Le lundi 17 Octobre les membres de SOFA à Lascahobas organisent une marche à partir de Mirebalais (Deye Kwa pou rive Meille, la ou les Népalais avaient déversé leurs matières fécales dans la rivière Meille, affluent de l'Artibonite) pour arriver devant la base de la MinustaH; but de la Manif: exiger le départ de la MINUSTAH, pour que l'ONU RECONNAISSE que ce sont eux qui ont apporté le CHOLÉRA dans le pays, le Dédommagement des victimes. A l'occasion des journées du 15-16 17 Octobre et sur la trace des héroines,et des héros de l'independance, nous continuerons de lutter pour la souveraineté de notre Pays. ( SOLIDARITE FANM AYISYEN)
Tel est celui adopté par le president Michel Martelly, de retour de la République où il avait été participer à un sommet sur l’Amérique Latine. Le Président est revenu sur l’incident qui l’avait opposé à un parlementaire au cours de la semaine dernière et a clamé : “Je suis prêt à refaire ce que j’avait fait. “ ON se rappelle qu’il avait échangé des propos injurieux avec un depute. Et bien ceux qui attendaient des excuses du président de la république en ont été pour leurs frais: “ Quiconque vient au Palais et se met à injuriuer la présidence peut ne pas pouvoir laisser le palais, mème si laé qui a encore ajouté : "Vous n’avez encore rien vu, ce président va être cynique”. “Ceux qui parlent plus fort sont souvent des gens qui ont pris refuge au parlement, se sont des repris de justice et des évadés de prison”, a déclaré le président Martelly accusant l’ancien gouvernement et l’ancien conseil électoral d’avoir propulsé ces gens qu’il n’a pas cités au Parlement pour les utiliser
Le president a aussi critique au cours de ce point de presse, lors de son retour de la République dominicaine, l’anarchie regnant dans la circulation automobile où chacun fait ce qu’il veut, méprisant les sens uniques, doublant un véhicule qui attend le feu vert et tournant sans crier gare… bref, c’est un veritable cauchemar la conduite automibile dans notre pays Le Président a donc critique le désordre regnant et en a profité pour critiquer la corruption regnant au sein de l’administration publique. La justice qui fonctionne à deux vitesses, des gens volent des terres. Autant de choses auxquelles le president annonce qu’il va mettre de l’ordre.
Ce lundi 17 octobre 2011, à l'occasion des cérémonies de commémoration du 205ème anniversaire de la mort du Père Fondateur de la patrie, l'empereur Jean-Jacques Dessalines (Jacques 1er), le Président de la République Michel Martelly, accompagné d'officiels du gouvernement, de ministres, sénateurs... se rendra à 7 heures du matin à Pont Rouge (Chancerelles) pour le dépôt de la gerbe de fleurs au pied du monument de Dessalines.
Ensuite à 9h30 du matin le Chef de l’État assistera à une messe de requiem suivi d’un Te Deum qui sera chanté à l'église Marchand-Dessalines. À la Place d'Armes de Marchand-Dessalines il délivrera un message de circonstance. Une réception sera également offerte en l'honneur du Président de la République à l'École Sainte-Claire. Jean-Jacques Dessalines est né le 20 septembre 1758, tout d'abord esclave à Saint-Domingue. Puis, durant les troubles qui mènent à l'indépendance de l'île, il devient lieutenant de Toussaint Louverture et organise en octobre 1802 la mutinerie de l'armée de Saint-Domingue contre l'expédition napoléonienne. Il a combattu le général mulâtre André Rigaud et le général français Charles Leclerc. En 1803 il réussi à vaincre les Français à la bataille de Vertières, et le 1er janvier 1804 Dessalines proclame l'indépendance d'Haïti. Il se fait d'abord gouverneur général à vie, puis premier Empereur d'Haïti (1804–1806) sous le nom de Jacques 1er. Le 17 octobre 1806, Jean-Jacques Dessalines fût assassiné à Pont-Rouge.
Au cours d’une rencontre avec des responsables de groupes de bénévolat international, Mgr Guire Poulard, l’Archevêque de Port-au-Prince, a déclaré « Il faut remettre de l’ordre dans l’administration en Haïti » parce que « si le pays était bien organisé, en dix ans, il serait reconstruit » ajoutant que les personnes qui sont au gouvernement, tout comme les Sénateurs et les membres du Parlement, « ne sont pas préparés » (Haiti Libre)