Nouvelle claque de Donald DRUMP donnée aux Haïtiens
Le Président Donald Trump donne un nouveau coup dur aux Haïtiens en éliminant le programme de “Guest worker, c’est a dire celui autorisant aux ouvriers saisonniers de venir travailler aux Etats-Unis., en leur procurant un visa de travailleur temporaire
C’est la journaliste du Miami Herald Jacqueline Charles qui renseigne sur cette toute récente décision de l’administration Trump dans un article publié dans le Miami Herald en date du Mercredi 17 Janvier 2018.
Que dit la nouvelle décision de l’adminisstration américaine ?
Elle dit qu’à partir d’aujourd’hui JEUDI 18 JANVIER LES CENTAINES D’OUVRIERS CHERCHANT à entrer aux Etats-Unis comme travailleur saisonnier sous le programme de Guest Worker,( travailleur saisonnier) bénéficiant d’un visa H-2A ou H – 2B ne pourront plus le faire.
Ce visa de travailleur temporaire existe depuis des décades et il a permis aux centaines de fermiers, d’hôteliers et d’autre propriétaires de business d’engager des centaines de travailleurs saisonniers venant d’ailleurs.
Mais faisant mention des Haïtiens qui ont un pourcentage extrêmement élevé de refus, un haut pourcentage de fraude et d’abus en restant plus longtemps, beaucoup plus longtemps que ne leur permet le visa H-2A, le U.S. Department du Homeland Security a déclare que l’inclusion d’Haïti dans la liste des pays éligibles pour 2018 n’intéressait plus les Etats-Unis.
Le Homeland Security a aussi annoncé que les pays comme Belize aussi bien que Samoa du sud de l’Océan Pacifique seront aussi exclut de ce programme de visa H-2A .
Eliminer ce VISA signifie supprimer le seul moyen pour les Haïtiens de venir temporairement pour travailler aux Etats-Unis déclare Michael Clemens, un économiste du Center for Global Development .
“ Ce n’est pas là une façon d’adresser la question d’immigration illégal, a t-il conclut. C’est plutôt une façon d’encourager la migration illégale.”
La décision qui sera donc publiée le JEUDI 18 Janvier dans le registre fédéral, arrive au milieu du scandale de Trump pour restreindre l’immigration et le cri général provoqué par les récentes déclarations du président américain citant Haïti et les Haïtiens comme gens qui n’étaient pas les bien venus aux Etats-Unis. , puisque venant de “ pays de merde “.
LES MARCHES
LA MARCHE SUR LE BROOKLIN BRIDGE
La dernière fois qu'on a vu autant d' haïtiens traverser à pied Brooklyn Bridge, c'était le 20 avril 1990. Ils étaient plus de 100, 000 à venir protester contre la décision de FDA d'insérer les haïtiens dans les groupes à risque de donneurs de sang aux Etats-Unis. Par crainte de propagation du virus du Sida. Ils ont récidivé, mais cette fois-ci, ils se donnent rendez-vous pour exiger du président Trump, un "apology" (des excuses)pour des propos racistes qu'il aurait tenus à l'égard des haïtiens et africains
Selon les promoteurs de cette marche pacifique, 1804 Mouvement for All Immigrants, dont le siège est à Brooklyn, NY, c'est en réponse à la déclaration de mauvais goût prêtée à Donald Trump, qu'ils vont une seconde fois depuis avril 1990, marcher sur "Brooklyn Bridge" pour monopoliser tous les regards vers Haïti, un allié des Etats-Unis durant sa guerre de l'Indépendance arraché des mains des anglais.
Le point d'alignement est prévu vendredi 19 janvier 2018, dès 08:00 am à Grand Army Plaza, à Brooklyn d'où partira vers 09:00, la marche vers le pont de Brooklyn (Brooklyn Bridge), l'un des plus anciens ouvrages des Etats-Unis.
Cette manifestation pacifique qui longera Flatbush Avenue, après la traversée de Brooklyn Bridge faisant remonter à la mémoire, la fatidique journée du 20 avril 1990, aboutira vers 12:30, non loin de Trump Building, situé au 40ème à Wall Street.
Rappelons que jeudi dernier, 11 janvier 2017, selon le journal Washington Post, le président américain aurait parlé d' Haïti, du Salvador et du continent africain en des termes peu élogieux, en les traitant de "pays de merde".
En Haïti aussi, une marche pour protester contre les propos de Donald Trump
Des formations politiques de l'"opposition démocratique et populaire" ont annoncé la tenue d'une marche pacifique le 22 janvier prochain,« Marche de la Dignité Nationale » pour dénoncer les déclarations attribuées au président américain Donald Trump traitant Haïti de "pays de merde". Tous les secteurs de la vie nationale, sans distinction aucune, sont attendus à cette manifestation, ont indiqué les organisateurs.
L’objectif de cette marche, selon les organisateurs, est de rappeler au président Donald Trump que c’est le peuple haïtien qui a donné au mot liberté toute sa dignité, qui a su déjouer le destin pour conquérir son indépendance au prix de sang, de sueurs, de sacrifices et de luttes.
« Nous marcherons pour dire à Donald Trump que sa déclaration n'affecte que sa personne et que le crachat qu'il a lancé est retombé sur son propre visage. Nous marcherons pour apprendre à Monsieur Trump que nous sommes ce peuple qui a donné à la Liberté sa vraie dimension, sa dimension universelle », écrivent les protestataires
Cette marche partira des lieux de Rassemblement traditionnels de l'opposition ( Bel'air , St Jean Bosco, Place Dessalines , Carrefour Péant , Pétion Ville, Carrefour Aéroport ) pour prendre FIN devant l'ambassade Américaine à Tabarre.
Mais nous avons appris que cette marche aura aussi un autre objectif, ceci d’après Moise Jean Charles,
Une dépêche de Haïti Libre précise: Jean Charles Moïse annonce une marche pacifique
Jean Charles Moïse a confirmé la tenue d’une marche pacifique le 22 janvier prochain à la Capitale en vue non seulement d’exiger des excuses du président américain mais aussi de continuer à réclamer le départ du Président Jovenel Moïse.
C’est le monde entier qui a les yeux rives sur le président américain:
Trump adopte une ligne dure pour la réforme de l'immigration
C’est l’Agence REUTRS, cette fois qui annonce:
Donald Trump est resté sur sa ligne de fermeté vis-à-vis de l'immigration, conformément aux attentes des républicains conservateurs, en qualifiant d'"horrible" et de "très faible" la réforme proposée par des sénateurs qui vise notamment à protéger d'expulsion les jeunes migrants arrivés clandestinement aux Etats-Unis.
"C'est le contraire de ce pour quoi j'ai fait campagne", a affirmé dans un entretien accordé mercredi à Reuters le président américain, estimant que les modifications proposées par un groupe de sénateurs sont trop éloignées des attentes de la majorité des républicains.
Six sénateurs - trois républicains, trois démocrates- ont dit la semaine dernière dans un communiqué avoir "conclu un accord de principe qui aborde la sécurité des frontières, de la 'loterie de la carte verte', du regroupement familial et du programme Daca."
Instauré par Barack Obama en 2012, le programme Daca (Deferred Action for Childhood Arrivals) protège 700.000 jeunes migrants, connus sous le nom de "Dreamers", arrivés illégalement sur le territoire américain avec leurs parents alors qu'ils étaient mineurs.
L'administration Trump a annoncé en septembre dernier l'abrogation du programme Daca, une décision contestée auprès de nombreux tribunaux fédéraux par des procureurs démocrates, des organisations et des particuliers.
De nombreux démocrates ont annoncé vouloir trouver un accord sur l'immigration sous peine de ne pas voter pour la loi de financement proposée au Sénat par les républicains afin d'éviter un blocage de l'administration.
"Le temps presse", a déclaré Trump à Reuters, en affirmant qu'il pensait qu'un accord sur l'immigration était toujours possible.
Un arrêt des activités du gouvernement fédéral "pourrait se produire" d'ici la fin de la semaine, a annoncé le chef de la Maison blanche, faisant comprendre que les démocrates seraient alors tenus pour responsables. Trump n'a pas exclu d'autoriser une mesure budgétaire afin d'éviter un tel blocage.
HAITI LIBRE REVIENT SUR LA QUESTION DE SUPPRESION DE VISAS H-2A et H-2B en ces termes:
Le Secrétaire à la Sécurité intérieure des États-Unis d'Amérique a décidé, avec l'accord du Secrétaire d'État, que les pays suivants ne devraient plus être désignés comme pays admissibles parce qu'ils ne respectent pas les normes établies dans le règlement : Belize, Haïti et Samoa.
"Les ressortissants haïtiens qui demandent un visa H-2A (Travailleurs agricoles temporaires) et H-2B (Travailleurs temporaires non agricoles) présentent des taux de refus extrêmement élevés, et ceux qui ont obtenu un visa H-2A ou H-2B ont historiquement démontré des niveaux élevés de fraude et d'abus et et un taux élevé de dépassement des délais de leur admission H-2.
Haïti n'a montré aucune amélioration dans ces domaines, et le secrétaire à la Sécurité intérieure a décidé, avec l'accord du secrétaire d'État, que l'inscription d'Haïti sur les listes H-2A et H-2B de 2018 n'est plus dans l'intérêt des États-Unis," indique le Département de la Sécurité intérieur (DHS).
REMANIEMENT MINISTERIEL?
C’est ce que demande plusieurs organisations. L’une d’elles a pour nom Parasol.
C’est HPN qui en parle::
Ce parti, proche du pouvoir en place, a salué le discours prononcé par le président de la République devant l’Assemblée nationale le 8 janvier dernier, où, selon le responsable du parti, le Chef le l’Etat a défendu la souveraineté et la dignité du pays.
PARASOL a profité de l’occasion de suggérer un remaniement ministériel pour remplacer les ministres qui, jusqu'ici, n’ont pas donné de résultats.
LE GOUVERNEMENT CHERCHE 252 MILLIONS DE DOLLARS EN AIDE HUMANITAIRE
Le gouvernement haïtien et ses partenaires internationaux ont lancé jeudi un appel à financement à hauteur de 252 millions de dollars pour répondre aux besoins humanitaires urgents de plus de 2 millions d’Haïtiens au cours de l’année 2018, a appris Haïti Press Network.
« Ce plan vise à assister les personnes les plus vulnérables tout en renforçant la résilience de la population et des institutions nationales face aux crises et aux catastrophes naturelles et en ouvrant la voie vers le développement durable », lit-on dans un communiqué de l’OCHA agence humanitaire de l’ONU.
Quatre objectifs sont poursuivis dans le plan humanitaire des Nations-unies. Il s’agit de fournir une assistance immédiate aux personnes en situation d’insécurité alimentaire sévère;
sauver des vies face aux épidémies dont le choléra . Le programme vise aussi à protéger les personnes déportées et/ou retournées volontaires de la République Dominicaine, ainsi que pour répondre aux besoins non couverts des populations affectées par les récentes catastrophes et renforcer les capacités du Gouvernement dans la préparation et la réponse aux urgences.
HAITI EN MARCHE SUR SA PAGE DE COUVERTURE POUR LE NO 1 DE L’ANNEE 2018, CONSACRE PLUSIEURS ARTICLES à l’Affaire Trump
Quelques uns des titres : GOUVERNEMENT : Réponse au Président des Etts-Unis Donald Trump,
US-HAITI : Trump haineux, grossier et raciste
Ou encore ce troisi`eme article IMMIGRATION CHOISIE ; Tump ne sait pas deefendre l’intérèt Américain
Mais sur cette page de couverture, on trouve aussi deux articles :
L’un de nature économique et sur la Chine avec our titre : La Chine propose des échanges et non de l’assistance, tandis qu’n autre article ouvre l’année nouvelle en ces termes : Pouvoir et Opposition prisonnier l’un cmme l’autre de leurs propres contradictions.
L’AHP, L’Agence Haïtienne de Presse suggère a gouvernement d’arrêter les contrebandiers
L’agence fait allusion au manque à gagner de 28 MILLIARDS de goures équivalent au trafic tout au long de la frontière entre Haïti et la République Dominicaine
Cet argent, ces 28 milliards de gourdes permettraient à ces institutions telles que Santé, au CSPJ, à la PNH, à l’UEH, à l’Investissement en ENERGIE et EAU. de combler leur budget.
C’est le Dr Jean Hérold Buteau qui fait ce calcul . Il en profite pour conclure: On peut donc, , aisément anticiper des énormes besoins financiers que combleraient ces 28 milliards de gourdes.
Le porte-parole de l’Alternative Socialiste a dit déceler une évidente inadéquation en termes de plan d’actions réel pour mener à bien cette lutte contre le fléau de la contrebande qui gangrène les finances publiques. Le secteur judiciaire représenté par le CSPJ et qui n’aurait qu’1 milliard 120 millions de gourdes dans le budget, est le principal secteur à activer dans cette bataille, si la lutte contre la corruption était réellement une préoccupation pour le président Jovenel Moise. Pour le Dr Buteau, une simple déclaration publique d’aveu de corruption, de pillage et de dilapidation de fonds publics de la part d’un ancien haut responsable de l’Etat, devrait conduire à son arrestation. Dans son analyse, le Dr Jean-Hénold Buteau considère que le rapport Petrocaribe devrait être une bonne occasion pour le chef de l’Etat de mener une lutte effective contre la corruption, en arrêtant des individus jugés coupables de corruption mentionnés dans le dit rapport.
ET PUIS NOUS TERMINERONS AVEC LA CONFERENCE DE PRESSE DU PRESIDENT AMERICAIN SUR LES FAKE NEWS
DONALD TRUMP a tenu parole e octroyant des prix aux media les plus bourres de fake news.
En tête, le New York Times, puis CNN qui est mentionné en quatre fois au cours de la causerie du président avec les journaliste, et enfin Washington Post
C’était le Revue pour la semaine allant du 15 au 29 Janvier 2018
3 ème Revue pour la nouvelle année.