Mais nous sommes heureux de pouvoir reprendre aujourd'hui avec les nouvelles pour vous tenir informés des faits saillants de l'actualité dans notre pays.
La séance devant le Sénat de la république a donné lieu hier mardi 13 mai à un spectacle encore jamais vu.
Tout a commencé parce que le Prmir Ministre nommé Jean Michel Lapin voulait conserver aussi son poste de Ministre de la Culture.
Les sénateurs de l'opposition sot montés au créneau, n'hésitant pas à lancer des invectives.
c'était à qui hurlerait davantage.
Finalement, l'un de ces excités a même été jusqu'à `vouloir agresser physiquement le Premier Ministre nommé, Monsieur Jean Michel Lapin, en tirant sur sa veste. C'est alors que le Sénateur Lambert est sorti de ses gongs. Et pour éviter ue des membres de l'assistance n'en vienne aux mains, le Président de l'Assemblée, carl Murat Cantave a arrêté la séance.
aucune date n'a été prise pour la présentation de la politique Générale par le Premier Ministre qui été descendu au Parlement e compagnie de son cabinet ministériel
La crise haitienne sera analysée par l'ONU
Des diplomates de 11 pays constatent que la situation est très difficile en Haiti. A la fin d'une visite d'évaluation de 48 heures la semaine écoulée, les représentants de 11 états membres du conseil économique et social (Ecosoc) des Nations Unies, ont annoncé des séances de travail dans les prochains jours sur la crise haitienne entre le conseil de sécurité et l'ecosoc.
Nous allons dire au Conseil que la situation est très difficile en Haïti où 2.5 millions de personnes ont besoin une assistance humanitaire », a laissé entendre M. Max Blanchard.
Les diplomates onusiens sont également préoccupés par le rôle de l'ONU dans la conjoncture de crise. M. Blanchard a promis de mettre l'accent sur la necessité pour que l'ONU ait toujours une forte présence en Haïti, notamment à travers ses nombreuses agences.
« Nous allons discuter des choses que nous avons constatées en Haïti relativement au déploiement prochain de la mission politique spéciale. Celle-ci fera la transition entre la MINUJUSTH et le futur de la présence des Nations unies ici en Haïti, a t-il ajouté.
De l'avis de M. Blanchard la mission politique spéciale devra répondre à dossiers urgents. « Il faut qu'elle permette de faire face aux défis posés par les questions liées aux gangs éparpillés un peu partout dans le pays. Il faut toucher au symptôme mais aussi à la racine de certains de ces problèmes », a t-il précisé faisant valoir que le rôle de cette mission sera d'assurer la transition, de faire le lien avec les agences des Nations unies mais aussi avec le gouvernement haïtien et les acteurs de la société civile, politique, académique, etc.
Le groupe consultatif spécial du Conseil économique et social (ECOSOC) sur Haiti, présidée par le canadien Marc-André Blanchard, a eu des échanges avec le chef de l'état Jovenel Moïse ainsi que les acteurs socio-économiques et des dirigeants politiques. « Nous avons eu des échanges sur les véritables débats qui se font ici en Haïti. La mission a été intéressante.
LLM / radio Métropole Haïti
LE COLONEL MAX VALLES
LE COLONEL MAX VALLES ,ECRIVAIN , POETE , DRAMATURGE , ANCIEN MEMBRE DU CONSEIL NATIONAL DE GOUVERNEMENT DU 7 FEVRIER 1986 VIENT DE FAIRE LE GRAND VOYAGE AUJOURD'HUI 28 JUIN 2019 !
NOUS SALUONS SA MEMOIRE ET PRESENTONS NOS CONDOLEANCES A SA FAMILLE ET A SES FRERES D'ARMES .
RIP COLONEL MAX VALLES .
YON BON MOUN FEK KITE LATE !
L’HISTORIEN MICHEL HECTOR
Nous avons appris avec beaucoup de tristesse que l’Historien, Professeur Michel Hector nous a quitté vendredi soir (5 Juillet).
C’est une perte inestimable pour le pays
RIP Michel !
Inquiète, l’Union européenne appelle à la mise en place d’un nouveau gouvernement
Dégradation de la situation économique, recrudescence de l’insécurité, troubles sociaux, violation des droits de l’homme, absence de gouvernement depuis deux mois, investissement à l’arrêt…Un triste tableau de la réalité du pays peint par l’Union européenne (UE) . Dans une prise de position rendue publique, mardi, l’UE lance un appel sans condition au dialogue, la mise sur pied d’un gouvernement et le vote d’un budget entre autres.
« La délégation de l'Union européenne en Haïti exprime ses inquiétudes face à la situation générale du pays qui, confronté à des défis majeurs et urgents, reste depuis près de deux mois dans l’attente de la ratification d’un nouveau gouvernement », a dit constater l’UE dans cette prise de position.
L’UE a dit aussi constater que le sur le plan économique, la gourde continue à dévisser, la pauvreté s'aggrave et l'investissement est à l'arrêt. « Sur le plan politique, de fortes tensions ont provoqué de graves troubles sociaux ainsi qu'une profonde détérioration de la sécurité et de la situation des droits de l’homme ; de plus, ces tensions font peser des incertitudes sur la tenue des élections législatives prévues pour octobre prochain », a fait remarquer l’Union européenne.
Dans ce contexte, la délégation de l'Union européenne rappelle à tous les acteurs l'urgence de la tenue « d'un dialogue inter-haïtien franc et inclusif, sans préconditions, en vue de parvenir à un projet national fédérateur. Intégrant les secteurs politique et économique ainsi que la société civile, ce dialogue, selon l’UE, doit permettre d'aboutir dans les meilleurs délais à un consensus sur les réformes à mener pour renforcer les institutions, améliorer la gestion des finances publiques et stimuler l’investissement dans le but de mieux répondre aux besoins fondamentaux de la population ».
« La mise en place d'un nouveau gouvernement doit offrir une opportunité d’accélérer la réalisation des réformes conformément aux engagements pris par l’État haïtien et de poursuivre les actions en matière de reddition des comptes, en facilitant l’aboutissement des procédures légales en cours. Il est également urgent d’assurer une investigation exhaustive des violations des droits humains, y compris sur les événements de La Saline, et d’assurer la protection des citoyens et des défenseurs des droits de l’homme », exhorte l’UE tout en promettant au gouvernement son appui.
L’UE a souligné que le processus de dialogue devrait également créer les conditions propices à la réalisation des élections parlementaires, conformément au calendrier prévu par la Constitution, évitant ainsi un vide institutionnel, tout en permettant aux citoyens de se prononcer sur l’avenir du pays de façon démocratique.
L’Union européenne plaide enfin pour « la tenue d’un processus électoral équitable, ouvert et transparent repose notamment sur l’adoption du projet de loi électorale préparé par le Conseil électoral provisoire, l’attribution d’un nouveau mandat à ce Conseil, l’adoption des budgets nécessaires à l'organisation des élections, la mise à jour des listes électorales et la délivrance de nouvelles cartes d’identité ».
Robenson Geffrard Source Le Nouvelliste
1165 migrants haïtiens déportés en 5 jours par les autorités dominicaines
Au cours d’une serie d’opérations menées dans différents secteurs de dix provinces dominicaines et dans le district national, mille 165 ressortissants haïtiens, dits en situation irrégulière, ont été arrêtés puis deportés par les autorités dominicaines aux points frontaliers de Dajabon et Jimani pour la période allant du 21 au 25 mai dernier.
Santo-Domingo, le 29 mai 2019.- Les autorités dominicaines ont informé, à travers la Direction générale des migrations (DGM), avoir deporté en Haïti mille 165 compatriotes présentés comme des étrangers qui vivaient en situation irrégulière de l’autre côté de la frontière.
Les opérations ayant conduit à l’arrestation de ces ressortissants haïtiens ont été menées dans pas moins de dix provinces ainsi que dans le district national, entre le 21 et le 25 mai 2019.
Ce sont des inspecteurs de l’immigration qui ont réalisés ces opérations avec l’appui notamment des forces armées dominicaines à travers leurs composants terrestres, maritimes et aériennes.
Le numéro un de la DGM, le lieutenant général Maximo W. Nuñis Delgado a précisé que les autorités haïtiennes ont été informées de la déportation de leurs compatriotes qui ont eu lieu, a-t-il dit, « dans le respect de leur dignité ».
122 haïtiens ont été arrêtés à Santiago, 236 à Valverde, 342 à Santo Domingo, 133 à La Vega et 103 à Peravia, a détaillé le responsable de la DGM.
Aussi, a-t-il soutenu que ces opérations vont se poursuivre en application de la loi 285-04.
Vant bèf info (VBI)