Le groupe des candidats à la Présidence du Groupe des 8 (G-8) se dit révolté et choqué après avoir visionné une vidéo circulant sur les réseaux sociaux montrant une scène de torture perpétrée par des policiers en uniforme sur la personne du militant bien connu Johnny CHARLES de Koridò Bastya et un autre militant non encore identifié.

 

 


Les militants ont été contraints de descendre leur pantalon et de compter le nombre de coups de fouet qui leur ont été administrés. Ils ont été aussi sauvagement piétinés par les policiers et ont reçu des coups de pied, voit-on dans la vidéo.
"Il s'agit là d'une pratique qui rappelle l'usage des fouets du commandeur de l'époque esclavagiste, d'un acte que le droit international des droits de l'Homme qualifie : " d'acte de torture, de traitement inhumain et dégradant", écrivent les membres du G-8.
La première République noire indépendante du monde, représentant la seule révolte victorieuse d'esclaves de toute l'histoire de l'Humanité, ne peut accepter des nouveaux colons, le retour au fouet, poursuit le G8, qui condamne toute tentative de retour à des actes de barbarie réduisant l'Haïtien à un état de sous-homme.