« Dans le cadre des efforts continus du ministère visant à aider Haïti à la suite du séisme dévastateur de mardi, j'annonce la désignation du Statut temporaire de personne protégée (Temporary Protected Status, TPS) pour les ressortissants haïtiens qui se trouvaient aux États-Unis au 12 janvier 2010. Il s'agit d'une catastrophe de dimension historique et cette désignation permettra aux ressortissants haïtiens admissibles qui se trouvent aux États-Unis de continuer à y vivre et à y travailler pendant les 18 prochains mois. La fourniture d'un asile temporaire aux ressortissants haïtiens qui se trouvent actuellement aux États-Unis et dont la sécurité personnelle serait mise en danger par leur retour en Haïti fait partie intégrante des efforts incessants de notre gouvernement en vue de soutenir le redressement d'Haïti.
En ce moment de grande tragédie en Haïti il est tentant, pour les gens qui souffrent des conséquences de ce séisme, de chercher refuge ailleurs. Toutefois, toute tentative de quitter Haïti maintenant ne ferait qu'infliger encore plus d'épreuves à la population et à la nation haïtiennes. La communauté internationale s'est ralliée afin d'expédier des secours à Haïti. Beaucoup sont déjà arrivés et on en attend encore beaucoup plus. Le peuple haïtien ne se laissera pas abattre, c'est un peuple résolu dont le rôle face à la crise qui frappe sa patrie sera essentiel à l'avenir d'Haïti.
Il est important de noter que le statut TPS ne s'appliquera qu'aux personnes qui se trouvaient aux États-Unis au 12 janvier 2010. Celles qui tentent de se rendre aux États-Unis après le 12 janvier 2010 ne seront pas admises à ce statut et seront rapatriées.
Le ministère de la sécurité intérieure continue d'exprimer sa sympathie envers nos voisins haïtiens et soutient de toutes les manières possibles l'opération mondiale de secours qui a été entreprise. Quatre navires des garde-côtes des États-Unis sont arrivés en Haïti, en sus de diverses ressources des garde-côtes qui étaient déjà dans la zone, afin de prêter main-forte au contrôle aérien militaire, de mener des évaluations des dommages et de sauver les gens qui ont besoin d'assistance. L'Agence fédérale de gestion des crises (FEMA) continue de collaborer étroitement avec l'Agence des États-Unis pour le développement international (USAID) et avec le département d'État - qui sont à la tête des organismes fédéraux pour cette opération - tout en coordonnant le déploiement des équipes étatiques et locales de recherche et de sauvetage en milieu urbain qui convergent de tout le pays sur Haïti et en se tenant prêt à expédier des vivres, de l'eau et d'autres ressources en tant que de besoin. Le Service des douanes et de la protection des frontières (Customs and Border Protection, CBP) a mis à disposition des aéronefs à l'appui des opérations d'aide.
Les Haïtiens aux États-Unis qui sont admissibles à demander le statut de TPS doivent consulter le site d'Internet http:www.uscis.gov ou téléphoner à l'USCIS à son numéro vert (800)375-5283.
Les six pays membres de la Communauté économique des Etats de l'Afrique centrale (Cémac) ont rendu hommage samedi aux victimes du séisme ayant dévasté Haïti, lors du sommet de cette organisation à Bangui. A l'ouverture des travaux, le chef de l'Etat centrafricain et président en exercice de la Cémac, François Bozizé, a fait observer une minute de silence "en mémoire des victimes de l'effroyable tremblement de terre qui a frappé le peuple frère haïtien".La Cémac regroupe le Cameroun, la Centrafrique, le Congo, le Gabon, la Guinée équatoriale et le Tchad. Le Gabon a annoncé jeudi l'octroi d'"un secours d'urgence d'un million de dollars (près de 690.000 euros)" à Haïti. Vendredi, la Guinée équatoriale lui a accordé un "don à caractère urgent" de 2 millions de dollars (1,38 million d'euros) à la suite de la catastrophe survenue le 12 janvier, dont les secousses les plus vives ont frappé Port-au-Prince, la capitale, et ses environs. Le sommet de Bangui, qui s'achève dimanche, a également salué la mémoire du défunt président gabonais Omar Bongo Ondimba, médiateur de la Cémac pour la paix en Centrafrique. Omar Bongo est décédé en juin 2009 à l'âge de 73 ans, dont 41 au pouvoir. Son fils Ali Bongo, élu fin août et investi mi-octobre, lui a succédé à la tête de l'Etat gabonais.
Les six pays membres de la Communauté économique des Etats de l'Afrique centrale (Cémac) ont rendu hommage samedi aux victimes du séisme ayant dévasté Haïti, lors du sommet de cette organisation à Bangui. A l'ouverture des travaux, le chef de l'Etat centrafricain et président en exercice de la Cémac, François Bozizé, a fait observer une minute de silence "en mémoire des victimes de l'effroyable tremblement de terre qui a frappé le peuple frère haïtien".La Cémac regroupe le Cameroun, la Centrafrique, le Congo, le Gabon, la Guinée équatoriale et le Tchad. Le Gabon a annoncé jeudi l'octroi d'"un secours d'urgence d'un million de dollars (près de 690.000 euros)" à Haïti. Vendredi, la Guinée équatoriale lui a accordé un "don à caractère urgent" de 2 millions de dollars (1,38 million d'euros) à la suite de la catastrophe survenue le 12 janvier, dont les secousses les plus vives ont frappé Port-au-Prince, la capitale, et ses environs. Le sommet de Bangui, qui s'achève dimanche, a également salué la mémoire du défunt président gabonais Omar Bongo Ondimba, médiateur de la Cémac pour la paix en Centrafrique. Omar Bongo est décédé en juin 2009 à l'âge de 73 ans, dont 41 au pouvoir. Son fils Ali Bongo, élu fin août et investi mi-octobre, lui a succédé à la tête de l'Etat gabonais.
Des patrouilles conjointes font leur ronde depuis dimanche soir à travers les rues de Port-au-Prince. Les dossiers de prisonniers n’ont pas disparu. Nous gérons l’urgence maintenant. Mais aussitôt que ce sera calmé, nous nous mettrons à la recherche des prisonniers qui se sont évadés. Telle est la déclaration faite par un porte-parole de la Police Nationale Frantz Leurebourg au cours d’une conférence de presse au local de la DCPJ. Quatre mille détenus se sont évadés du pénitencier national tout de suite âpres le séisme. Mais nous les retrouverons les uns âpres les autres a dit le porte-parole de la police.
• • • La co-propriétaire de l’hôtel Montana, Nadiine Cardozo Riedl, , 62 ans a pu être dégagée vivante des décombres de l’hôtel dans les premières heures du dimanche 17 Janvier . Elle a été traitée par les médecins pour deshydratation mais ne portait aucune blessures sur son corps. Reihard Riedl a fait savoir qu’il se préparait à descendre à l’hôpital avec sa femme. • Les secouristes ont travaillé pendant plusieurs jours pour essayer de dégager les nombreuses personnes ensevelies sous les décombre: Les hôtes, le personnel et les visiteurs . • On ne sait mème pas combine de personnes séjournaient dans l’hôtel au moment du séisme parce que le registre de l’hôtel est lui aussi enseveli. Les secouristes ont travaillé pendant tous les jours ayant suivi le séisme pour essayer de dégager les personnes prisonnières des décombres. Ils ont libéré trios survivants tôt samedi matin. En général les secouristes dissent qu’après 72 heures les chances de trouver quelqu’un en vie sont très minces, Et bien Nadine Cardozo qui avait battu le record de la personne ayant passé le plus de temps en captivité ( quand elle avait été kidnappée) vient de battre un nouveau record, celui d’avoir passé 100 heures sous les décombres
“ Ma femme est increvable » a déclaré Reihard Riedl. Je l’avais perdu pour la deuxième fois et je la retrouve aujourd’hui encore. “
Il est très difficile d’avoir des nouvelles des parents portés disparus Des trois compagnies cellulaires fonctionnant dans le pays, seul Voilà fonctionne. Et souvent, il y a des problèmes de liaison.