À l'occasion de la fête du drapeau et de l'université le mercredi 18 mai 2022, le Premier ministre Ariel Henry a appelé à la reconstruction et au renforcement du système éducatif haïtien.
Dans un message publié sur son compte twitter

Haiti Standard écrit:
Haïti : le visa américain du directeur général de l’Administration générale des douanes révoqué

CNN Brésil – L’ex-président Lula se marie pour la 3e fois
By Rezo Nòdwès

Mercredi 18 mai 2022 ((rezonodwes.com))–L’ancien président du Brésil, Luiz Inácio Lula da Silva, épouse Rosangela da Silva, une sociologue de 21 ans sa cadette qui pourrait devenir première dame s’il remporte les élections d’octobre, à Sao Paulo.
C’est le troisième mariage de Lula, qui a été veuve deux fois.
À 76 ans, il dit « oui » à « Janja », une souriante féministe de 55 ans, militante de longue date du Parti des travailleurs (PT) de gauche.
Les mariés ont demandé un maximum de discrétion aux quelque 200 invités attendus au mariage, dont le lieu ne leur a été révélé que la veille, via un QR code imprim
Il se marie une première fois en 1969, avec Maria de Lourdes da Silva, qui meurt deux ans plus tard d’une hépatite, et en 1974 avec Marisa Leticia, avec qui il a quatre enfants, qui meurt en 2017 d’un accident vasculaire cérébral.

P-au-P, 17 mai 2022 [AlterPresse] --- La recrudescence de la violence, impliquant des bandes lourdement armées, dans la capitale, Port-au-Prince, entraîne de graves répercussions sur les droits humains, dénonce la haute commissaire des Nations unies aux droits humains, la Chilienne Michelle Bachelet, dans un communiqué en date du mardi 17 mai 2022, publié sur le site de l’institution et dont a pris connaissance l’agence en ligne AlterPresse.
Les autorités haïtiennes, avec le soutien de la communauté internationale, doivent rétablir rapidement l’état de droit et protéger la population contre la violence armée, exhorte Bachelet.
Elle évoque l’impact sévère de la violence des gangs armés sur les droits humains les plus fondamentaux des personnes.
« Des dizaines d’écoles, de centres médicaux, d’entreprises et de marchés restent fermés, et de nombreuses personnes ont du mal à trouver des produits de base, notamment de la nourriture, de l’eau et des médicaments », relève Michelle Bachelet.
Au niveau des deux principales routes nationales, reliant la capitale, Port-au-Prince, au reste d’Haïti, les restrictions à la circulation des personnes et des biens pourraient également avoir des effets dévastateurs à long terme sur la situation économique déjà difficile en Haïti, ajoute-elle, soulignant combien les gangs armés ont contrôlé l’accès aux zones sous leur influence.
188 personnes auraient été tuées, du 24 avril au 16 mai 2022
La vie tend à reprendre timidement, 3 semaines après la tuerie qui a fait au moins 148 morts dans la Plaine du Cul-de-Sac (périphérie nord/nord-est), où de fortes détonations persistent, alimentant la peur, selon des témoignages recueillis par AlterPresse.
Plusieurs écoles ont malgré tout recommencé à fonctionner, alors que les enfants, autant que leurs parents sont encore sous le choc, dans un contexte volatile.
Après la violence inouïe qui a caractérisé les affrontements entre gangs rivaux, leurs chefs ne cessent de proférer des menaces à travers les réseaux sociaux. De nombreux riverains hésitent à s’aventurer dans les rues et cela s’en ressent au niveau des activités quotidiennes très réduites.
Certains témoignages faisant état de possibles nouveaux morts ces derniers jours parmi la population civile n’ont pu être vérifiés.
Un pas vers le bouclage de la capitale ?
Entretemps, la situation sécuritaire s’est gravement détériorée dans plusieurs localités liant la commune de Croix-des-Bouquets à celles de Tabarre et Pétion-Ville (périphérie est).
Parmi les zones touchées figurent quelques quartiers des localités de Pernier (Pétion-Ville) et Torcelle (Tabarre) où une base de gang tend à prendre racines, non loin de l’Académie de police et de l’immeuble de l’ambassade américaine.
Durant le week-end écoulé, une situation de tension a régné dans ces zones, suite à une opération policière, tandis que des riverains ont abandonné leurs maisons de gré ou de force, selon des témoignages concordants.
Haïti/États-Unis : Appel à déclarer Michel Martelly persona non grata à Miami
• 16 MAI 2022
Actualisation à 22:00
P-au-P., 16 mai 2022 [AlterPresse] --- Une dizaine d’organisations et personnalités de la communauté haïtienne de Miami, aux États-Unis, demandent au maire de cette ville, Francis Suarez, de déclarer sans équivoque l’ancien président haïtien Joseph Michel Martelly persona non grata.
Elles ont adressé le 13 mai une lettre au maire, dans laquelle elles déclarent s’opposer fermement à la présence du chanteur et ex chef d’État, qui prévoit une tournée dans cette ville du mercredi 18 au au samedi 21 mai 2022, selon une copie de la correspondance transmise à AlterPrese.
« La journée du drapeau haïtien (le 18 mai) est honorée, chaque année, par des célébrations culturelles en Haïti et dans la diaspora haïtienne. Les villes de New York et de Montréal ont déclaré Michel Martelly persona non grata, pour les crimes violents (enlèvements/crimes liés aux gangs), commis contre des innocents Haïtiens, hommes, femmes et enfants », lit-on dans cette lettre.
« Il serait l’un des principaux chefs de gangs, qui terrorisent actuellement le peuple haïtien », soutiennent ces entités et personnalités qui déclarent s’opposer « avec véhémence » à sa présence dans Little Haiti, quartier haïtien de Miami.
Parmi les signataires, figurent Roger E. Biamby de la Fondation David, Tony Jeanthénor de l’organisation Veye Yo, le Dr Larry Pierre, du Centre d’études haïtiennes, Farah Juste, chanteuse et activiste communautaire, ainsi que les entrepreneurs Arsène Oméga et Wadson Tony.
Un rassemblement est prévu le 21 mai en face du Centre culturel de Little Haiti, où Martelly compte se produire, selon un des signataires, Tony Jeanthénor, contacté par AlterPresse. L’objectif, dit-il, est d’empêcher le déroulement de l’activité.

RHI/NEWS
PARIS, mercredi 18 mai 2022– L’association des journalistes haïtiens de l’étranger (AJHE) se dit inquiète de l’état de santé du journaliste Jean Joseph Bouchereau qui se trouve aux mains de ses ravisseurs depuis plus d’une quinzaine de jours.
Ex-directeur de l’information a la Télévision Nationale d’Haïti (TNH) et bénévole à la Secrétairerie d’Etat pour l’intégration des personnes handicapées, Bouchereau a été kidnappé à Port-au-Prince par des bandits armés qui auraient réclamé une rançon de 3 millions de gourdes en échange de sa libération, selon les médias.