Si vous devez emprunter la route du SUD ces jours-ci, soit pour allr à léogane, Gressier, Jacmel ou bien , Grand goâve etit Goâve, Cavaillon les Cayes, la Grand’Anse… préparez vous à vivre quelque chose d’horrible, et aussi de fort déplaisant.
En effet, en raison de travaux que l’on effectue sur la route, enlever le béton et le remplacer par de nouvelles plaques, la chaussée se retrécit et cela vous fait voir ce que nous sommes devenue.
Oui.
Que de se mettre à la queue leuleu et attendere de dépasser la mauvaise passé, chacun se transforme en “ il me faut passer de vant coûte que coˆ¨te”.
La route qui était devenue une route à une seule voie, se transforme brusquement en chemin à 2, puis à 3 et meme à quatre vois ( dans le meme sens. Cela signifiqie que pas moyen de passer du tout pour les chauffeurs venant en sens inverse…
Il faut atendre et attendre que l’on puisse passer.
C’est le blocage parfait et nous avons entendu des voyageurs raconteur qu’ils ont fait huit heures avant de pouvoir continuer la route…
Et encore heureux que leur véhicule en soit sorti indemne
Si à l’aller nous sommes arrives à nous en tirer, parce que nous avions eu la bonne idée d’emprunter la Route de Sous Dales, passant par l’habitation Leclerc et sortant par Fontamara 43, ce qui vous met Presque en face de la Route des Rails… les choses ont été differrentes au retour.
En effet trompés par un semblant de fouidité de la route de Carrefour au moment de ce retour, nous n’avons pas pris tout de suite la bretelle conduisant à la route des Dalles
Nous sommes donc restés sur cette route direction Carrefour.
Mezami… nous avons vécu l’enfer…
Mais notre chauffeur vraiment pas né d’hier, et arrive à se frayer un chemin dans la meute de véhicules en somme quasi immobilize pour monter au niveau de la grosse pancartea; Habitation Leclerc.
Nous contournons la demeure de Catherine Dunham et continuons notre route dans Sous Dalles quand brusquement, c’est l’ebouteillage.
Un embouteillage monster.
Et là c’est autre chose que la route de Carrefour.
En effet non seulement la chaussee est complètement défoncée, les adoqins, déchaussés laissant place `a d’immenses crevasses, mais l’étrout chemin avec par endroit les véhicules tranqilement parquets deviant une route à deux trois voies.
Deux, circulant vers St gérard, la troisième venant en sens inverse.
Mais ce n’est pas tout, il y a des bretells autre que la notre et sur chacune de ces voies aboutissant à Sous Dalles, des trombes de véhicules rrivent, certains n’arrivant pas à monter le petit morne, fores de faire demie tour et de retourner à leur enfer.
Mais la plupart ont decider de passer coûte que coûte et au risqué de démolir les voitures déjà sur la route arrivent à se frayer un passage. C’est où tu me laisse passer, où je ted émolis.
Nous avons mis 4 heures pour sortir de l’enfer.
La voiture en a pris un coup , un coup dur, car elle chauffait dangereusement dans cette galere.
Et dans tout ça, pas une police de la route, pour tenter de rétablir tant soit peu les choses.
Non, pas le moindre policier à l’horizon
Et nous sommes meme passzés devant un commissariat, celui de martisant.
Les habitants de Ti Bois, Grand Ravine… avaient l’air résigés. ‘est un quartier où les gens un dimanche après midi vaquent à leurs occupation. Et bien pour passer il fallait avoir l’esprit d’aenture.
Et quand aux marchandes installés le long de la route, elles avaient du pousser leur panier tout contre le mur d’enceinte des maisons, elles derrières regardant passer ces monstres qui ne passaient pas vraiment, fausant du sur place et tentant de resperer quant meme, puisqu’elles se trouvaient à hauteur des pots d’échappement
Si vous n’ae pas vécu un après midi sur la route du Sud à l’occasion des travaux effectués sur la chaussée, estimez vous heureux.
Car ce qui est plu terrible, ce n’est pas d’être bloqu´s sur la route, c’est plutôt de voir ce que nous sommes devenus.
Des esp`ces de ôte toi de là qe je m’y mette…
En somme des sots, car avec un coportement autre, traaux ou pas, il y aurait eu un certain ralentisement de la circulation mais rien de comparable aux boucons auxquels on assiste ces jours-ci
Aussi
Bonne Chance si vous deve emprunter la route du Sud.
Et comme che nous, les traaux prennent des ois avant d’être terminés..
Et bien nous ne sommes pas encore sortis de l’auberge !
« Lundi 14 août, sera une nouvelle journée de tensions et de blocages de toutes les voies de communication à Petit-Goâve » ont annoncé dimanche soir vers 10h30 des militants du PHTK et alliés de Petit-Goâve, sur les ondes de la Radio Préférence FM « Puisque la Primature nous a menti, nous allons occuper le macadam très tôt lundi. Le Gouvernement doit respecter ses promesses envers nous, ou bien il nous intègre dans l'administration publique ou bien nous continuerons à manifester constamment. Lundi nous montrerons de quoi nous sommes capables : la route nationale #2 sera bloquée » ont menacé les militants. HL/ HaïtiLibre / Guyto Mathieu (Correspondant Petit-Goâve)
La route de Malpasse a été bloquée durant des heures dans la matinée du 14 août 2017. Les véhicules assurant le trajet du point frontalier Malpasse/Jimani ne pouvaient pas circuler. Les commerçantes et commerçants ne pouvaient pas non plus franchir ce tronçon de route suite à un incident opposant un chauffeur de taxi moto et des agents de douane de Malpasse.
Fenel Zetrenne, le chauffeur de moto, transportait des marchandises non autorisées. Pour échapper au contrôle de douane, il a contourné la voie principale. Des agents douaniers qui voulaient le rattraper, l’ont heurté avec leur véhicule. Il s’est blessé au pied.
Mécontents, des sympathisants ont lancé des pierres en direction des locaux de la douane. Le véhicule du directeur de l’institution, Frantz Multidor a été endommagé, a observé un animateur du GARR à Ganthier, Eddy Antoine.
A la mi-journée, la situation allait revenir à la normale et les activités commerciales ont repris.
Le GARR invite les autorités haïtiennes à promouvoir un espace de dialogue avec les communautés frontalières pour éviter les troubles incessants qui paralysent les activités commerciales et empêchent la libre circulation des usagers et usagères.
A son débarquement à l’aéroport de Miami, le dominicain descendu de sa cachette, s’est rendu au terminal comme tout autre passager. Il a soumis un faux passeport jamaïcain comme document d’identification, au point que l’inspecteur des services de migration qui s’en est rendu compte, a alerté les autorités qui ont vite procédé à son arrestation.Selon les détails obtenus par Rezo Nòdwès, Santos a été arrêté à l’aéroport de Miami, une dizaine de minutes après avoir sorti du train d’atterrissage de l’avion, le vol 1026 de la AA qui venait de SantoDomingo.
Les nouvelles ont précisé qu’il a été mis aux arrêts par les autorités fédérales américaines lors d’une opération conjointe impliquant des agents du FBI (Federal Bureau of Investigation) et ceux des services de l’Immigration et des douanes (ICE), pour, selon les motifs évoqués, avoir atteint irrégulièrement le terminal réservé aux passagers.
« Après presqu’ une heure de vol dans le compartiment du train d’atterrissage entre les roues avant de l’avion, j’avais très froid et tout mon corps tremblait » a raconté Santos aux agents du FBI qui le questionnait à Miami. « Mais Dieu m’a aidé à tout surmonter et je peux arriver ici sain et sauf« , a-t-il déclaré en substance aux autorités qui l’a passé au peigne fin pour être sûr qu’il n’était pas porteur d’explosifs. Des chiens spéciaux assistaient les policiers dans leurs fouilles du passager clandestin.
Selon des sources concordantes, les autorités continuent leurs enquêtes pour savoir si le jeune passager clandestin a reçu une quelconque collaboration de la part du personnel de l’aéroport Las Americas ou d’un organisme d’assistance pour arriver à pénétrer la zone d’accès restreint du terminal où était garé l’avion de la AA.
En dernière minute, nous avons appris que le jeune homme est retourné à Santo Domingo, après avoir subi un interrogatoire qui a duré plus de trois heures à Miami. Il a été expulsé vers son pays par le vol 1511 de la AA, cette fois-ci bien assis, sans payer le « One way ticket » vers Santo Domingo.
La corruption en Haïti est « pire que sous la dictature de Duvalier »
PUBLIÉ LE LUNDI 14 AOÛT 2017 À 18 H 20
« Il n’y a plus d’argent, les appétits se sont ouverts et il y a une absence de chef, estime le sociologue Auguste D’Meza. C’est pire qu’à l’époque de Duvalier. »
Le pays a connu un sombre épisode de son histoire de 1971 à 1986, sous le règne de l’ancien président Jean-Claude Duvalier, qui a détourné près de 100 millions de dollars sous le couvert d'oeuvres sociales. Sa dictature est marquée par une atteinte aux droits de la personne, ses opposants politiques étant à l’époque torturés, voire assassinés.
Mais aujourd'hui, la corruption est monnaie courante, au point où les Haïtiens ne cherchent même plus à la combattre, selon M. D'Meza. Les citoyens ont baissé les bras et ont abandonné l'espoir de tout changement politique, déplore-t-il.
Des entrepreneurs aux ONG
Source de bien des maux au pays, la corruption prend souvent la forme de la surfacturation, surtout dans le domaine de la construction. Le gouvernement peut ainsi suspendre les appels d’offres en décrétant l’état d’urgence à son bon vouloir.
Les catastrophes naturelles qui ont frappé le pays au cours des dernières années - ouragans, inondations, tremblements de terre - ont permis au gouvernement haïtien d’avoir recours à ce stratagème plus d’une fois.
Le processus s’en trouve court-circuité, explique Marie-Yolène Gilles, qui a fondé le Réseau national de défense des droits humains en Haïti. Mme Gilles a toutefois quitté l’organisation après que son directeur général eut lui-même été accusé de corruption.
« [En Haïti], il y a une très mauvaise gestion. On l’a vu avec [le séisme] du 12 janvier 2010 et avec l’ouragan Matthews », observe-t-elle.
Marie-Yolènes Gilles est loin d’être la seule à dénoncer la mauvaise gestion des fonds, qui n’est pas uniquement le propre des entrepreneurs. Des ONG étrangères ont aussi contribué à la corruption au pays, comme l’a démontré en 2015 une enquête des médias américains NPR et Propublica.
La Croix-Rouge américaine aurait ainsi dépensé moins du dixième des 500 millions de dollars en dons récoltés pour venir en aide aux Haïtiens après le séisme de 2010.
« Haïti est un pays corrompu. On n’a pas besoin de le cacher », soutient Véus Davidson, un jeune Haïtien qui compte quitter le pays dès qu'il obtient un visa étranger, faute de trouver un emploi.
Avec les informations de Philippe Leblanc.