Dieuseul Simon Desras demande « l'annulation pure et simple du scrutin du 9 août » indiquant : « [...] du temps où j'étais le Président de l'Assemblée Nationale, j'avais prédit qu'on ne pourrait pas avoir de bonnes élections avec ce Conseil Électoral Provisoire. Ce CEP est une déception et la mascarade du 9 août, une honte nationale. C'est un CEP à 60% corrompu [...] ; les candidats au Sénat sont tous victimes de l'incompétence et de la nonchalance des membres du Conseil électoral [...] ».