Une mission de la Chambre de Commerce et d'Industrie Haïtiano-Canadienne (CCIHC) séjourne au Canada du 19 au 23 novembre 2013. Cette délégation de 40 membres, qui passera par Montréal, Ottawa, Ontario, entre autres, explore les opportunités d’affaires et de partenariat entre les deux pays dont le montant des échanges commerciaux s’élève déjà à 66 millions de dollars. Ces hommes et femmes d’affaires haïtiens sont donc à la recherche de relations commerciales plus approfondies. « Cette mission se veut une campagne de visibilité et de promotion positive d’Haïti au Canada », a déclaré Nathalie Pierre-Louis Laroche, présidente de la CCIHC.
Mardi, l'Amiral dominicain Sigfrido Pared, Ministre de la Défense a indiqué que la République Dominicaine avait renforcé sa présence militaire à sa frontière avec Haïti, en raison des actes de violence en Haïti « Notre objectif est d'assurer la sécurité à la frontière » a expliqué le Ministre
Dans une note, la Direction Générale du Centre de Facilitation des Investissements (CFI) « condamne vigoureusement les attaques gratuites qu'ont subies certaines entreprises, principalement dans la commune de Pétion-Ville, lors des manifestations du 18 novembre 2013 et présente ses sympathies à tous les investisseurs victimes des excès de certains manifestants. Depuis le 12 janvier 2010, des efforts extraordinaires et des sacrifices sans pareils sont consentis chaque jour par le secteur des affaires, principalement les Petites et Moyennes Entreprises (PME). Sachant que la force d'une économie dans tout pays, est directement liée à la capacité des PME de créer du travail et de la richesse, la Direction Générale du CFI salue le courage de tous ces haïtiens et haïtiennes, qui ont fait confiance au pays pour y placer leurs investissements. Le CFI veut lancer un message clair aux partisans de la violence. Les troubles incessants ne peuvent que nuire à ses efforts d'attraction de nouveaux investissements privés et de renforcement des PME. Aux membres du secteur des affaires, la Direction Générale du CFI, vous renouvelle son total soutien.
Le secteur syndical réclame un salaire minimum à 500 gourdes pour les ouvriers des différentes entreprises du pays. Le salaire minimum est passé de 70 gourdes à 200 gourdes par jour selon la Loi Benoit ( 2009) pour toutes les caté Dernièrement certains syndicats comme le KODEVI étaient en grève réclamant non seulement l’ajustement de salaire mais aussi des mesures d’accompagnement social, des subvention a nieau transport Logements sociaux et surtout le droit de choisir son médecin, l’hˆøpital où il sera soigné et un emps conge de maladie en rapport avec la maladieLe gouvernement a nommé un conseil supérieur du Salaire qui fialement a pu entrer en fonction et qui, après de nombreuses tergiversatons a anoncé pour le 29 Novembre l’annonce du Salaire minimum. Les syndicates d’ouvriers ont décié de manifester quatre jours avant cette date , soit le 26 Novembre à travers le pays pour rapeler au Conseil supérieur du Salaire ses diverses revendications. Les ouvriers ont eaucoup isisté sur le fait que les 300 gourdes promis par certaies enterprises est un salaire minimum lié à la production. C’est à dre por ‘btenir il faut faire un nombre de pieces bien determinees par jour, ce qui est ipossible dans la plupart des cas, ce qui ne les rend pas qualifié pour ce salaire de 300 gourdes. Vue l’augmentation constante du coût de la vie, vu les mauvaises conditions actuelles du niveau de vie de nos ouvriers, ils réclament en plus d’une sensible amélioration de leur salaire minimum, une subvention au niveau du transport, des logements sociaux adéquats, des soins de santé autant d’améliorations qui feront se transformer la vie de ces citoyens qui jouent un grand rôle et contribuent à relever le niveau économique du pays . Yannick Etienne de Batay Ouvriye était l’Invitée d’Elsie à Mélodie matin ce Jeudi et elle a aussi attiré l’attention sur les conditions de travail dans nos usines textiles de la sous-traitance, où il reste encore beaucoup à faire.
Le Dimanche 17 Novembre a été inauguré ce Musée érigé au sein de la Citadelle. Il présente la plus grande collection connue de bouches à feu du XVII ème siècle lit on dans une dépêche de Haïti Libre qui précise aussi que la quasi-totalité de ces cannons, ces mortiers ou obusiers en fonte ou en bronze d’origine française, anglaise espagnole et italienne ont été gagnés sur l’ennemi sur les champs de bataille par l‘armée indigène, commandée par le Général Toussaint Louverture puis par le Général Jean Jacques Dessalines. « Avec le Musée d’Artillerie de la Citadelle Henry commence un nouveau voyage à travers le temps et la vision du Roi Bâtisseur a déclaré Mme Michèle Gardère Frisch, directrice du Musée du Panthéon National Haïtien (MUPANAH) au Champs de Mars. La Directrice Générale de l’Institut de Sauvegarde du Patrimoine National (ISPAN) Mme Monique Rocourt a tenu, de son côté à exprimer toute sa reconnaissance envers les Pères Fondateurs de la Nation Haitienne : « Que grandisse à jamais notre amour pour cette terre qui nous a vu naitre, notre reconnaissance pour ceux qui nous l’ont transmise et notre engagement citoyen à la garder belle et digne pour nos fils. « Les travaux de réhabilitation d cette forteresse à la charge de l’ISPAN ont repris il y a 5 mois afin de permettre l’aménagement d’autres parties du musée telles que le quartier des officiers et le Palais des Gouverneurs.