Taux Pratiqués sur le marché des changes pour la journée du 26 Juin 2015
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Organisations des droits humains, de la société civile et du secteur religieux constatent avec stupéfaction les conditions infra humaines selon lesquelles se fait les déportations de république dominicaine
Les organisations des droits humains, de la société civile et du secteur religieux constatent, avec stupéfaction, les conditions infrahumaines, dégradantes et révoltantes dans lesquelles la République dominicaine déporte les compatriotes haïtiens et expulse des Dominicains (nes).
Après une première évaluation rapide de la situation, elles estiment qu’il y a déjà une grave crise humanitaire (selon les autorités haïtiennes, plus de 10, 000.00 personnes ont déjà été forcées à laisser le territoire dominicain dans les conditions déjà signalées, la plupart d’entre elles n’ont pas eu la possibilité de prendre leurs effets, certaines sont mortes en cours de route…).
Les organisations des droits humains, de la société civile et du secteur religieux estiment aussi que la situation donne lieu à de graves violations des droits fondamentaux et de la dignité humaine, laquelle situation doit révolter la conscience de l’État haïtien et de la communauté internationale dans son ensemble. En effet, le respect de la dignité humaine constitue le fondement de la Charte des Nations Unies et une obligation internationale collective (voir, à ce propos, le préambule et les articles 55, 56 de la Charte de l’ONU).
A travers une note signée notamment par les responsables du RNDDH, du CARDH, du CONHANE, de la POHDH, du GARR et de l'ISC ainsi que de Religion pour la Paix et de la presse, ces différents secteurs appellent l'état a suspendre toute négociation avec les autorités dominicaines et d'exiger d'elles le respect du protocole signé en 1999 par les deux états sur les mécanisme de rapatriements.
Ces organisations demandent aussi aux autorités d'intervenir au niveau des différentes instances internationale sur le plan diplomatique ou juridique afin notamment d'obtenir le déploiement d'une mission d'évaluation dans le pays.
Les différents secteurs réclament également des responsables de l'état qu'il mettent en place un plan d'accueil efficace et respectueux des droits des expulsés et qu'ils s'expriment clairement sur ce sujet en tenant la
La plateforme des organisations de défense des droits humains (POHDH), estime critique et alarmante le problème de l'eau en Haïti, dans sa traditionnelle conférence de presse organisé ce vendredi sous le thème : la marginalisation de l'eau une menace pour les droits humains.
Le responsable du programme éducation culture et les droits humains de la plateforme Alermy Kervilus précise, que selon un dernier rapport de la DINEPA environs 50 % de la population utilise de l'eau contaminée et 30 % marche plus de 30 minutes avant de trouver de l'eau.
Pour sa part le secrétaire exécutif de la POHDH Anthonal Mortime considère cette situation comme une violation des droits humains, puisque l'état pas prendre en charge la population, selon lui, le droit a l'eau, est un droit sacré comme les droits civils et politiques.
Des organisations des secteurs religieux, des droits humains et de la société civile fixent leur position sur la crise haïtiano-dominicaine.
:Vendredi, Sophie De Caen, la Directrice principale du Programme des Nations Unies pour le développement (PNUD) a annoncé que les fonds fiduciaires consacrés à l’organisation des prochaines élections de 38 millions de dollars, sont passés à 44 millions grâce à une contribution supplémentaire du Brésil et des Etats-Unis qui ont apporté 6 millions de dollars. Rappelons que le budget global des élections s’élève à 68.5 millions de dollars américain..
Vendredi, Samson Jolibois, un haïtien de 47 ans, originaire de Port-au-Prince a été condamné par la justice américaine, à 192 mois de prison, suivis de trois ans de liberté surveillée pour avoir conspiré pour commettre des prises d'otages. Jolibois a également été condamné à payer plus de 32,000 $ en dédommagement.
Selon des documents judiciaires, Jolibois, qui avait plaidé coupable le 27 février 2015, faisait partie d'un groupe criminel, qui a enlevé et retenu en otage deux citoyens américains dans le secteur de Carrefour, en Haïti. Le groupe ciblait des citoyens américains d'origine haïtienne, qui étaient retournés pour visiter Haïti, parce qu'ils croyaient que ces personnes étaient issus de familles riches. Au cours de deux événements distincts, les membres du groupe criminel ont enlevé les victimes à la pointe de leur arme à l'extérieur de leur lieu de résidence et les ont tenue en otage pendant plusieurs jours tout en demandant une rançon de leurs familles. Les deux femmes qui ont été enlevé par Jolibois, était des citoyennes américaines naturalisées, d'origine haïtienne qui étaient en visite familiale. Dans un cas, la famille a payé une rançon 20,000 dollars. Dans l'autre, la police haïtienne a sauvé l'otage après trois jours de captivité.
Dana J. Boente, procureur américain pour le District Est de Virginie; et George L. Piro, agent spécial responsable du Bureau de terrain du FBI à Miami, ont fait cette annonce après la condamnation par le juge de district des États-Unis, Liam O'Grady. Cette enquête a été menée par le Bureau de terrain du FBI de Miami. C’est le procureur adjoint américain Michael P. Ben’Ary a poursuivi le cas.