Qui est Palmist Enèji?
C’est une entreprise franco haïtienne crée par Entrepreneurs du Monde et installée en Haïti depuis deux ans.
En deux ans, l’entreprise a beaucoup realisé.
D’abord réduire le déboisement accéléré.
- donner une formation à 280 entrepreneurs qui vendent les produits.
- Ensuite mettre sur le marché toute une gamme de produits:
1) réchaud au gaz propane
2) 2) Réchauds améliorés au charbon de boi ou en riquette ( Ti Kaidè
3) réhauds photo voltaïque fonctionnat avec le solaire.
A cela il faut ajouter les lampes solaires fonctionnant à l’aide de petits panneaux solaires . Ces lampes sont munies de connections (plugs) permettant les recharges de téléphones.
Les panneaux solaires peuvent aussi être utilisés par les marchandes Manje Kouit pour leurs réchauds améliorés à plusieurs foyers.
L’objectif de Palmist Enèji est de permettre l’accès de tous à une énergie propre, moderne et économique.
Si vous voulez participer au réseau Palmis Enèji, composez le numéro :
3883-2702.
Et vous pourrez vous aussi devenir revendeur, comme ces 280 personnes qui après une formation sont devenus membres du réseau.
C’est le lund 24 Novembre à Santo-Domingo, qu’ont été attribué les Prix du concours « RIYA 2014 » organisé par la Caribbean Export Development Agency (Caribbean Export). Cette Édition 2014, était axée sur l'économie verte et visait à promouvoir les investissements dans des initiatives de pratiques respectueuses de l'environnement et du développement durable. Initiatives qui protègent la fragilité de l'écosystème de la Région, sa flore, sa faune et les populations.
L’entreprise, « PALMIS Enèji », qui représentait Haïti au « RIYA 2014 » a remporté le prestigieux Prix de l’investisseur étranger de l’année (Foreign Investor of the Year 2014). Ce Prix vise à honorer les investisseurs étrangers (ressortissants non-Caraïbes), qui ont investi dans des opérations dans la région, qui ont généré un effet significatif sur l'économie verte. Par ailleurs, avec cette récompense, PALMIS Enèji met Haïti sous les projecteurs à l’étranger, pour ses efforts dans l’amélioration de l’environnement des affaires, ce qui contribuera à attirer de nouveaux investisseurs pour participer au développement économique du pays.
Créée en 2012 par l’organisation française Entrepreneurs du Monde, PALMIS Enèji veut permettre l’accès de tous à une énergie propre, moderne et économique. En deux ans d’activités, elle a distribué près de 15,000 produits (lampes solaires et réchauds améliorés). Ces ventes ont permis d’améliorer le quotidien de près de 60 000 personnes en leur permettant d’épargner par an, plus de 500,000 dollars américains de combustible tout en réduisant l’impact des fumées toxiques sur la santé des personnes. Par ailleurs, cela a permis de sauvegarder plus de 15,000 tonnes de bois et de réduire de plus de 20,000 tonnes par an, les émissions de CO2 en Haïti.
Accompagnée par de solides investisseurs éthiques : Entrepreneurs du Monde, « Yunus Social Business » et le Grameen Crédit Agricole, l’entreprise haïtienne espère bien augmenter son impact positif en Haïti.
Rappelons que les candidatures haïtiennes ont été transmises par le Centre de Facilitation des Investissement (CFI) qui est l’organe de relai du « Regional Investors of the Year Award en Haïti »
Notez également que c’est le CFI qui a notamment permis la création de cette entreprise, en facilitant la venue des investisseurs étrangers partenaires de PALMIS Enèji.
Jean Monestime vient d'être élu à la présidence de la Commission de « Miami-Dade Board of County Commissioners », en Floride « Je suis profondément touché et honoré par la confiance que mes collègues ont placée en moi, et je suis très excité et impatient de continuer à travailler avec tous mes collègues commissaires dans un esprit d'unité pour que Miami-Dade County continue à aller dans un sens positif » a déclaré le Commissaire Monestime. « Je suis également profondément reconnaissant à cette grande Nation et cette merveilleuse communauté, de m'avoir donné l'occasion de servir et surtout de prouver que le rêve américain est encore très vivant pour toute personne qui travaille assez dur pour y parvenir. »
A partir du 1er janvier 2015, Jean Monestime, haïtiano-américain, originaire de Saint-Louis du Nord, présidera cette structure de 13 membres chargée de l’administration du plus grand comté de l’État de la Floride avec un budget estimé à plus de 6 Milliards de dollars américains.
François Guillaume II, le Ministre des Haïtiens Vivant à l’Étranger, a déclaré « Jean Monestime a écrit une nouvelle page dans l’histoire de la politique américaine en devenant le premier haitiano-américain à occuper cette fonction dans l’État de la Floride. Au nom de l’Administration Martelly/Lamothe, le MHAVE souhaite du succès continu à Monsieur Monestime dans ses nouvelles attributions. »
Qui est Jean Monestime ?
Originaire de Saint-Louis du Nord, Jean Monestime a émigré aux États-Unis à l’âge de 17 ans sans ses parents. Il est détenteur d’une Licence en Finances et d’une Maîtrise en Gestion des affaires.
Projections, débats et conférence auront lieu le 30 Novembre et le 19 décembre sur le site du Centre d’Art à Port-au-Prince.
A cet effet le site a été complètement nettoyé et on n’y voit plus les amoncellements de briques datant du séisme après lequel la mieille batisse abritant le Centre s’était effondrée. .
Maintenant deux petites constructions, style “ginger bread “ ont été erigées, pour abriter les acteurs du Festival 4 Chemins, inauguré à Port-au-Prince le 24 Novembre dernier. .
Les murs de la propriété sont ornés de grandes fresques avec les photos des grands noms du Centre d’Art: DeWitts Peters, Francine Murat, Selden Rodman, et tous les grands peintres Hector Hyppolite , Rigaud Benoit, Georges Liautaud, Edouart Duval-Carrié et Murat Brierre et ses tableaux en metal découpé etc…etc…
Tout au fond de la propriété une petite maison abrite les bureau et tout à côté le container contenant les oeuvres sauvées de séisme du 12 Janvier 2010.
La reconstruction du Centre d’art n’a pas vraiment commencé mais cet événement montre que les choses bougent. Le Festival 4 Chemins aura un site nouveau, en dehors de ceux de Fokal et de l’Institut Français
A la fois galerie et espace de formation, le Centre d'Art est un lieu de brassage social unique en Haïti : intellectuels, autodidactes, artisans et visiteurs étrangers de renom s'y croisent. Il a permis l'éclosion de plusieurs générations d'artistes renommés : Hector Hyppolite, Rigaud Benoit, Georges Liautaud, Edouard Duval-Carié etc. A partir de 1945, il est à l'origine de l'émergence du courant dit « naïf ».
Le Centre d'Art donne naissance au Musée d'Art Haïtien du Collège St Pierre, et à la réalisation des fresques murales de la Cathédrale de la Sainte Trinité.
Très tôt, le Centre d'Art a posé les bases du marché de l'art haïtien. Des institutions internationales, comme le Musée d'Art Moderne de New York, s'y procurent des œuvres de peintres haïtiens. Il est aussi à l'origine de la création du premier journal sur les arts Plastiques en Haïti « STUDIO N°3 ».
A la suite de DeWitt Peters, en 1965, Francine Murat prend la relève et poursuit la vision du fondateur. Elle fait vivre l'esprit du Centre et parvient à maintenir le prestige du lieu jusqu'à son effondrement le 10 janvier 2010. Francine Murat mourrait quelques temps après, laissant le Centre d’Art Orphelin.
Nous ne savons pas ce que serait devenu ce haut lieu de la culture haïtienne si le Smithsonian Institut de Washington n’avait fait l’acquisition du Centre., commençant pas mettre à l’abri tous ces chefs d’oeuvres de l’art haïtien qui se trouvaient sous les décombres.
Le reste viendra après.
Le Centre d’Art est en de bonnes mains. Et tous les espoirs sont permis.
En dehors du Smithsonian, les membres du Board du Centre d’Art sont aussi à l’oeuvre, surveillant ces trésors gardés sur la propriéeté, sans oublier les gardiens qui vivent les moindres étapes du relèvement de ce haut lieu de la culture haïtienne.
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Créé sous l'impulsion de l'aquarelliste américain DeWitt Peters, le Centre d'Art joue un rôle fondamental dans l'histoire de la peinture haïtienne. Il a été reconnu d'utilité publique en 1947.
Le Chef de l’Etat n’a pas été très bavard. Son adresse à la nation n’aura duré que quelques minutes. Mais il a fait savoir qu’il formait une commission présidentielle, sorte de Conseil consultative pour aider à sortir de cette crise, la pire qu’il ait jamais connu depuis le début de son mandate.
Martelly a fait cette annonce à 8 heures du soir le vendredi 28 novembre à la fin d’une journée encore caractérisée par des manifestations violentes à travers le pays, pour demander son départ.
“ Le pays est divisé. Les problèmes sont nombreux. Les problèmes sont compliqués” a déclaré Martelly.
Haïti n’a pas eu d’élections depuis l’année 2011 et le 26 octobre, date choisie pour la tenue d’élections s’est vu encore repousser par le gouvernement.
Gouvernement et Oposition sont à couteaux tirés au sujet de la Loi électorale que les sénateurs de l’oposition ont refusé de voter, évoquant son caractère inconstitutionnel.
Au lieu de cela ces sénateurs de l’opposition se sont joints aux membres de l’oposition qui ont une fois de pus gagné les rues pour demander le depart du gouvernement en place.
Le Vendredi 28 Novembre les manifestants dans la ville des Gonaïves ont plutôt demandé que les sénateurs de l’opposition votent la loi, ce qui permettrait aux élections d’avoir lieu. Martelly a fait la même demande au cours de son adresse à la nation. Et il a rappelé que son gouvernement a fait plusieurs propositions durant ces deux mois d’échange avec l’opposition.
Les demandes adressées au président incluent le depart du Premier ministre et de quelques membres du cabinet ministerial, Des changements à opérer au sein du conseil électoral et la prolongation du mandat des parlementaires pour éviter un vide politique qui autoriserait le président de la république à gouverner par décret à partir du 12 Janvier 2014.
Martelly a tenu à préciser que les 11 membres du Conseil consultatif nommé le 28 novembre incluent des politiciens connus et des membres du secteur privé.
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Ce conseil a 8 jours pour communiquer son rapport au chef de l’état.