Le jeudi 23 Novembre , les membres de l'opposition, ont envahi les rues, aux environs de 10:00 a.m.. Ils sont passés devant le Parquet de la ville et saisit les clefs de plusieurs voitures. Ensuite ils ont envahi la Mairie de Petit-Goâve, où ils ont mis le feu à la génératrice et saccagé des matériels et des bureaux, avant de poursuivre leur chemin... Aucune présence policière n'a été constatée sur les lieux au moment où les manifestants ont saccagé la mairie Ce n'est qu'après plusieurs minutes, que les forces de l'ordre, beaucoup d'agents de l’Unité Départementale de Maintien de l’Ordre (UDMO) et du Corps d’Intervention et de Maintien d’Ordre (CIMO) sont arrivées sur les lieux
Le gouvernement haïtien a officiellement annoncé le report des élections législatives et municipales qui devaient avoir lieu ce dimanche 26 octobre 2014, une nouvelle qui était attendue vu les difficultés à organiser le scrutin. "L'arrêté convoquant le peuple dans ses comices est reporté", lit-on dans un communiqué du secrétariat de la présidence alors que l'opposition s'apprêtait à descendre dans les rues de la capital ce dimanche 24 octobre. Aucune nouvelle date n'a été annoncée pour la tenue des élections.
La manifestation de l’opposition organisée, ce dimanche 26 octobre pour dénoncer, dit-on, les dérives du pouvoir en place et réclamer la tenue d’élections dans le pays, a été dispersée au Champs de mars, au niveau de la rue Magloire Amboise. Les manifestants qui se sont élancés au Bel-air, sont passés par Pétion-ville, en longeant l’autoroute de Delmas, avant de se rendre au Champs de Mars par l’autoroute de Bourdon. Ils ont scandé des propos hostiles à l’Administration Martelly-Lamothe, sur tout le parcours, qu’ils accusent d’être responsable des malheurs du pays. En ce qui a trait aux deux activistes, Rony Timothée et Buron Odigé, qui ont été arrêtés, après un escale au commissariat de Pétion-ville, ils ont été conduits au commissariat de Port-au-Prince. Les causes de leur arrestation demeurent toujours inconnues.
Elle l'emporte avec 51,45% des voix, selon un décompte quasi définitif, au terme d'une campagne très virulente. Dilma Rousseff a été réélue de justesse dimanche présidente du Brésil avec une courte avance sur son adversaire de centre-droit Aecio Neves. La présidente de gauche, candidate du Parti des travailleurs (PT) l’a emporté avec 51,45% des voix contre 48,55% au candidat du Parti social-démocrate brésilien (PSDB), selon des résultats quasi définitifs portant sur un décompte de 98% des bulletins de vote. «Merci beaucoup!», a immédiatement réagi sur son compte Twitter la candidate. La différence s’est jouée sur à peine trois millions de vote, alors que 142,8 millions d’électeurs étaient convoqués aux urnes. C’est l’élection la plus disputée de l’histoire récente du pays. Muito obrigada! #Dilmais4anospic.twitter.com/LcPPKMOgHz — Dilma Rousseff (@dilmabr) October 26, 2014 Malgré les nuages économiques et les affaires de corruption, les Brésiliens ont opté à une courte majorité pour la poursuite de ce cycle initié par l’ex-président Luiz Inacio Lula da Silva (2003-2012), resté extrêmement populaire au Brésil. Comme prévu, la présidente l’a largement emportée dans les régions pauvres du Nord-Est. Mais si elle a largement perdu dans l’Etat de Sao Paulo, fief du PSDB, elle a remporté une large victoire dans les deux grands Etats de Rio et de Minas Gerais, – le bastion de M. Neves – dans le sud sud-est industrialisé. Le candidat de centre-droit promettait, sans toucher aux programmes sociaux populaires de la gauche, un choc de gestion libéral pour relancer l’économie brésilienne en panne et lutter contre l’inflation et la corruption qui fragilisent le PT. Après la campagne électorale la plus virulente de l’histoire récente du Brésil, qui a creusé le clivage droite-gauche, le vote s’est déroulé calmement. A l’exception de l’assassinat d’un jeune électeur dans le nord du pays, abattu par balles par un inconnu apparemment dans un règlement de compte, selon la police. Cette campagne électorale, émaillée d’attaques personnelles, a scindé le pays en deux blocs, selon les appartenances sociales: les plus pauvres en faveur de la présidente Dilma Rousseff, les plus aisés pour le candidat «du changement». Dilma Rousseff a finalement remporté la bataille au centre, au sein des classes moyennes intermédiaires du sud-est industrialisé du pays. Elue en 2010 dans l’euphorie finissante de l’âge d’or de la présidence de son mentor Lula, l’ex-guérillera avait hérité d’une croissance économique annuelle de 7,5%. Elle a amplifié les programmes sociaux qui bénéficient à un quart des 202 millions de Brésiliens, lui valant un large soutien dans les couches populaires et les régions pauvres du Nord-Est. Mais elle a été confrontée à des vents hostiles: quatre années de croissance au ralenti jusqu’à l’entrée en récession au premier semestre, revendications d’une classe moyenne dont l’ascenseur social est tombé en panne, scandales de corruption qui ont terni l’image du PT. Dans la campagne acharnée de l’entre-deuxtours, la présidente avait mis en garde contre le retour aux potions d’austérité douloureuses administrées par l’ancien président social-démocrate Fernando Henrique Cardoso (1995-2002). Et comme la crise n’a pas affecté le plein-emploi (5% de chômage) et le salaire minimum continue d’augmenter, elle a fait pencher la balance en sa faveur. Rousseff n’aura pas la tâche facile pour son second mandat de quatre ans. Elle devra redresser l’économie et mieux répondre aux attentes nouvelles de la classe moyenne, face à un parlement morcelé et plus conservateur qu’en 2010 et des milieux d’affaires qui l’ont prise en grippe en raison de son interventionnisme. AFP
Vaste manifestation avec plusieurs centaines de lycéens de la capitale . Les enfants manifestaient contre une decision du ministère de l’Education nationale de rappeler pour formation une trentaine de directeurs. “ Le ministdère de l’éducation nationale déclare un éducateur de carrière , aurait dû faire appel aux censeurs des lycées pour suppléer à l’absence momentanée des directeurs. Un autre éducateur pense que ce movement des él`eves peut être récupéré par un secteur aussi demande t-il aux éèves de rester dans les salles de classes pour ne pas se laisser manipuler. Le communiqué du Ministère de la Justice. Ce communiqué est formel: Il ne tolérera pas que certains membres de l’opposition provoquent une situation de troubles en forçant les éablissements scolaires à libérer leurs eelèves., dans les rues pour leur permettre d’attaquer ces enfants. : “ Le ministère de la justice et de la Sécurité publique informe l’opinion publique que, selon des informations dignes de foi dont il dispose certains membres de l’opposition s’apprêtent à provoquer une situation de troubles en forçant les établissements scolaires à libérer leurs élèves dans le but, une fois dans les rues , d’être livrés à eux mèmes et de subir des actes d’agression et de violence. Le communiqué demande aux directeurs d’école de prendre toutes les dispositions nécessaires pour protéger leurs élèves contre toute manipulation pernicieuxe. Les réactions de l’opposition. Le MOPOD dénonce ces allegations . ce plan est le plan du pouvoir. Il veut commencer à éliminer des membres de l’opposition et il pense meme à attaquer des élèves. C’est grave et c’est révolant a réagi turneb Delpé, l’n des responsables du MOPOD. Selon l’omme politique, avec ce communqié, le gouvernement anticipe sur ce qu’il va faire afin de faire porter le chapeau à l’opposition.