce qu’a fait savoir le porte-parole du syndicat des employés de l’Oavct, Jean Roudy Saint-Juste, joint au téléphone par l’agence en ligne AlterPresse.
HARCELEMENT SEXUEL AU TRAVAIL: Des victimes parlent.
C’est un article publié dans le quotidien Le National en date du 4 juillet, avec une caricature:
“GADE JAN OU ANFOM… SI OU PA BANM YON BAGAY, WAP REVOKE WE !!! OU TANDE !!!”
En Haïti, sur certains lieux de travail, c’est au quotidien que les femmes connaissent la vie dure. Dans un pays où il est presque plus facile de mourir que de trouver un emploi, de nombreuses jeunes femmes se retrouvent sans armes face aux harcèlements de certains patrons et supérieurs hiérarchiques. Replonger dans le chômage ou offrir son corps à son chef, voilà un grand dilemme pour de nombreuses jeunes professionnelles qui sont le plus souvent très qualifiées.
Des employés de sexe masculin sont très souvent témoins du harcèlement, qu’il soit moral ou sexuel, dans certaines boites, institutions publiques ou privées du pays. « Je connais un directeur dans une entreprise de Pétion- Ville qui apparemment veut coucher toutes les femmes de sa boite. Il les invite tout le temps à son bureau pour je ne sais quoi », fait savoir Marco, un salarié de cette entreprise.
Pour une petite partie de jambes en l’air avec une employée, témoigne Marco, les patrons sont prêts à tout. « D’abord, ils leur offrent tout un ensemble d’avantages : voitures, confort, téléphones derniers cris, etc. Ensuite, ils commencent à les harceler. C’est à ce moment que l’employée va comprendre que si elle veut conserver tous ces avantages, elle doit s’envoyer en l’air avec son boss », explique-t-il.
Le harcèlement moral ou sexuel au travail en Haïti, en 2014, a fait l’objet d’une enquête menée conjointement par la « Solidarite Fanm Ayisyen » (SOFA) et le Réseau national de Défense des Droits humains (RNDDH). Cette enquête a révélé que 8 % des femmes des secteurs de l’administration publique et ONG se sont senties victimes directement de la part de leurs patrons, de leurs directeurs, de leurs superviseurs et de leurs collègues de sexe masculin, contre 11 % du secteur des travailleuses domestiques et de manufacture qui affirment avoir été victimes, du propriétaire, d’un superviseur, d’un supérieur, d’un directeur, lit-on dans le rapport. Par ailleurs, l’enquête a révélé que dans les secteurs de l’administration publique et ONG, 25.7 % des femmes se sentent victimes de harcèlement moral. *
IMPOT SUR LE REVENU, PASSEPORT, CONTRAVENTIONS, PERMIS DE CONDUIRE, TOUT CE QUE LE BUDGET 2017-2018 VEUT CHANGER.
C’est un article du Nouvelliste
TITRE D’UN AUTRE ARTICLE DU NOUVELLISTE: HAITI:DESTINATION TOURISTIQUE LA PLUS SURE DANS LA CARA¨IBES.
Et le quotidian de la Rue du Centre donne des chiffres:
La République d’Haïti est la destination la plus sûre dans les Caraïbes selon les résultats du rapport de Global Peace Index 2017. Elle occupe le 83e rang parmi les pays moyennement sûrs, mais fait mieux que ses voisins dans la région caribéenne. Cuba est en 88e place, la Jamaïque se poste en 92e et la République dominicaine se retrouve en 99e position.
L’HEBDOMADAIRE HAITI EN MARCHE CONSACRE UN ARTICLE A LA DECHARGE: Une decision encourageante
La décision de la commission bicamérale (sénateurs et députés) remonte jusqu’aux premières années après la chute de la dictature Duvalier (7 février 1986) tel un ex-ministre de l’intérieur, Général Williams Regala.
Puis ainsi de suite les années 1990, comme les ex- Premiers ministres Robert Malval et Claudette Werley sous la première présidence Aristide (1991-1996), puis sous la présidence Préval (1996-2001) tel l’ex-ministre de l’agriculture Gérald Mathurin qui à cause du persistant refus par les parlementaires de délivrer la décharge l’a empêché de se porter candidat aux sénatoriales de son département, le Sud-Est.
On ne peut que féliciter les parlementaires de la 50e législature de cette initiative, qui va de soi, qui est normalement leur devoir, mais qui ne prend pas moins tout le monde par surprise, tellement il est évident que la formalité de la décharge en était venue à être utilisée comme un instrument politique pour écarter des adversaires ou même d’éventuels adversaires.
LE NOUVELLISTE CONSACRE AUSSI UN ARTICLE A LA QUESTION DE DECHARGE
3 ex-premiers ministres, 38 ex-ministres et 1 ex-ambassadeur obtiennent décharge du Sénat, attendent les deputes La décharge votée, en l’espace de huit jours, en faveur de 42 anciens hauts fonctionnaires de l'État par le Sénat n'est pas encore complète parce que le même exercice doit se répéter à la Chambre des députés. Mais ces hauts responsables publics peuvent tout de même souffler en croisant le petit doigt tant ils ont pour la plupart longuement souffert dans l’attente de cette étape.
En attendant le même exercice à la Chambre des députés, les anciens hauts fonctionnaires suivants obtiendront décharge de leur fonction après plusieurs années en attente pour certains: 1. Robert Malval, ex-Premier ministre pour la période allant de septembre 1993 à octobre 1994 2. Claudette Werleigh: ex-Première ministre pour la période allant de novembre 1995 à mars 1996 et ex-ministre des Affaires étrangères pour la période allant d'août 1993 à novembre 1995 3. Marie Michèle Rey: ex-ministre de l'Économie pour la période allant de février 1991 à septembre 1991 et pour la période allant d'octobre 1993 à octobre 1995 4. Wilner Dessources: ex-commissaire à la Planification pour la période allant de septembre 1988 à janvier 1989 et ex-ministre de l'Administration et de la Fonction publique pour la période allant de février 1989 à décembre 1989 5. Jean-François Chamblain: ex-ministre du Commerce et de l'Industrie pour la période allant de juin 1991 à septembre 1991 6. Saidel Lainé: ex-ministre du Commerce et de l'Industrie de juin 1992 à septembre 1993 7. Jean-Robert Estimé: ex-ministre des Affaires étrangères de février 1982 à novembre 1985 8. Wiener Fort: ex-ministre de l'Economie de juin 1992 à août 1993 9. Anthony Barbier: ex-ministre de l'Administration et de la Fonction publique de novembre 1994 à août 1995 10. Gréger Jean-Louis: ex-ministre de la Santé publique d'octobre 1991 à juin 1992 11. Joël D. Jean Pierre: ex-ministre de l'Éducation nationale de mars 1991 à septembre 1991 12. Myrtho Célestin Saurel: ex-ministre des Affairs sociales de juin 1991 à septembre 1991 13. William Régala: ex-ministre de l'Intérieur de février 1986 à septembre 1988 14. Gérald Mathurin: ex-ministre de l'Agriculture de mars 1996 à octobre 1997 15. Gaston Georges Mérisier: ex-ministre de l'Éducation nationale de mars 2001 à mars 2002 16. Pierre Raymond Dumas: ex-ministre de la Communication et de la Culture de décembre 2011 à mai 2012 17. Guy Paul: ex-ministre de la Communication et de la Culture de mars 2001 à mars 2002 18. Robert Auguste: ex-ministre de la Santé publique de juin 2006 à septembre 2008 19. Fritz Bélizaire: ex-ministre de la Jeunesse d'octobre 2007 à septembre 2008 20. Paul Antoine Bien-Aimé: ex-ministre de l'Éducation nationale d'avril 1999 à mars 2001 21. Marjorie Michel: ex-ministre à la Condition féminine de novembre 2009 à septembre 2011 22. Guy Paul: ex-ministre de la Culture de mars 2001 à mars 2002 23. Camille Leblanc: ex-ministre de la Justice de mars 1999 à mars 2001 24. Jean B. Baptiste: ex-ministre des Haïtiens vivant à l'étranger de mars 2004 à juin 2006 25. Paul Gustave Magloire: ex-ministre de l'Intérieur de juin 2005 à juin 2006 26. Fritz Longchamps: ex-ambassadeur aux Nations unies de novembre 1991 à novembre 1995 27. Alfred Mentor, ministre de l’Information du 24 août 1990 au 7 février 1991 28. Charles Poisset Romain, ministre de l’Éducation nationale du 16 mai au 12 octobre 1994 29. Chavannes Douyon, ministre de l’Éducation nationale du 27 août au 7 février 1991 30. Énold Joseph, ministre des Affaires sociales du 8 novembre 1994 au 11 août 1995 31. Ernst Verdieu, ministre des Affaires sociales du 21 février 1991 au 14 juin 1991 32. Evariste Midy, ex-ministre de la Coopération externe du 16 mai au 19 juillet 1992 33. Gérard Blot, ex-ministre de l’Administration et de la Fonction publique du 8 novembre 1995 au 8 mars 1996 34. Jacques Roger Lange, ex-ministre du Commerce et de l’Industrie du 25 août au 10 octobre 1994 35. Joseph Gérard Pierre, ex-ministre du Commerce de février à juin 1988 36. Kesler Clermont, ex-ministre des Affaires étrangères du 10 mars au 24 aouut 1990 37. Marc Louis Bazin, ex-Premier ministre du 12 juin 1992 au 8 juin 1993 38. Myrto Célestin Saurel, ex-ministre de l’Éducation nationale de novembre 1995 à mars 1996 39. Pierre Foucauld, ministre des TPTC du 28 septembre 1990 au 7 février 1991 40. Rémy Zamor, ex-ministre de l’Éducation nationale du 19 septembre 1988 au 19 décembre 1989 41. Anthony Dessources, ex-ministre de la Planification de mars 1999 à mars 2001 42. Philippe Mathieu, ex-ministre de l’Agriculture d’avril 2004 à mars 2006 Double coup pour le Sénat de la République en l‘espace de huit jours : après avoir voté la semaine écoulée pour l’octroi de décharge à deux anciens Premiers ministres, un ancien ambassadeur et 23 anciens ministres, il a récidivé avec un ancien Premier ministre et 16 anciens ministres, dont plusieurs sont déjà morts. Les sénateurs n’ont pas fait dans le détail, comme mercredi dernier. Ils ont voté à l’unanimité, sans débats, sans tergiversations, le rapport de la commission de décharge. Désormais, tous les yeux sont rivés sur la Chambre des députés appelée, elle aussi, à faire le même travail d’analyse des dossiers et s’y prononcer de sorte que la décharge soit complète.
DOSSIER ECONOMIE
HAITI LIBRE LUI CONSACRE PLUSIEURS SUJETS LIES A L’ACTUALITE
Commençons avec celui-ci: Quels sont les mécanismes d’investissements de la diaspora ?
Mécanisme d'investissement de la diaspora :
Mardi, dans la perspective de la mise en place des mécanismes d'investissement de la diaspora pour le développement du grand Nord, la mairesse de Borgne Anne-Lise Mocombe, a rendu visite à Stephanie Auguste, la Ministre des Haïtiens Vivant à l’Étranger (MHAVE). Les discutions ont porté sur le processus et les mécanismes d'investissement de la diaspora.
TOUJOURS DOSSIER ECONOMIE
PetroCaribe, audition de l’ex dirigeant du BMPAD :
Mardi, dans le cadre de la reprise de l’enquête sur la gestion des fonds du programme PetroCaribe, Michael Lecoprs, l’ex Directeur Général du Bureau de Monétisation des Programmes d’aide au Développement (BMPAD) a été auditionné par la Commission anti-corruption du Sénat.
ET PUIS:
4 millions d’Euros pour 7 projets :
Mercredi, l’Union Européenne a procédé au lancement de 7 nouveaux projets d’appui aux organisations de la Société Civile et aux collectivités territoriales. 6 départements dont le Sud, la Grand’Anse, les Nippes et l’Artibonite sont concernés par ces projets qui s’élèvent au total à 4 millions d’Euros.
DOSSIER DEFENSE
Une armée haïtienne aux nombreux corps... :
Hervé Denis le Ministre de la Défense sur la nouvelle force de défense d’Haïti a précisé que cette nouvelle force comprendra entre autres : un corps de génie militaire, un corps médical, un corps d’agronomie, un corps pour combattre la corruption aux frontières et que cette force protégera l’intégrité du territoire terrestre, maritime et aérien.
QUELQUES NOUVELLES EN BREF
Au G20 réunit à HAMBOURG 100.000 manifestants sont venus pour protester contre le capitalism
LA VILLE DE ROME DECIDE DE FERMER SES FRONTIERES en en laissant pas entrer les migrants dans le pays. L’Italie est submerge et se plaint que l’Europe n’a pas apliqué la politique du quota.
LE PRESIDENT DU RWANDA PAUL KAGAME vient d’interdire l’entrée a Rwanda de vetements de deuxième main, des Pèpè…et ceci malgré la menace des Etts-Unis de couper l’accès aux marchandises venant du Rwanda sans payer de douanes.
Nous commençons avec le chapitre INSECURITE
Gang démantelé dans la zone de l’aéroport International :
Le Porte-parole adjoint de la Police Nationale d’Haïti (PNH), l’inspecteur principal Gary Desrosiers, confirme le démantèlement d’un gang opérant dans la zone de l’aéroport International Toussaint Louverture. 9 membres de ce gang dont son Chef : Désiré Jean-Baptiste, ont été arrêtés.
Jet de déchets : 10 citoyens arrêtés au Cap-Haïtien :
Des agents de la Mairie du Cap-Haïtien ont remis à la Police Nationale d’Haïti (PNH) une dizaine d'individus qui jetaient des déchets dans les rues de la ville.
- Un marchand ambulant a trouvé la mort en début d'après midi à Pétion-Ville suite à une altercation avec les agents de la mairie de cette commune. En colère, des gens se sont evertués à lancer des pierres sur les agents et ont érigé des barricades de pneus enflammés. Ce qui a occasionné une situation de tension dans cette commune.
LA CARAVANE DU CHANGEMENT
Don de 10 millions de la BID pour la Caravane :
Mardi, le Gouvernement haïtien a signé un protocole d’accord de 10 millions de dollars américains avec la Banque Interaméricaine de Développement (BID). Cet accord vise à aider l’État à réaliser les travaux d’infrastructures, de curage de rivières, de construction de routes et autres, qui s’inscrivent dans le cadre de la Caravane du changement dans le grand Sud du pays.
155 millions de dollars de nouveaux dons de la Banque Mondiale
Mercredi, Jude Alix Patrick Salomon, le Ministre de l'Économie et des Finances, a signé 5 nouveaux accords de dons de la Banque mondiale à la République d'Haïti, pour un montant total de près de 155 millions de dollars américains, visant à améliorer les conditions de vie des habitants du Cap-Haïtien et des communautés affectées par le passage de Matthew dans les départements du Sud, en octobre 2016.
« Ces financements permettront de renforcer de façon durable la résilience du pays face aux chocs climatiques et à appuyer les efforts de reconstruction après l'ouragan Matthew » a souligné Raju Singh le Directeur des opérations de la Banque Mondiale par intérim, ajoutant « La Banque Mondiale est engagée aux côtés de la population haïtienne pour mieux faire face aux catastrophes naturelles ».
Les 5 accords signés concernent :
Un financement de près de 55 millions de dollars pour un projet de développement municipal et de résilience urbaine au Cap-Haïtien afin d'améliorer les services municipaux et réduire les risques d'inondation à court et à moyen terme. Ce projet est financé par l'Association Internationale de Développement (IDA) pour un montant de 48 millions et un don du Fonds d'Investissement Climatiques (CIF) pour un montant de 7 millions de dollars ;
Quatre financements additionnels d'un montant total de 100 million de dollars mobilisés par le mécanisme de riposte aux crises de l'Association internationale pour le développement (IDA) afin de soutenir la reconstruction après le passage dévastateur de l'ouragan Matthew.
Ces 4 financements visent à :
Remettre en état des routes et des ponts dans le sud d'Haïti et renforcer les capacités d'intervention de la protection civile en cas de catastrophe ;
Restaurer l'offre et la qualité des services de santé et amplifier les efforts de lutte contre le choléra ;
Assurer la fiabilité et la résilience de l'alimentation en eau ;
Soutenir la production agricole par le biais de subventions et de travail contre rémunération dans les zones du pays les plus affectées.
Avec les 100 millions de dons accordés en juin dernier par la Banque Mondiale http://www.haitilibre.com/article-21238-haiti-post-matthew-dons-de-80-millions-supplementaires-de-la-banque-mondiale.html c’est 1/4 de milliards de dollars que la Banque Mondial a accordé à Haïti en moins de 2 mois.
TOUTES CES NOUVELLES SONT TIREES DE L’AGENCE HAITI LIBRE>..
Encore un autre, un grand, qui s’en va, comme si tarissaient « les dernières gouttes d’homme » d’une génération, comme si la Grand'Anse, et le reste du pays avec elle, n’en finit pas de voir la mort lui enlever ses fils, illustres, anonymes, poètes, agriculteurs… Jean-Claude Fignolé ne pouvait pas se satisfaire d’une seule vie pour agir dans les multiples et successives zones d’intérêt qui l’ont attiré. Journaliste, critique d’art, critique littéraire, enseignant, responsable d’institution scolaire, armateur, producteur agricole, homme politique, analyste politique, activiste dans le culturel et le social… Si la mort n’était pas venue soudain mettre fin à son besoin de faire et de penser, il aurait sans doute trouvé autre chose dans quoi s’investir avec passion. Avec Frankétienne, René Philoctète et quelques autres, il avait, dans les années soixante-dix et quatre-vingt du siècle dernier, symbolisé la qualité et le dynamisme de la vie littéraire en Haïti. A l’étranger, la presse ne parlait pas d’eux. Pour l’écrivain d’un pays pauvre, l’exil peut servir de valeur ajoutée. Ils s’en moquaient et leurs façons d’être et de faire ont enseigné à ceux de ma génération qui les ont fréquentés à l’époque, que Port-au-Prince aussi était une capitale. Ses textes critiques, en particulier ceux sur Roumain et Philoctète, étaient d’une modernité incroyable et sortaient des vieilleries de la critique impressionniste. Pour Jean-Claude, il y avait toujours quelque chose à penser dans l’impensé même de l’œuvre littéraire. C’était un grand critique. Un critique-écrivain. Car le travail d’analyse et l’interprétation ne se passaient pas d’un travail sur sa propre écriture. C’était un lecteur qui nous instruisait en nous procurant lui-même un immense plaisir du texte. Et ceux qui ont été ses élèves savent-ils la chance qu’ils ont eue d’avoir pour professeur un homme qui savait de quoi il parlait et voulait les rendre moins bêtes, loin de la crasse des lieux communs !
PASSONS MAINTENANT AU QUOTIDIEN LE NOUVELLISTE
Avec un article de Lionel Troullot sur Jean Claude fignolé qui après Claude Pierre nous a lui aussi quitté.
Et puis, toujours dans Le Nouvelliste, nous apprenons que vendredi, ce sera Vendredi Littéaire en l’honneur du poète: Serge Legagneur,
Un Vendredi littéraire spécial sera organisé au Centre culturel Anne Marie Morisset, ce 14 juillet, en l’honneur du poète Serge Legagneur, décédé le jeudi 29 juin 2017, à Montréal des suites d'un cancer. Membre du groupe Haïti littéraire, le poète est mort à l'âge de 80 ans. Un ensemble de textes et de chansons réalisé par Syto Cavé sera présenté ainsi que des témoignages sur la vie et l’œuvre du poète.
SOUS TRAITANCE: Des organisations syndicales souhaitent une réunion des protagonistes pour une issue à la crise.
La Centrale autonome des travailleurs haïtiens (Cath) et la Jeunesse ouvrière chrétienne d’Haïti (Joc-Haïti) encouragent la tenue d’une réunion entre les protagonistes pour une issue à la crise sociale secouant la branche du textile.
Elles recommandent au président Jovenel Moïse de prendre les mesures nécessaires en vue de l’organisation immédiate de cette réunion avec les principaux acteurs concernés par la question salariale en Haïti, afin de trouver une solution, selon une note transmise à l’agence en ligne AlterPresse.
Compte tenu de la situation socio-économique du pays, l’augmentation du salaire minimum de 11.7% pour un taux d’inflation de 15.5 % est « criminelle et inhumaine », critiquent-elles.
Elles rejettent le document de recommandations portant sur la fixation du salaire minimum à 335 gourdes (Ndlr : US $ 1.00 = 65.00 gourdes ; 1 euro = 78.00 gourdes ; 1 peso dominicain = 1.60 aujourd’hui).
Elles conseillent au chef de l’État de définir une politique d’emploi en faveur des jeunes et des universitaires haïtiens, de prendre des dispositions pour rémunérer les nombreux enseignants, régulariser leur situation et renforcer l’inspection du travail du Ministère des affaires sociales et du travail, entre autres.
Dans une résolution adoptée le mardi 11 juillet 2017, le Sénat demande à l’Exécutif de surseoir à la publication du rapport du Conseil supérieur des salaires (Css), fixant le salaire minimum des ouvriers à 335 gourdes.
Le document a été transmis au président aux fins de publication au journal officiel « Le Moniteur ».
L’instabilité menace Haïti, si le patronat et l’exécutif ne prêtent pas attention aux revendications salariales des ouvriers de la sous-traitance, estime le sénateur Antonio Cheramy, président de la commission des affaires sociales du Sénat.
Du lundi 10 et mercredi 12 juillet 2017, des milliers d’ouvrières et d’ouvriers de la sous-traitance ont défilé dans les rues de la capitale Port-au-Prince, pour réclamer une augmentation de salaire à 800 gourdes…
etALTERPRESSE D’´ECRIRE:
L’instabilité menace Haïti si les revendications des ouvriers du textile ne sont pas entendues, selon le sénateur Cheramy
Une résolution adoptée le mardi 11 juillet 2017 par le Sénat demande à l’Exécutif de surseoir à la publication du rapport du Conseil supérieur des salaires (Css), fixant le salaire minimum des ouvriers à 335 gourdes (Ndlr : US $ 1.00 = 65.00 gourdes ; 1 euro = 78.00 gourdes ; 1 peso dominicain = 1.60 aujourd’hui).
Cette résolution a été transmise au président de la République, Jovenel Moïse aux fins de publication au journal officiel « Le Moniteur ».
A propos de l’éventualité d’une non publication de cette résolution dans le journal officiel par l’Exécutif, Cheramy soutient, dans une interview accordée à AlterPresse, que le président Jovenel Moïse n’a pas ce droit.
« Lorsqu’on envoie une résolution au président, il est contraint de le publier », rappelle-t-il faisant référence à l’article 125 de la constitution en vigueur.
Une publication par le président du rapport du Css risque de créer une instabilité, prévient-il.
ET HAITI EN MARCHE DE CONCLURE:
Le moins qu’on puisse dire, c’est que ce rapport est loin de calmer les tensions nées de la mobilisation des ouvriers de la sous-traitance, qui réclament un salaire journalier de 800 gourdes.
ET PUIS ALTER PRESSE ECRIT:
Haïti : Suicide confirmé de l’ex directeur du Faes Klaus Eberwein.
L’ex directeur du Fonds d’assistance économique et sociale (Faes), Klaus Eberwein, retrouvé mort dans une chambre d’hôtel, à Miami (États-Unis d’Amérique) s’est suicidé.
C’est ce qu’a précisé Veronica Lamar, responsable au Département médico-légal de Miami-Dade au journal américain Miami Herald.
La mort d’Eberwein survient au moment où une enquête est ouverte sur la gestion des fonds Petrocaribe
L’ex directeur général du Faes du 31 mai 2012 au 23 mai 2015, sous la présidence de Michel Joseph Martelly, devait se présenter mardi 18 juillet devant la commission Éthique et Anti-Corruption du Sénat pour répondre aux questions des sénateurs.
Le Faes ainsi que d’autres institutions publiques ont été mentionnés dans une enquête lancée par la commission sénatoriale permanente Éthique et Anti-corruption, sur l’application des versements du fonds PetroCaribe.
Rendu public le mercredi 17 août 2016, le rapport de cette enquête a indexé plusieurs hauts fonctionnaires de l’État, dont d’anciens ministres et premiers ministres.
La commission d’enquête avait recommandé, entre autres, que l’Unité de lutte contre la corruption (Ulcc) « approfondisse l’enquête sur l’application des versements du fonds PetroCaribe au FAES ».
Elle a aussi exigé que « l’action publique soit mise en mouvement contre les personnes impliquées dans des actes de détournement de fonds publics.
LES GARDES COTES AMERICAINS ONT RAPATRIES 102 IMMIGRANTS HAITIENS AU CP HAITIEN.
Ces migrants qui voyageaient de manière clandestine à destination des Etats-Unis se trouvaient à environ 22 miles au sud de ‘’ Great Inagua’’, Bahamas, quand ils ont été interceptés, le 11 juillet écoulé, a appris Haiti Press Netvork via une note du Groupe d’Appui. Par ailleurs, selon la note du GARR, M Ryan, a souligné que la garde côtière américaine et ses agences partenaires continueront de maintenir une forte présence sur leur frontière maritime en vue d’empêcher aux migrants clandestins d’atteindre leur objectif.
Soulignons que depuis le début de l’année 2017, c’est le rapatriement le plus important de boat people haïtiens qui ait été réalisé par les gardes côtes américains.
Le GARR exhorte les ressortissantes et ressortissants haïtiens à entreprendre les procédures régulières quand ils/elles envisagent de s’émigrer. Ce qui les évitera de risquer leur vie dans des voyages clandestins et souvent incertains.
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Il en profite pour appeler les autorités haïtiennes à travailler pour freiner la migration clandestine des ressortissantes et ressortissants haïtiens qui s’observe au quotidien dans le pays.
Le Président Jovenei Moïse s’est adressé jeudi soir à la population.
Le message a été court.
Il s’agissait surtout du salaire des ouvriers et iI a fait part de sa décision d’augmenter de 15 gourdes ce salaire.
Le salaire minimum passe à 350 gourdes suivant un arrêté adopté, ce jeudi par le président de la République. Jovenel Moise, aura finalement tranché entre les 800 gourdes exigées par les ouvriers du secteur textile à grand renfort de manifestations et les 335 gourdes proposés par le Conseil Supérieur des Salaires(CSS) dans ses recommandations
Donc la décision a été prise: Le Président Moïse fixe le salaire minimum à 350 gourdes
SOUS TRAITANCE: les ouvriers annoncent une semaine de manifestation à travers les rues toujours pour réclamer un salaire minimum de 800 gourdes.
Et plusieurs organisations se sont declares solidaires. Par exemple le REFRAKA, Le Réseau des femmes des radios communautaires haïtiennes (Rezo fanm radyo kominotè ayisyen / Refraka) apporte sa solidarité à la lutte des ouvriers qui réclament un salaire minimum de 800 gourdes Il appelle d’autres secteurs de la vie nationale à apporter leur soutien aux mobilisations ouvrières, lors d’une journée de réflexion organisée le mercredi 26 juillet et à laquelle a assisté l’agence en ligne AlterPresse.
La directrice exécutive de Refraka, Marie Guirlène Justin, encourage l’État à assurer une médiation entre les patrons et les ouvriers protestataires afin de trouver une solution favorable aux deux camps.
PAR CONTRE LA MARCHE DU COLLECTIF 4 DECEMBRE qui devait avoir ieu, ce vendredi 28 Juillet à l’occasion de l’anniversaire du débarquement des marines en Haïti 28 juillet1915, cela fait aujourd’hui 102 ans ont du annuler la manif, la police ayant déclaré qu’elle ne comptait pas assurer la sécurité de cette manifestation.
27 juillet 2017 Rezo Nodwes Aucun commentaire
Port-au-Prince, jeudi 27 juillet 2017 ((rezonodwes.com))– Le Collectif du 4 décembre a annoncé l`annulation de la marche prévue pour le vendredi 28 juillet 2017, devant être organisée dans le but de dénoncer l’insécurité et la corruption à travers le pays. Les dirigeants de ce collectif qui ne sont pourtant pas à leur coup d`essai, ont expliqué n`avoir aucune garantie que les forces de l`ordre vont assurer effectivement la protection des participants à cette manifestation qui devait partir de la place publique de Canapé Vert pour aboutir devant les locaux du Ministère de la Justice et de la Sécurité publique.
A leur grande surprise, ont relaté les organisateurs, les agents de la Police Nationale d`Haiti, leur ont demandé de signer un document selon lequel les membres du collectif seront tenus responsables de tout dérapage pouvant arriver lors de cette marche pacifique, y compris les casses pouvant être produites par des gens infiltrés à dessein.
Pour le collectif, ce document de la PNH a été rédigé dans le but de remettre le bâillon sur la bouche de cette génération qui ne pourra pas combattre contre la corruption ambiante.
10 JOURS DE PERTURBATION A LA FRONTIERE HAITIANO DOMINICAINE.
Les autorités d’Haïti et de la République Dominicaine encouragent de meilleurs échanges commerciaux, après plus de 10 jours de paralysie des activités à Carisal/Comendador (province d’Elias Piña), dans le département du Plateau central.
Bloquées depuis le jeudi 14 juillet 2017, les activités commerciales à ce point frontalier ont repris, le mardi 25 juillet 2017, rapporte la plateforme Groupe d’appui aux rapatriés et réfugiés (Garr),.
La circulation a repris normalement. Les barricades, érigées sur les lieux, ont été enlevées.
La relance des activités commerciales est le fruit d’une rencontre, tenue à Comendador (Elias Piña), le lundi 24 juillet 2017, entre les autorités haïtiennes et dominicaines.
Le blocage des activités commerciales à Carisal/Comendador (Elias Piña) est survenu, suite à l’agression d’un militaire dominicain à l’encontre d’un ressortissant haïtien, transportant une cargaison de marchandises en provenance de la République Dominicaine.
Le militaire dominicain, qui s’est accidentellement blessé par balle au pied, a été transporté d’urgence à l’hôpital pour se faire soigner.
(NOUVELLES TIREES DE L’AGENCE ALTER PRESSE)
LE DOSSIER DE CORRUPTION DE LA TELECO REFAIT SURFACE DANS UN TRIBUNAL FEDERAL AMERICAIN.
Alors qu’on croyait le dossier de corruption de la Teleco clos dans les tribunaux fédéraux américains, un nouveau rebondissement a été enregistré la semaine dernière, et risque de rouvrir la boite de pandore. En effet, le 19 Juillet dernier, Amadeus Richers, l’un des inculpés dans le cadre des poursuites engagées contre divers hommes d’affaires basés aux États-Unis accusés d’avoir soudoyé des officiels haïtiens pour obtenir de la défunte Teleco des tarifs préférentiels sur les appels internationaux, a plaidé coupable des charges retenues contre lui devant le tribunal fédéral du Sud de Floride. Il a aussi fait de nouvelles révélations dans le cadre de cette vaste opération de corruption, et a promis aux autorités sa collaboration dans la poursuite d’autres gens impliqués dans ce dossier.
( Un article puisé dans Le Nouvelliste)
L’église Saint-Louis Roi de France de Turgeau, détruite par le séisme du 12 janvier, fait peau neuve sept ans après. À la place des décombres, un bel édifice portant dignement le nom de temple de Dieu est érigé. Son parquet, son autel et son tabernacle sont faits de marbre. Pour la première fois, depuis sept ans, l’église accueillera le dimanche 30 juillet ses fidèles lors de la messe de bénédiction du bâtiment.
L’église Saint-Louis Roi de France de Turgeau est opérationnelle. Elle est en état d’accueillir toutes les célébrations liturgiques. L’intérieur est fin prêt. Tous les bancs sont en place ainsi que l’autel, l’ambon- lieu où la parole de Dieu est proclamée-, les fonds baptismaux et le tabernacle… Les travaux de constructions ont été exécutés par un consortium formé d’une firme haïtienne, CHIC, et d’une firme espagnole, Blue Steel. L’édifice est reconstruit en béton armé avec une structure métallique pour la toiture. Son parquet, son autel et son tabernacle sont faits de marbre. Ayant une capacité de 900 places assises, l’église dispose d’une mezzanine de 90 places où sera hébergée la chorale. Selon le prêtre Wismick Jean-Charles, la construction respecte les normes internationales parasismiques et anticycloniques (IBC). Les travaux de construction ont été supervisés par l'Unité opérationnelle de construction (UOC) du programme de la Proximité catholique avec Haïti et son église (PROCHE) qui est une institution rattachée à la Conférence Épiscopale d'Haïti. La reconstruction de l’église a coûté deux millions de dollars. La Conférence des évêques catholiques des États-Unis (USCCB) a contribué à hauteur de 1, 7 million de dollars tandis que Adveniat de la Conférence Épiscopale Allemande a déboursé 300 000 dollars américains.
En ce qui concerne l’ameublement de l’église : bancs, objets liturgiques, autel, tabernacle … tout cela a été pris en charge par la communauté des fidèles. « Nous avons eu l’implication active de toute la communauté pour pouvoir mettre au point la première phase de l’église », a indiqué le curé, qui parle de collaboration franche. « Je suis satisfait de la collaboration des fidèles, du conseil pastoral et de toute la communauté de la paroisse qui se sont impliqués depuis le premier jour», a-t-il ajouté. Il ne reste qu’à entamer la deuxième phase. Celle de procéder au placement des faux plafonds, au crépissage, la décoration et à la peinture de l’extérieur du bâtiment.
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Jovenel Moïse, à quand la fin du one man show ?
C’est la question que pose le journal Le Nouvelliste comme titre d’un article d’où nous tirons ceci;
Comme d’autres présidents avant lui, Jovenel Moïse fait l’apprentissage du pouvoir. Ses premiers pas montrent qu’il se croit capable de tout faire, convaincu qu’il réussira là où ses devanciers ont échoué. Le nez dans le guidon de ses promesses, il pédale, guide sa caravane et personne ne devrait questionner ses affirmations, mettre ses projets à l’épreuve de la rationalité, de la réalité de nos ressources budgétaires, de l’impossibilité de contracter des prêts non concessionnels sur le marché financier international après l’annulation de la dette d’Haïti.
Comme d’autres présidents avant lui, Jovenel Moïse fait l’apprentissage du pouvoir. Ses premiers pas montrent qu’il se croit capable de tout faire, convaincu qu’il réussira là où ses devanciers ont échoué. Le nez dans le guidon de ses promesses, il pédale, guide sa caravane et personne ne devrait questionner ses affirmations, mettre ses projets à l’épreuve de la rationalité, de la réalité de nos ressources budgétaires, de l’impossibilité de contracter des prêts non concessionnels sur le marché financier international après l’annulation de la dette d’Haïti.
Mais, généreux dans le verbe, il promet, promet et promet comme si Haïti était le Qatar ou un de ces pays riches du golfe. Sur un ton de campagne électorale, il a promis un aéroport à Ouanaminthe, se réjouit de la réfection de rues aux Cayes. Il parle, parle et laisse l’impression qu’il n’est pas dans la réflexion stratégique. Autrement, il aurait compris qu’il faut se rendre à l’évidence qu’avec le niveau de dégradation du parc Macaya et de tout le massif, les millions dépensés en infrastructures dans la ville ne feront pas long feu. Les nécessaires travaux de gabionnage, de profilage de berge n’auront que des effets limités. Les lits de l’Acul et particulièrement de la Ravine du Sud illustrent déjà l’étendue de la situation et du risque de catastrophe environnementale qui se précise parce que des autorités, sur une longue durée, réfléchissent sur des coins de table, sans intelligence pour intégrer les populations dans l’effort intelligent, rationnel pour stopper la dégradation et résoudre les problèmes environnementaux en amont.
Haïti Libre informe :
La terre a tremblée dans les Nippes :
La Direction de la Protection Civile nous informe qu'une secousse sismique modérée a été ressentie mercredi matin au environ de 3h17, à Anse-à-Veau et Arnaud (Nippes), créant un mouvement de panique au sein de la population.
Le Ministère de la Santé Publique et de la Population (MSPP) informe la population qu’une éclipse solaire partielle se produira en Haïti, le lundi 21 août 2017 entre midi et 4H PM.
Le Ministère demande à la population de NE PAS REGARDER LE SOLEIL A L'ŒIL NU, sous aucun prétexte pendant l’éclipse.
Il est déconseillé d’utilisez les lunettes de soleil ou lunettes de protection contre les rayons ultra violets (UV) pour regarder l’éclipse. Elles ne pourront pas protéger vos yeux et vous risquez d’avoir des dommages graves et irréversibles à la vision car les rayons brûleront la rétine, organe vital de la vision.
Le Ministère réitère sa volonté de servir la population haïtienne.
SECURITE
Départ prochain des brésiliens :
Le Président du Brésil, Michel Temer, a annoncé que les casques bleus brésiliens participant à la Minustah en Haïti, commenceront à revenir à compter de la fin du mois d’août « Les forces armées brésiliennes quitteront Haïti à partir du 31 août avec un plein sens du devoir accompli ».
HPN
Haïti-Sécurité : Fin de mandat de la MINUSTAH, quel est le bilan ?
‘’La MINUSTAH ne détient pas de mandat visant à appuyer le gouvernement dans son processus de remobilisation de l’Armée’’. Déclaration signée de la cheffe civile de la mission onusienne. Toutefois, Sandra Honoré qui se dit consciente du débat provoqué par la question relative à la création d’une nouvelle force de défense en Haïti, déclare qu’il reviendrait à la nouvelle mission onusienne qui remplacera la MINUSTAH en octobre prochain, la MINUJUSTH, de faire les considérations nécessaires. Elle a également rappelé que le processus de retrait de la MINUSTAH est en cours en vue de son départ définitif en octobre prochain.
C’est ce qui a été prévu dans la résolution du conseil de sécurité de l’ONU, une nouvelle mission onusienne d’appui à la justice haïtienne, MINUJUSTH prendra le relais.
Apres treize années de présence en Haïti, la cheffe civile de la MINUSTAH estime que des avancées ont été effectuées notamment sur le plan sécuritaire et en ce qui a trait à la professionnalisation de la PNH.
Les déclarations de la représentante d’Antonio Gutteres en Haïti n’ont pas tardé à susciter la réaction des politiques.
Pour l’ancien colonel Himmler Rebu, la MINUSTAH durant ses treize années de présence en Haïti n’a été qu’un instrument de manipulation politique.
Tranchant par rapport à cette force militaire étrangère, l’ex-secrétaire d’Etat à la sécurité publique estime qu’elle symbolise l’échec, du moins dans sa réalité politique.
Reconnaissant toutefois le caractère dissuasif de la MINUSTAH, Himmler Rebu jette la responsabilité de sa présence en Haïti sur les politiciens qui souvent surestiment la capacité de la communauté internationale à aider à la résolution de certains problèmes.
Selon l’analyse de l’ancien ministre de l’intérieur et des collectivités territoriales, Reginald Delva, la MINUSTAH n’a pas réussi sa mission en Haïti qui consistait en la stabilisation du pays.
Toutefois, il estime qu’en termes de répartition et organisation de troupe au sol, la force onusienne déployée en Haïti a été un modèle efficace dont les autorités haïtiennes n’ont rien appris sur le plan sécuritaire.
Encore SECURITE
Sous la garde de la police, trois importants présumés criminels se sont evades
Milot Berger, un présumé chef de gang impliqué entre autres méfaits dans l'attaque sur le cortège présidentiel à l'Arcahaie, s'est évadé ce matin ainsi que deux autres détenus, dont un étranger recherché par le FBI, a confirmé pour le journal plusieurs sources.
« Les six policiers de la BLTS [Brigade de lutte contre le trafic de stupéfiants] qui assuraient la garde ont indiqué que les suspects étaient encore en cellule vers les 3hrs du matin. Ces détenus, transférés de la DCPJ à la BLTS étaient censés être dans une cellule plus sûre », a expliqué une source à la direction générale de la PNH.
« Des mesures de rétention ont été prises contre ces six policiers qui montaient la garde. Ce sont des policiers ayant suivi la jungle training en Colombie. Ils étaient aussi entraînés aux États-Unis. Les six étaient armés de fusils d'assaut. Pas un seul coup de feu n'a été tiré », a indiqué notre source.
« Il n'y a pas eu de barreaux sciés. Il y a un semblant de casse dans une fenêtre mais cela donne l'impression d'être plus un montage que quelque chose de réel. Il y a un des détenus très costaud qui ne pourrait pas s'enfuir en passant par là », a confié cette source qui souligne que toutes les unités de la PNH recherchent activement ces individus.
Haiti-immigration: 15 ressortissants haïtiens interceptés au large des Bahamas
Toujours Migrants
Haïti en Marche écrit:
C’est un afflux soudain et difficilement contrôlable . Les pouvoirs publics contrôlable. Les pouvoirs publics canadiens peinent à faire face `q l’arrivée de ces centaines de réfugiés haïtiens qui fuient les Etats-Unis pour demander l’asile. En pleine période estivale, et après un flottement initial, le gouvernement a finalement repris la main pour gérer l’afflux de réfugiés à la frontière entre ls Etats-Unis et la province canadienne du Québec. Les autorité ont été obligées de transformer l’emblématique stade olympique de Montréal en centre d’accueil de fortune.
Pourquoi une telle vague de réfugiés haïtiens au Canada
C’est la conséquence de la perte de leur Statut de Protection Temporaire (TPS) aux Etats-Unis Ce TPS avait été accorde à près de 60.000 Haïtiens peu de temps après le séísme du 2 Janvier 2010.
Du côté de Nouvelliste, on lit:
Canada : Les Haïtiens continuent d'affluer, la solidarité haïtienne s'organise
Il y a des jeunes mères, avec des enfants sur le bras. Il y a des pères qui se battent pour assurer l'avenir de leurs enfants. Il y a des jeunes, dépités par un pays où le chômage est la règle et l'emploi l'exception. La liste est longue. Ils ne sont pas que des statistiques, ces compatriotes qui patientaient aux portes du Canada, à quelques encablures du bureau des douanes de Bernard Lacolle, lundi. L'assistance est un mélange d'adultes, de jeunes,
ET POURTANT:
« On ne veut pas quitter le pays », crient les étudiants de l’UNDH
« Je ne veux pas quitter Haïti. Je veux y rester, me former pour servir et participer au développement de mon pays », tel est le cri de Malachie Cédric, étudiant en 4e année à l’Université Notre-Dame d’Haïti (UNDH), le mardi 15 août, à occasion de la Notre-Dame de l’Assomption.
Environ une cinquantaine d’étudiants en médecine et en pharmacie, vêtus de leur blouse blanche, se sont rendus à la cathédrale de Port-au-Prince pour prier mais aussi pour porter leurs revendications aux ministres de l’Église catholique dans le but de sauver l’année académique. Les activités académiques sont interrompues depuis environ cinq mois suite à la crise qui sévit à l’université.
« Notre-Dame de l’Assomption est notre patronne. On vient prier Dieu afin qu’il touche le cœur des responsables de l’Église catholique et les responsables de l’université pour trouver une solution », égrènent l’un après l’autre les étudiants interviewés par la presse.
Ils sont un peu plus 1 000 étudiants en souffrance qui attendent que les responsables trouvent une solution pour un dégel de la crise et prennent des dispositions pour satisfaire leurs revendications. « Les étudiants de la Faculté de pharmacie exigent la reconnaissance de cette entité par le ministère de la Santé publique et de la Population. Ceux en médecine exigent l’hôpital universitaire Saint-François de Sale pour assurer leur période de stage. « On a beau avoir des rencontres, des réunions on a organisé des mouvements de protestation, des marches, on a pris la voie de la presse entre autres… Rien de tout cela n’a porté aucun fruit », ont-ils expliqué.
Cette fête a été l’occasion pour eux de multiplier les conférences de presse, de raconter leur tourment. Après la célébration eucharistique qui a été présidé par Mgr Marie Eric Glandas Toussaint, les étudiants se sont entretenus avec des ministres religieux. « Nous exhortons nos responsables, les prêtres catholiques qui souvent nous encouragent à cultiver la pitié, la tolérance, la charité, l’amour du prochain, le pardon… de faire pareil », a soutenu une étudiante en médecine.
Un autre explique que les autorités ecclésiastiques doivent penser à la jeunesse. « On n’a pas choisi de laisser le pays, d’aller au Chili. On prend le chemin de l’université parce que qu’on veut participer au futur de notre chère Haïti », a affirmé Géoboham Joseph qui dit vouloir garder sa confiance en l’Église catholique.
Il exhorte le cardinal Chibly Langlois, le chef de l’Église catholique d'Haïti, à prendre des mesures visant à ouvrir le plutôt possible l’UNDH.
CATASTROPHES: Haïti : 6 femmes mortes noyées et 18 autres personnes rescapées, dans un naufrage à l’Ile de la Tortue.
Les corps sans vie de ces six femmes ont été retrouvés par la mairie de l’Ile de la Tortue, confirme, à l’agence en ligne AlterPresse, le maire principal de cette commune, Josemane Lubin.
L’accident a été enregistré au moment de coups de vents violents, associés à des averses orageuses, qui ont surpris les marins du à voile pendant une quinzaine de minutes.
L’intervention des membres de la municipalité de l’Ile de la Tortue et des marins de quelques voiliers a permis de secourir 18 personnes, alors que plusieurs autres sont, jusqu’à maintenant, portées disparues.
Certaines des personnes naufragées ont été transportées d’urgence à l’hôpital, pour recevoir les soins que nécessite leur cas.
Les opérations de sauvetage se poursuivent, dans le but de retrouver d’autres corps ou rescapés, fait savoir Lubin.
La mairie de l’Ile de la Tortue n’est pas en mesure de fournir des informations sur le nombre exact de personnes, qui étaient à bord de ce batiman mettant voile vers Port-de-Paix.
Le drame s’est produit en mer, entre l’Ile de la Tortue et Port-de-Paix. Des dizaines de personnes étaient embarquées à bord de ce navire, sur le port de l’Ile de Tortue, pour se rendre à Port-de-Paix, selon les témoignages recueillis.
Interrogé par AlterPresse, Gabriel Santiague, un habitant de l’Ile de la Tortue, déplore les mauvaises conditions de transport maritime, dans lesquelles voyagent les gens dans la zone. Ce qui serait à la base de ces naufrages répétés.
Le Service maritime et de navigation d’Haïti (Semanah) n’arrive pas vraiment à contrôler les ports du pays, alors que les voyages maritimes ne se font pas dans de bonnes conditions météorologiques.
« Pas de gilets de sauvetage pour les passagères et passagers. Les marins des voiliers ne consultent pas la météo, pour s’informer des conditions météorologiques, sans oublier la surcharge des bateaux à voile, qui desservent la population dans la zone ».
Autre catastrophe: Haïti : 13 blessés dans 2 accidents de circulation automobile aux Gonaïves et à Saint-Marc
13 blessés, dont 7 victimes graves, aux Gonaïves et six dans la localité « Terre noire » à Saint-Marc, dans le département de l’Artibonite, ont été enregistrés dans deux accidents de circulation, survenus le mardi 1er août 2017, sur la route nationale No. 1, indique la Direction de la protection civile (Dpc) sur son fil twitter, consulté par l’agence en ligne AlterPresse.
Les 7 blessés, enregistrés aux Gonaïves, ont été transportés à l’hôpital public « La Providence », pour recevoir les soins que nécessitaient leurs cas.
Parmi les six blessés recensés à Saint-Marc, figurent 3 femmes.