Revue de la Semaine

LES TITRES

 

Plusieurs étudiants de l’Université d’Etat d’Haïti occupe le local du Rectorat à cause du refus du Rectorat de discuter avec eux de problèmes concernant l’Université.

 

Le recteur dit que le rectorat est pris en otage depuis plusieurs jours.

 

Aucun candidat ne s’est inscrit aujourd’hui pour le poste de Président provisoire

Le secteur syndical donne aux parlementaires jusqu’à demain pour stopper toutes les inscriptions.

 

Célébration de la Journée mondiale des Malades, jeudi 11 février.

 

 Les étudiants de l’Université d’Etat d’Haïti tiennent le rectorat en otage.

Aucune activité n’est autorisée  par ces étudiants.

Cela a commence le 5 février. Les étudiants annoncent qu’ils ne quitteront pas l’espace tout autant que leurs revendications ne seront pas prises en considération

 

Le Recteur Jean Henry Vernet condamne cette attitude et demande aux Etudiants de bien vouloir quitter l’espace pour que l’Université puisse fonctionner normalement.

Le Conseil de l’Université a le droit d’aer en justice contre ces fauteurs de troubles , parce que toute tentative de conciliation ou d’établissement d’un dialogue a été refuse, rejetée par les étudiants.

 

Le Local est chargé de toutes sortes d’appareil, il y a toutes sortes de dossier.

Le bâtiment doit être protégé.

 

Le syndicat des étudiants, de son côté veut bloquer toute tentative d’organiser des élections pour l’installation d’un nouveau conseil à la tête de l’Université.

 

 Aucun individu n’a été s’inscrire pour revendiquer le poste de Président Provisoire a fait savoir le Comité de parlementaires chargé de recueillir ces candidatures.

Jusqu’à présent seulement trois individus, trois inconnu ont eu l’idée daller s’inscrire. Cependant ils n’ont pas la documentation requise. Certains des trois n’avait même aucun document du tout.

C’est vraiment ce qu’on peut appeler “ une plaisanterie”, un JOKE.

 

Le Député Caleb Desrameaux, Secrétaire Rapporteur de la Commission bicamérale spéciale chargée de préparer l'élection du Président provisoire de la République d'Haïti a révélé le calendrier du processus :

 

L'Appel à Candidature pour le poste de Président de la République a.i. se déroule du mercredi 10 février à partir de 11h00 a.m. au vendredi 12 février 2016 jusqu’à 11h00 a.m.

 

Vendredi 12 février à 4h00 p.m. se tiendra une rencontre d’information avec les candidats inscrits ;

 

Vendredi 12 février à minuit, sera publié la liste des candidats admis à participer aux élections, avec les motifs d’irrecevabilité des candidatures non-retenues ;

 

Samedi 13 février aura lieu l'élection du Président a.i. de la République d’Haïti par l’Assemblée Nationale, ensuite les résultats seront publiés dans le journal officiel Le Moniteur.

 

Dimanche 14 février 2016, installation du Président provisoire d’Haïti.

 

Le Secrétaire rapporteur invite les organisations de la Société Civile, de la presse et de Religions pour la Paix à observer le processus dans le souci de garantir la transparence de ce dernier.

 

Le Sénateur Wesner Polycarpe, Président de la Commission affirme que « La Commission prend l’engagement d’organiser des élections inclusives et transparentes ».

 

Rappelons que la Commission bicamérale spéciale est composée : du Sénateur Wetsner Polycarpe, Président, du Député Patrick Norzeus, Vice-Président, du Député Caleb Desrameaux, Secrétaire/Rapporteur, et des députés membres : Enel Appolon, Salem Raphaël, Vickerson Garnier, Castin Constantin Peter, Price Cyprien, Willer Jean Jean et Anouce John Bernard ; et des sénateurs memebres : Jean Baptiste Bien-Aimé, Ricard Pierre, Carl Murat Cantave, Jean Marie Junior Salomon et Nenel Cassy.

 

Les manifestations ont repris.

On a l’impression que c’est la seule chose que l’on sati faire dans ce pays.

Manifestations, Manifestations.

Et bien elles continuent.

Dimanche dernier après le dernier discours à la Nation du Président Michel Martelly, Jocelerme Privert, le Président de l’Assemblée nationale a prononcé à son tour un discours, selon le protocole, en réponse à celui du Chef de l’Etat sortant. Le Sénateur Jocelerme Privers avait demandé une trève.

OUI une trève.

On a l’impression que ce mot ne fait pas partie du vocabulaire de certains.

En tout cas l’invitation du Jocelerme Privert ne semble pas avoir été entendu, parce que de trève, il ne semble pas en ietre question du tout ces jours-ci…

 

MANIFESTATION SEMBLE ALLER DE PAIR AVEC LANCEMENT DE JETS DE PIERRES.

 

Le ministère de l'Education nationale et de la Formation professionnelle (MENFP) condamne l'attaque à coups de pierre contre le siège central du ministère , perpétrée, le vendredi 5 février 2016, par des individus s'identifiant comme des directeurs d'écoles privées faisant partie du PSUGO.

 

Selon un communiqué du ministère, cette agression gratuite a failli coûter la vie à une employée du MENFP qui a reçu des jets de pierre presqu'en plein visage. Elle a dû être transportée d'urgence à l'hôpital en vue de recevoir les premiers soins. De plus, les vitres de plusieurs véhicules ont été brisées, sans compter le traumatisme causé chez les employés par de tels actes.

 

En tout état de cause, le MENFP estime inacceptable ce genre d'agressions physiques par certains individus se réclamant du monde de l'éducation.

 

Le MENFP lance un appel au calme à toutes et à tous afin d'éviter des dérapages regrettables, tout en réaffirmant son engagement à œuvrer avec les autorités compétentes en vue de trouver les moyens nécessaires afin d'éponger les dettes de l'Etat envers les enseignants et directeurs d'écoles du PSUGO.

 

Le MENFP réitère, une fois de plus, son appel pour la mise en œuvre du Pacte, seule et unique condition pour que le MENFP puisse disposer des ressources nécessaires afin de répondre aux revendications légitimes du monde de l'éducation, en particulier du secteur public, et de poursuivre les réformes en cours. QUAND CE N’EST PAS VOITURES BRULEES OU MEME ECOLES DE BRULEES, comme le Lycée de Léogâne..

 

En tout cas beaucoup de citoyens semlent ne tiennent pas grand chose de cet accord.

Ainsi on voit dans Alterpresse, un texte de André Lfontan Joseph:

À moins de croire que les Haïtiennes et Haïtiens ne sont pas dignes de démocratie et de cohérence, comment peut-on ainsi s’acharner à vouloir, toujours, leur imposer des solutions boiteuses, des voies conflictuelles, sans issues, et des politiques suicidaires ?

Par André Lafontant Joseph*

Cet accord, conclu entre un président, 24 heures avant la fin de son mandat, et un Parlement, qui souffre d’un sérieux problème de légitimité et dont plusieurs de ses membres sont soupçonnés d’avoir fraudé ou d’avoir acheté leurs places, n’est qu’une échappatoire, permettant au président et à la frange de la communauté internationale, qui le soutenait, de sauver la face, après leur échec dans l’entreprise risquée du 24 janvier 2016.

Peut-être que l’accord du 6 février 2016 a la vertu de nous avoir évité le déchainement de violence populaire, qui accompagnerait la tentative de Michel Martelly de se maintenir au pouvoir jusqu’à l’élection de son poulain.

Ceci étant dit et convenu, on ne peut que rejeter le reste de l’accord, constitué de dispositions les unes plus incohérentes que les autres.

Le Sénateur Jocelerme Privert et le Député Cholzer Chancy, dont nous ne sous-estimons nullement l’intelligence tactique, peuvent n’avoir participé à cette mise en scène que pour aider le pays à se débarrasser du colis encombrant et apaiser une situation explosive.

Dans ce cas, tant mieux dirions nous. S’il en était autrement, il faudrait s’inquiéter.

Pour illustrer notre propos, considérons une seule des dispositions de cette étrange entente : les cinq jours alloués au Parlement pour l’élection, au second degré, d’un président provisoire.

Notez que nous ne posons même pas le problème de l’opportunité de cette option par rapport à d’autres, qui seraient de loin plus simples et plus conformes à nos traditions, telle le choix de ce président provisoire parmi les membres de la Cour de Cassation, comme cela a été le cas en 1990 et en 2004.

Comment le Parlement haïtien pourrait-il, de manière démocratique et régulière, élire un président en 5 jours calendaires, dans les conditions actuelles ?

La période couverte va du lundi 8 au vendredi 12 février 2016.

Dans ces 5 jours calendaires, il faut compter deux journées de carnaval. Absurde.

Vers quelle autre mascarade marcherions nous ?

Déjà, des individus, les plus bizarres, commencent à déclarer leur candidature à la radio. Cette fois-ci, ce n’est pas 54 candidats à la présidence qu’on aura. Ils seront 500, 1,000, à vouloir tenter leur chance dans cette borlette.

 

ET PUIS IL Y A AUSSI LES SYNDICALESTES QUI DEMANDENT AUX PARLEMENTAIRES DE REVENIR SUR TERRE ET E PRENDRE LE CHEMIN D’UN CONSENSUS POLITIQUE LARGE.

 

ILS EXHORTENT LES PARLEMENTAIRES à stopper cette mascaraed que représente l’inscription d’inconus, sans aucune documentation adequate au poste de president provisoire.

 

MAIS CELA NE SEMBLE PAS ETRE DE L’AVIS DU FORUM ECONOMIQUE DU SECTEUR PRIVE QUI REGROUPE LA PLUPART DES ASSOCIATIONS PATRONALES DU PAYS. LE FORUM ECONOMIQUE EN EFFET SOUHAITE LE STRICT RESPECT , LE RESPECT SCRUPULEUX, COMME ILS DISENT DE CET ACCORD DU 6 FEVRIER ISSU DE NEGOCIATIONS ENTRE LES PARTIES HAITIENNES , ACCORD DE SORTIE DE CRISE ENTRE L’ANCIEN CHEF D’ETAT MICHEL MARTELLY ET LES PRESIDENTS DES DEUX BRANCHES DU PARLEMENT !

 

C’est ce qu’on lit, du moins dans REZO NODWEST

Toujours dans REZO NODWEST un sénateur américain demande l’annulation de visas de certains hommes politiques haitiens. Il s’agit du sénateur Marco Rubio qui dit ceci: Je demande instamment à toutes les factons politiques de s’unir e de travailler ensemble avec le gouvernement intérimaire.

Par contre toute personne qui fait la promotion de la violence ou portera atteinte à la stabilité d’Haïti pendant cette période devrait être tenue responsable par le gouvernement des Etats-Unis et punie d’interdiction de visas.

Et c’est signé de : MARCO RUBIO, il est sénateur de Floride et candidat à l’investiture républicaine pour les élections présidentielles de 2016.

 

 DOSSIER SANTE:

Selon la Direction d'Épidémiologie du Laboratoire et de Recherche (DELR) du Ministère de la Santé Publique l'évolution de l'épidémie de ZIKA en Haïti le nombre de cas pour la période du 24 au 30 janvier est de 204.

 

Trois départements sont plus touchés par le virus il s'agit de : l'Ouest 56 cas (27,45%) (dont 31 à Pétion-ville), l'Artibonite: 53 (25,98%) (Dont 42 à Verettes) et le Centre: 32 (15,69%) (dont 32 à Mirebalais).

 

L'on note une nette augmentation et accélération du nombre de cas sur 3 dernières semaines, alors qu'il y avait « seulement » 96 cas la semaine du 17 au 23 janvier, pour un total de 329 cas notifiés (en date du 30 janvier) en Haïti depuis la confirmation du premier cas.

Selon la Direction d’Épidémiologie du Laboratoire et de Recherche (DELR) du Ministère de la Santé Publique l'évolution de l'épidémie de ZIKA en Haïti le nombre de cas pour la période du 24 au 30 janvier est de 204 (42% d'hommes pour 58% de femmes) avec une prédominance des cas dans trois départements : l’Ouest 56 cas (27,45%) (dont 31 à Pétion-ville), l’Artibonite: 53 (25,98%) (dont 42 à Verettes) et le Centre: 32 (15,69%) (dont 32 à Mirebalais).

 

L'on note une nette augmentation et accélération du nombre de cas sur 3 dernières semaines, alors qu’il y avait « seulement » 96 cas la semaine du 17 au 23 janvier, pour un total de 329 cas notifiés (en date du 30 janvier) en Haïti depuis la confirmation du premier cas

 

Répartition des cas de ZIKA par département : 100 (30,40%) dans l’Ouest, 70 (21,28%) dans le Nord, 59 (17,93%) dans l’Artibonite, 47 (14,29%) dans le Centre, 15 (4,56%) dans les Nippes, 11 (3,34%) dans le Sud Est, 11 (3,34%) dans le Sud, 6 (1,82%) dans le Nord’Est, 6 (1,82%) dans la Grand 'Anse 6 (1,82%) et 4 (1.22%) dans le Nord-Ouest.

 

Rappelons que les mesures de prévention et de contrôle, du ZIKA, sont les mêmes que celles du Chikungunya car la maladie se transmet par le même vecteur (moustique Aédes)

 

 DES CITOYENS CANADIENS PRESENTENT DES EXCUSES AU PEUPLE HAITIEN…

 

10 ans après le coup d’état perpétré contre le president Jean Bertrand Aristide ( 2004- 2014) les Canadiens  preésentment des excuses publiques au peuple haïtien !

 

Nous, citoyennes et citoyens du Canada, signons cette déclaration pour notifier au monde entier et plus particulièrement aux Haïtiennes et aux Haïtiens, que nous sommes honteux et ulcérés par la participation active du gouvernement du Canada, dans le coup d’État qui a renversé le  gouvernement légitime du président Jean-Bertrand Aristide, le 29 février 2004.

Au nom du peuple canadien dont la grande majorité ignore les différents aspects de ce Coup et ses conséquences sur Haïti, nous présentons nos plus sincères excuses au peuple Haïtien.

Dix (10) années après ce tragique événement, nous signons cette pétition parce que des faits troublants, aisément vérifiables dérangent encore la conscience collective.

1) Le Canada a joué un rôle de premier plan dans la planification du Coup d’État. En effet, une année à l’avance 31 janvier et 1er février 2003, le gouvernement canadien organisa la fameuse Initiative d’Ottawa sur Haïti. Ce forum controversé, s’est tenu au Lac Meech dans le Parc de la Gatineau au Québec, pour  articuler et mettre au point les détails de l’opération « Aristide doit partir».

2) Le Canada, a joué un rôle majeur et s’est impliqué directement dans le renversement du président Aristide, et de son exil en Afrique. Il a été établi que, les soldats des Forces Armées Canadiennes du Joint Task Force 2 ont coordonnés leurs opérations, avec les paramilitaires et mercenaires haïtiens ainsi qu’avec les troupes américaines déployées illégalement en Haïti.

 

Les archives de la Chambre des Communes nous démontrent que le 10 mars 2004 soit dix (10) jours après le coup d’État, Stockwell Day MP, critique de l’Opposition Conservatrice en matière d’Affaires Étrangères, déclarait au Parlement du Canada : « Il y a maintenant un chef d’État élu, Aristide. Nous n’aurions peut-être pas voté pour lui. Il n’est peut-être pas le type de chef pour qui nous aurions voté. Toutefois, le gouvernement décide qu’il devrait y avoir un changement de régime dans ce pays. Voilà une question sérieuse qui mérite d’être abordée. Sur quels critères était fondée cette décision? Nous devons en discuter…Oui, il y a bien eu un changement de régime. Et, qu’il nous plaise ou non de l’admettre, nous y avons participé… »

 

3) Le Coup a été suivi par plusieurs massacres, tueries, détentions et arrestations arbitraires de défenseurs de la démocratie.En outre, toute l’infrastructure politique et économique mise en place par le gouvernement élu démocratiquement a été systématiquement démantelée. De graves violations des droits humains caractérisent les régimes post-coup installés par les États-Unis.

4) Une des conséquences les plus désastreuses du Coup d’État et de l’occupation étrangère est que Haïti où aucun cas de choléra n’a été signalé depuis plus de cent (100) ans fait face maintenant  à la pire des épidémies de choléra de l’histoire moderne. Le nombre de personnes mortes du choléra a déjà atteint 8.500 et en janvier 2014 plus de 700.000 malades ont étés répertoriés.

Plusieurs études scientifiques indépendantes mettent en cause, de manière précise, la responsabilité directe de l’ONU dans la contamination d’une desressources les plus importantes du pays. Il est désormais bien établi qu’en octobre 2010 des soldats de la force onusienne ont déversé des matières fécales dans la rivière la Meille, un affluent du fleuve Artibonite. Jusqu’à présent, les Nations Unies persistent dans leur refus de reconnaître leur responsabilité dans cet  acte criminel, qu’il eusse été délibéré ou non.

Nous appuyons fermement les efforts soutenus des organisations de défense des droits humains comme le Bureau des Avocats Internationaux et the Institute for Justice and Democracy in Haïti  qui exigent de l’ONU justice et réparation en faveur des milliers de victimes du Choléra en Haïti.

5) Le secteur démocratique et populaire, qui a courageusement combattu et contribué à renverser la brutale dictature de Jean-Claude Duvalier en 1986, a encaissé des coups très durs et subi des reculs importants depuis le Coup d’État. Le peuple haïtien est actuellement gouverné par un pouvoir néo-duvaliériste, imposé par les États-Unis et soutenu par le Canada. L’ancien dictateur Jean-Claude Duvalier bénéficie ouvertement du soutien de puissants alliés nationaux et internationaux et se moque impudemment de ses victimes depuis son retour en Haïti en janvier 2011.

Le rôle joué par le Canada dans la planification et l’exécution du Coup d’État du 29 février 2004 ainsi que dans l’illégale et désastreuse tutelle onusienne imposée à Haïti, afin d’y asseoir ce coup d’état, représente une source de misère et de grande injustice fait au peuple haïtien. Nous demandons instamment aux Canadiennes et Canadiens et à leurs organisations de prendre toute action efficace concourant à contraindre les forces étrangères d’occupation de la république d’Haïti, à reconnaître et faire amende adéquate pour les torts causés à ce pays.

 This petition is now closed.

End date: Mar 10, 2014

Signatures collected: 849

Signature goal: 1000

 Et puis pour finir signalons la sortie du dernier roman de René Depestre:

Voici ce qu’en dit Le Monde:

Cela faisait près de trente ans, depuis Hadriana dans tous mes rêves (Gallimard, 1988, prix Renaudot), que René Depestre n’avait pas publié de roman. A 89 ans, le poète haïtien revient avec Popa Singer, livre caustique et plein d’humour. Autobiographique – il met en scène le retour au pays de Richard Denizan, double de l’auteur, au début de l’ère Duvalier, en 1957 –, le roman se lit aussi comme un hommage au vaudou et à la mère de Depestre.

 « Popa Singer » est le surnom de cette femme, une veuve qui a élevé ses enfants et envoyé son fils à l’école grâce à sa machine à coudre Singer. Acheté à un négociant allemand qui utilise le pseudo d’Hugo von Hofmanstahl, l’objet fut pour elle plus qu’un gagne-pain :...

 Et c’était notre Revue pour la semaine du 8 au 13 Février 2016