Arrestation mardi d'un présumé fournisseur d'armes et de munitions au gang "400 Mawozo"
HPN
Les agents de la Police frontalière (POLIFRONT) ont procédé à l'arrestation de Maxony Germinal mardi 26 Avril 2022 à Malpasse, a appris HPN. Ce dernier présenté comme un présumé fournisseur d\'armes et de munitions au gang "400 Mawozo", qui opère dans la commune de la Croix des Bouquets, devrait se rendre en République voisine.
Cet homme de 40 ans réputé dangereux faisait l'objet d'un mandat d'amener a indiqué une source du tribunal de Première instance de la Croix des bouquets. Pour le moment, Maxony Germinal est sous haute surveillance des agents de la police attendant quel sera son sort dans les prochains jours.
Ce suspect devrait se présenter par devant la juridiction de la commune de la Croix des bouquets pour répondre aux accusations dont il est l'objet. Toutefois, la situation difficile qui se développe au niveau de certains quartiers de la commune ne donne aucune garantie que M. Germinal pourra répondre tout de suite aux questions d'un juge.
Croix-des-Bouquets (Ouest) : poursuite de la guerre des gangs dans la Plaine du Cul-de-Sac
Haiti Standard
Après l’attaque des alliés du gang dénommé « 400 mawozo » contre celui baptisé « chien méchant », tôt dans la matinée du 24 avril 2022, la situation est encore préoccupante au niveau de la Plaine du Cul-de-Sac, au Nord de Port-au-Prince.
Des tirs intermittents ont été entendus à plusieurs endroits situés à Croix-des-Bouquets et Tabarre. Des habitants de la Plaine du Cul-de-Sac ont fait état de plusieurs morts et des blessés recensés en marge des affrontements armés entre ces deux (2) gangs rivaux. Des habitants ont commencé à fuir leur maison, afin de se protéger contre la guerre des gangs qui se déroule au nord de Port-au-Prince. Selon quelques habitants de la Plaine du Cul-de-Sac joints au téléphone par la rédaction de Haïti standard, des membres du « gang local » ont proféré des menaces à leur égard, au moment de quitter leur maison.
Selon ces habitants, la zone dénommée Butte-Boyer serait sous contrôle des « 400 mawozo ». Ces derniers ont même tenté de franchir le pont de la Croix-des-Missions, afin d’occuper plus de territoire appartenant à l’ennemi. Les alliés du gang des « 400 mawozo » allaient être repoussés au niveau dudit pont par le gang « chien méchant ». Des informations recueillies auprès de certains habitants de la zone où se déroulent ces affrontements, les alliés des « 400 mawozo » habitaient le territoire. Cependant, ils ont été chassés par le gang « chien méchant ». Après avoir vécu chez les « 400 mawozo », ils ont pris l’initiative de retourner au niveau de la Plaine du Cul-de-Sac. Ainsi, ont-ils reçu des armes et des munitions, pour parvenir à leur fin
Au moins 20 civils tués dans la guerre des gangs en plaine du Cul-de-Sac
Le Nouvelliste.com
Assassinat, incendie de maisons, viol de femmes et de filles… les bandits ne lésinent sur aucun acte de terreur pour arriver à leurs fins. « Les hommes armés du gang ‘’ 400 Mawozo’’ ont mis le feu à ma maison située à Butte Boyer. Ils ont tué plusieurs de mes voisins avant d’incendier aussi leurs maisons », a rapporté au Nouvelliste Lucien, un résident des zones touchées par la guerre des gangs. « Ils violent les femmes et les filles quand ils parviennent à entrer dans une maison. Je me suis réfugié avec ma mère malade sur une place publique depuis mardi », a-t-il confié.
Assassinat, incendie de maisons, viol de femmes et de filles… les bandits ne lésinent sur aucun acte de terreur pour arriver à leurs fins. « Les hommes armés du gang ‘’ 400 Mawozo’’ ont mis le feu à ma maison située à Butte Boyer. Ils ont tué plusieurs de mes voisins avant d’incendier aussi leurs maisons », a rapporté au Nouvelliste Lucien, un résident des zones touchées par la guerre des gangs.
« Ils violent les femmes et les filles quand ils parviennent à entrer dans une maison. Je me suis réfugié avec ma mère malade sur une place publique depuis mardi », a-t-il confié.
Elles sont en effet plusieurs dizaines de familles qui se sont réfugiées sur une place publique et des quartiers adjacents non loin des zones de conflit pour échapper à la fureur des gangs. D’autres sont pris au piège chez eux et ne peuvent pas fuir.
« Nous sommes emprisonnés chez nous depuis dimanche matin quand la guerre a commencé. Nous n’avons plus ni eau ni nourriture. Mon père, diabétique et hypertendu, est actuellement dans un état critique. Aucun moyen d’aller acheter des médicaments et c’est trop dangereux de se déplacer avec lui », se plaint une jeune femme joint au téléphone par Le Nouvelliste.
« Mon petit frère a reçu un projectile à la jambe depuis dimanche alors qu’il était à la maison. Il en souffre beaucoup depuis quatre jours. On a pu stopper l’hémorragie mais on ne peut pas prendre le risque de l’emmener à l’hôpital, on n’a pas non plus de médicaments pour soulager sa douleur », informé un résident de Butte Boyer, l’un des quartiers les plus affectés dans la plaine du Cul-de-Sac.
Selon un premier bilan de la Protection civile, au moins 20 civils ont été tués entre le 24 et le 26 avril, dont une famille de 8 personnes, 3 jeunes femmes et 3 enfants. En date du 26 avril, a-t-elle ajouté, Médecins sans frontières a déjà admis 22 blessés dans leur hôpital à Tabarre. « Malheureusement, une fillette est décédée des suites de ses blessures. Une dizaine de maisons ont été incendiées, en particulier dans les quartiers de Marécage et de la rue Butte Boyer. Les informations collectées auprès des personnes affectées indiquent que la majorité de la population des quartiers de Tabarre 16, Tabarre 14, impasse Bellevue, Aquafine ont fui leurs habitations », a expliqué la Protection civile.
« Le dimanche 24 avril, dès 3 heures du matin, de violents affrontements entre les gangs 400 Mawozo et Chen mechan ont semé la panique au sein de la population et provoqué le déplacement de plusieurs centaines de personnes, dont des familles accompagnées de nourrissons et d'adolescents dans les quartiers de Croix-des-Missions, Santo et Clercine. Selon des informations préliminaires, au moins 18 civils auraient été tués et plusieurs maisons ont été pillées et incendiées », a détaillé la Protection civile dans son rapport.
Les entreprises, les commerces et les écoles des zones affectées ont tous fermé leurs portes. La Protection civile souligne que le conflit pourrait s’intensifier au cours des prochains jours et provoquer de nouvelles victimes parmi les populations ainsi que des mouvements de population additionnels. « Dans ce contexte, l’accès vers le Nord du pays via les routes nationales 1 et 3 pourrait être entravé, ce qui isolerait alors l’ensemble des départements de la capitale, puisque la route nationale no. 2 reliant les départements du Sud est toujours bloquée en raison de l’insécurité persistante », a fait remarquer la Protection civile.
« La zone d’affrontement est située à quelques centaines de mètres à peine au Nord de l’aéroport international Toussaint Louverture. Le lundi 25 avril au matin, alors que les combats continuaient de faire rage, une balle perdue a frappé l’un des hélicoptères du bureau des Nations Unies en Haïti stationné sur le tarmac de l’aéroport domestique Guy Malary qui jouxte l’aéroport international », selon le rapport.
Selon la Protection civile, plusieurs centaines de personnes se sont déplacées entre le 24 et le 27 avril des quartiers de Butte Boyer, Croix-des-Missions, Marécage et Mapou. Ces personnes se trouvent majoritairement en familles d’accueil, alors que quelques dizaines ont été vues sur des sites spontanés situés à la place Clercine, Mairie de Tabarre, Radio Commerce (Sarthe), l’église adventiste, village Ti Baka (Butte Boyer) et la place Hugo Chavez (route de Maïs Gaté).
Pour le moment, les forces de l’ordre ne tentent pas encore de reprendre le contrôle de la plaine du Cul-de-Sac. Ni la police ni le gouvernement n’ont encore communiqué à propos de cette conjoncture dans les zones affectées par la guerre des gangs. La situation est demeurée encore très tendue ce 27 avril…
Il faut souligner que depuis le 1er juin 2021, les autorités avaient déjà perdu le contrôle de la route nationale numéro 2 qui relie Port-au-Prince à quatre départements sur dix du pays. La guerre des gangs dans cette zone avait forcé l’organisation humanitaire Médecins sans frontières à abandonner son centre de prise en charge sanitaire.
Avec ce nouveau conflit armé dans la plaine du Cul-de-Sac, les autorités haïtiennes sont en train de perdre aussi le contrôle de la route nationale numéro 1 qui relie la capitale aux départements du Nord, du Nord'Ouest, du Nord'Est et de l'Artibonite.
Haitienmarche.com
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ASSASSINAT JOVENEL MOISE Cinéus Francis Alexis, un sus- pect clé dans l’assassinat de Jovenel Moïse se cache en RD...
Connu pour ses rapports privilégiés avec des barons du régime PHTK et alliés et avec Joseph Félix Badio, Cinéus Francis Alexis a été épinglé dans le rapport d’enquête partiel de la direction centrale de la police judiciaire (DCPJ) dans le meurtre de l’ancien président Jovenel Moïse.
Quoiqu’il soit un suspect dans l’assassinat de Moïse, Cinéus Francis Alexis fait figure d’intouchable dans cette af- faire. Il ne s’est jamais inquiété. Cinéus Francis Alexis n’a pas été poursuivi.
Au contraire, peu après que la DCPJ ait transmis son rapport d’enquête au parquet de Port-au-Prince, il s’est enfui en République Dominicaine, a appris RHINEWS auprès d’une source proche de la police judiciaire ayant requis l’anonymat.
« Certains membres influents du pouvoir en place auraient tout fait pour éviter d’arriver à cet homme et d’autres individus accusés d’implication présumée dans le meurtre de l’ancien président. Ses liens avec Joseph Félix Badio ne sont pas à démontrer », précise la source.
Considéré comme l’un des cerveaux et planifica- teurs de l’assassinat de l’ancien président Jovenel Moïse, Joseph Félix Badio était en contact permanent avec de nom- breuses personnalités politiques, de la société civile, du monde religieux, du gouvernement, de la police nationale en- tre autres, depuis plusieurs mois jusqu’au jour du drame du 7 juillet 2021, selon ce que démontre le document de 124 pages de la DCPJ.
Des contacts de Badio, certains ont déjà été arrêtés dans le cadre de l’enquête en cours sur l’assassinat de Jovenel Moïse. D’autres sont en cavale et font l’objet de mandats d’amener émis par le parquet de Port-au-Prince. Cependant, aucun de ces mandats n’a été exécuté, déplore la source.
Cependant, d’autres contacts de Joseph Félix Badio avec lesquels il communiquait depuis plusieurs mois et sur une base permanente, et suspectés d’implication présumée dans le meurtre du 7 juillet 2022, n’ont jamais été auditionnés par la direction centrale de la police judiciaire (DCPJ) ni par un juge d’instruction.
C’est le cas de Cinéus Francis Alexis et Ariel Henry,
par exemple, souligne la source pré- cisant que ces derniers étaient con- stamment en communication avec Joseph Félix Badio dont on ignore ce qu’il est devenu.
La source rappelle qu’entre le mois de mai et juillet 2021, Cinéus Francis Alexis était en contact avant, pendant et après l’assassinat du Prési- dent Jovenel Moïse avec Rodolphe Jaar, un autre suspect dans cette af- faire qui a été arrêté en République Dominicaine et extradé aux Etats- Unis où il a été formellement inculpé par la justice américaine. Jaar et Ba- dio se sont parlés 203 fois durant cette période.
Avec Joseph Félix Badio, Cinéus Francis Alexis a parlé au moins 290 fois de mai à juillet, selon le rapport de la DCPJ.
La source informe que les deux hommes se sont parlés le jour de l’assassinat de Jovenel Moïse, tôt dans la matinée du mercredi 7 juillet alors que Badio se trouvait encore à l’intérieur de la résidence présiden- tielle qu’il a fouillé de fond en comble, emportant argent et docu- ments entre autres.
Au moment où Badio se trouvait à la résidence présidentielle et communiquait avec Cinéus Francis Alexis, l’ex-première dame, Martine Moïse, blessée mais consciente, était encore à l’intérieur de la maison. Elle était en mesure d’identifier la voix de Badio qui ne serait pas un inconnu pour la famille présidentielle, selon la source.
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GREVE
Hpn
2 journées de grève générale d’avertissement pour protester contre l’inacceptable les 9 et 10 mai prochains
Le coordonnateur national de la Brigade syndicale anti-corruption (BSAC), Sonson Dumé, invite les secteurs de la vie nationale à collaborer en vue du respect du mot d’ordre de deux journées de grève générale d’avertissement le 9 et le 10 mai prochain pour forcer le gouvernement de facto à adresser l’insécurité, la crise du carburant et la cherté de la vie.
Jeudi 28 avril 2022 ((rezonodwes.com))–
La BSAC juge inacceptable le silence complice du premier ministre de facto Ariel Henry, en dépit de la longue liste des victimes des conflits armés à Croix-des-Bouquets et Martissant qui ne cesse de s’allonger.
ASSASSINAT DE JOVENEL MOISE
Alter Presse
L’enquête criminelle américaine sur le dossier de l’assassinat, le 7 juillet 2021, de l’ancien président de facto en Haïti, Jovenel Moïse, serait transformée en une affaire de sécurité nationale dans un tribunal de Miami, révèle le journal américain Miami Herald, dans un article publié le jeudi 28 avril 2022 et consulté par l’agence en ligne AlterPresse.
Le gouvernement américain a contraint les procureurs fédéraux de Miami de sceller les preuves sensibles des activités passées, travail d’infiltration, d’anciens informateurs du Federal bureau of investigation (Fbi) et de la Drug enforcement administration (Dea), soupçonnés dans l’assassinat, dans l’intérêt de la sécurité nationale des États-Unis d’Amérique, rapporte le journal Miami Herald.
Les informations, qui sont classifiées, ne pourraient pas être transmises à la défense dans l’enquête élargie, ajoute Miami Herald.
« La semaine dernière, le procureur adjoint américain, Walter Norkin, a déclaré au juge de district américain Jose Martinez que les procureurs voulaient sceller des preuves sensibles dans l’affaire sur l’assassinat du président haïtien, en vertu de la loi sur les procédures d’informations classifiées ».
« Norkin a demandé au juge de nommer un agent de sécurité du ministère de la justice, qui présenterait les informations classifiées en secret à Martinez. Le juge a approuvé cette demande »
Les procureurs voudraient également garder secrètes toutes les méthodes d’enquêtes sensibles, ont indiqué les sources, citées par Miami Hérald.
« Un ancien informateur du Fbi, lié à une entreprise de sécurité de la région de Miami et deux anciens informateurs de la Dea ont tous été accusés d’avoir participé à l’agression mortelle...Arcángel Pretel Ortiz, un Colombien dont les liens avec l’armée de son pays natal remontent aux années 1990, serait un ancien informateur du Fbi, une relation potentiellement embarrassante pour les autorités américaines...un trafiquant de drogue haïtien condamné, qui a déjà travaillé avec la Dea et est maintenant accusé d’avoir fourni des logements et des armes aux tueurs ».
Arcángel Pretel Ortiz est un suspect, qui n’est pas en détention, mais qui est considéré par la Police nationale d’Haïti (Pnh) comme « l’un des chefs » du complot d’assassinat présidentiel, souligne le journal américain Miami Herald.
Ancien informateur de la Dea ayant passé du temps en prison, aux États-Unis, pour trafic de cocaïne, Rodolphe Jaar est un homme d’affaires haïtien, impliqué dans ce dossier d’assassinat du 7 juillet 2021 sur Jovenel Moïse, relève, de son côté, David C. Adams, dans le journal Univision.
Joseph Vincent, un deuxième informateur de la Dea, est l’un des trois Haïtiens-Américains, qui ont été arrêtés avec plusieurs Colombiens en Haïti.
« Cette demande, qui a été acceptée par le juge, semble confirmer les soupçons concernant un lien encore peu clair entre l’assassinat de Jovenel Moïse et les actions des mandataires ou informateurs du gouvernement américain. Les documents du tribunal n’expliquent pas en détail pourquoi la mesure de protection est nécessaire, ni à quel type de preuve elle pourrait faire référence », estime le journal Univision.
« Le gouvernement américain est en train de signaler l’implication de la Cia », a déclaré Mike Vigil, ancien chef des opérations de la Dea dans les Caraïbes », cite Univision.
Entre-temps, en Haïti, le mandat du quatrième juge d’instruction en charge du dossier est arrivé à terme depuis le lundi 25 avril 2022, sans qu’aucune accusation formelle ne soit portée contre l’un des quelque 40 suspects toujours emprisonnés à Port-au-Prince, près de 10 mois après l’assassinat de Jovenel Moïse.
AFFAIRE PLACE ST PIERRE
Haiti Standard
Le maire principal de Pétion Ville essaie d se justifier mais manqué de conviction.
Esclavage aux États-Unis: l'université de Harvard fait son introspection
C'est l'examen de conscience de l'une des plus prestigieuses universités américaines : un rapport sans concessions, sur ses liens avec l'esclavage, que publie l'université de Harvard ce jeudi 29 avril 2022, aux États-Unis. Il y est question de comment elle a profité directement et indirectement de l'asservissement des Afro-Américains, et de comment elle entend réparer.
Ils sont 79. Des hommes, des femmes et parfois des enfants afro-américains, à avoir été réduits en esclavage au sein même de Harvard. Ils étaient la propriété de dirigeants, de professeurs ou de l'université elle-même, qui forme les élites américaines depuis près de 400 ans. Cela s'est arrêté au XVIIIe siècle avec la fin de l'esclavage dans l'État du Massachusetts, où se trouve le prestigieux établissement. Mais ce n'est pas tout. L'institution a continué à en profiter par la suite, avec les financements venant d'entreprises et de particuliers liés à l'esclavage ailleurs aux États-Unis. Enfin, l'université a aussi contribué à justifier académiquement le racisme et l'esclavage. Certains de ses professeurs ont défendu, par le passé, l'inégalité naturelle des races et l'eugénisme. Ainsi, le président de Harvard Lawrence Bacow reconnaît une responsabilité morale et un devoir de réparer.
Un fonds de 100 millions de dollars est prévu à cet effet. Il ne financera pas les descendants des esclaves de Harvard. C'est plutôt dans le domaine de l'éducation que l'argent va servir. Et ce, en renforçant les partenariats avec les établissements universitaires historiquement noirs, pour que les professeurs de Harvard y enseignent et pour accueillir davantage d'étudiants afro-américains. Actuellement, ces derniers représentent un peu plus de 15% des effectifs.
Pour finir
CE DIMANCHE, PREMIER MAI, CE SERA LE LITTLE HAITI BOOK FESTIVAL au Centre culturel Little Haiti.
Le Little Haiti book festival sera on line les dimanche 8 et 15 Mai 2022.
Haiti en Marche vous donne la liste de toutes les activités
Activités à la chaine:
Danse {avec Tradisypn Lakou Lakayet NSL Danse Esemble), Tire Kont avec Liliane Nerette Louis, Danse avec RaraLakay, Haitian Film avec le film Vaudou at the cross road of knowledge.
Rencontre avec des écrivains haïtiens Edwidge Danticat, Jessica Fièvre, Distribution de Livres…
D’autres aussi en parlent comme Thelar Management Group,
Aimez vous lire?
Etes vous à la recherche du procain grand livre?
Venez au Festival du Livre au Little Haiti à Miami dimanche Premier Mai. Le festival se déroule de 11 heures à 6 hres pm au Little Haiti Cultural Center. Et mettra en vedette des auteurs d’Haïti et de la diaspora haïtienne. Il y aura aussi des activités pour enfants, des spectacles de danse et de musique de la nourriture et plus encore.
Ne Ratez pas le Little Haiti Book Fair.