Revue de la semaine
Vendredi 12 Juillet 2019

EDUCATION

Cette semaine a été celle des examens du baccalauréat et nous avons cette dépêche de alter Presse : 

La première journée, le lundi 8 juillet 2019, des examens de fin d’études secondaires, plus connus sous le nom de baccalauréat (philo), s’est globalement bien déroulée, sur le territoire national, en Haïti, malgré des irrégularités enregistrées à Port-au-Prince.
Environ 143 mille candidats étaient attendus à ces examens, à côté d’environ 6 mille autres ajoutés à ce nombre.
Pendant la première journée, du lundi 8 juillet2019, environ 300 candidats réclamaient des fiches et l’autorisation de composer, dans le périmètre du lycée Toussaint Louverture et du lycée du Cent-cinquantenaire à Port-au-Prince.
Les candidats, dans cette situation, ont été autorisés à subir les épreuves, en attendant un contrôle serré sur chaque cas, fait savoir le Menfp, soulignant qu’il s’agit d’une mesure de clémence, pour ne pas pénaliser les candidats qui répondraient aux critères de validation.
Le contexte de mobilisations anti-gouvernementales faisait craindre d’éventuels troubles, sur le territoire national, durant le déroulement, cette semaine, de ces épreuves officielles du baccalauréat, du Secondaire rénové et de la session spéciale des recalés.
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Nous avons appris le décès d’un grand ami de Mélodie.
Il s’agit du professeur Vernet Larose dont les émissions avec Patrick Elie ´taisent tellement appréciées du public.
Vernet Larose est mort à Montréal où il vivait avec sa famille.
Il laisse dans le désarroi non seulement sa famille, ses amis, mais aussi ses étudiants et le public haïtien en général.

 

CETTE SEMAINE A ´ET´E CELE DES FUN´ERAILLES DU JOURNALISTE ASSASINE : Pétion
Roside de RSF RADIO SANS FIN.
Les funérailles ont été chantées le samedi 6 juillet à l’Eglise du Sacré Coeur de Turgeau où on eu lieu aussi les obsèques de plusieurs militants tombés pour leurs onvictions pitiques pendant la même semaine.
Mas les choses ne se sont pas bien passes au cours de ces obsèques. I y a eu de violentes manifestations disperses par la police à coup de gaz lacrymogènes. N véhicule privé a même été incendié par les manifestants.

ET NOUS TERMINERONS CE CHAPITRE AVEC LA MORT DU PROFESSUER, HISTORIEN MICHEL HECTOR.

L’historien haïtien Michel Hector est mort : une perte pour l’UEH et pour le pays…
Le professeur Michel Hector, qui avait reçu, en mai dernier, les honneurs de l’Université d’État d’Haïti (UEH), a rendu l'âme dans la soirée du vendredi 6 juillet à l’âge de 87 ans. Différents acteurs de la communauté universitaire déplorent, après sa disparition, une grande perte pour l'université et pour le pays.

« Le départ du professeur Michel Hector nous touche et nous attriste profondément à l’UEH. Nous savions qu’il était malade mais nous ne nous attendions pas qu’il nous quitte si tôt. Il est une référence sûre pour notre université, pour l’intellectualité haïtienne et pour le pays en général », confie le recteur de l’UEH Fritz Deshommes, contacté par le journal.
« Il y a l’historien de grand calibre, l’homme de science rigoureux, le défenseur de l’université et de l’enseignement public. Il y a surtout le patriote intransigeant, passionné de ce pays, de son histoire et de sa grandeur, l’intellectuel généreux, toujours prêt à partager sa science avec ses collègues, ses étudiants, ses interlocuteurs de tous bords, surtout lorsqu’il s’agit de mettre en exergue les valeurs populaires, les motifs d’espérance, les carrefours historiques qui auraient pu se révéler décisifs pour infléchir le cours de l’histoire nationale et imprimer à la nation un avenir plus sûr qui tienne de ses potentialités intrinsèques et de sa place dans l’histoire du monde », déclare le recteur, avant d'ajouter que l'UEH doit un vibrant hommage à Michel Hector.
« Il est parti dans un moment très difficile pour le peuple. C’est une terrible perte, que ce soit pour l’Université d’État d’Haïti, la Société haïtienne d’histoire et de géographie, sa famille ou pour Haïti », estime, l’air secoué, l’historien Pierre Buteau, actuel président de la Société haïtienne d’histoire et de géographie qu'avait dirigée l'historien Michel Hector.

 

Et alter Presse d’écrire:
TOUJOURS DANS ALTER PRESSE, ON LIT QUE LE PARTI POLITIQUE FANMI LAALAS RECLAME JUSTICE POUR LES VICTIMES D’INSECURITE A LA TROISIEME CIRCONSCRIPTION DE PORT AU PRINCE.

Fanmi Lavalas dénonce de nombreux actes de représailles, de brigandage, d’intimidations ainsi que les mauvais traitements, infligés aux habitantes et habitants dans cette zone.
Marie Florence Agnant, la secrétaire de la coordination Fanmi Lavalas, dans la troisième circonscription de Port-au-Prince, déplore les conditions de vie infrahumaines des Haïtiennes et Haïtiens, et les assassinats répétés dans les quartiers populaires.
Depuis quelque temps, la troisième circonscription de Port-au-Prince (Portail Léogane, Martissant ect.) est en proie à de multiples violences, exercées sur la population par des gangs armés.
237 cas de blessés par balles ont été enregistrés, pour les trois premiers mois de 2019, à l’hôpital Médecins sans frontières (Msf), situé à Martissant.
Le parti politique Fanmi Lavalas élève la voix contre une attaque armée, perpétrée le samedi 6 juillet 2019, sur la route des Dalles (au sud-est de Port-au-Prince), sur le véhicule du député Bélizaire Printemps (opposant farouche au régime tèt kale au pouvoir), dans lequel se trouvait une membre du protocole à la chambre des députés, Pedrica Saint-Jean, qui a été atteinte, à l’occasion, de plusieurs balles, dans le dos et à l’épaule.

LES ELECTIONS TECHNIQUEMENT IMPOSSIBLES EN HAITI, titre Le Nouveliste dans l’une de ses dernières editions.

Sans budget, sans loi électorale, sans registre électoral, sans carte électorale, sans accord politique… le Conseil électoral provisoire dirigé par Léopold Berlanger a poings et mains liés. A quatre mois de la date prévue pour les élections, presque tous les acteurs s’accordent à dire que les élections sont pratiquement impossibles cette année. L’institution électorale ne les contredit pas…

 

Nous oursivons avec quelques titres à la une de Haïti en Marche.
Dans son No 26, on lit dans l’hebdomadaire sur la page de couverture:

POLITIQUE usa Haïti; TOUJOURS ATTENDRE LA FIN D MANDAT PR´ESIDENTIEL. C’EST CE QUE REOMMANDE MADAME MICHEL SIMPSON a l’occasion d 4 juillet, anniversaire de l’Indépendance américaine.
Cependant
Rejet par des secteurs de l’opposition de l’appel a dialogue de ‘ambassadeur américain le 4 juillet.

Cette semaine a aussi ´te celle du voyage du président Jovenel Moïse qui a assisté au Sommet CARICOM

La CARICOM prévoit l’envoi d’une délégation de haut rang pour s’enquérir de la situation en Haïti.

Et puis pour finir, la presse toute la presse parle des dégâts causes par l’averse du mardi 2 juillet qi a fait 2 orts, 5 blessés, 3 disparus et des maisons détritus.
Et qui a transformé la capital haïtienne en un véritable bourbier.

 

C’était notre Revue de la semaine.