Les autorités dominicaines ont informé qu'au mois d'août 2017, plus de 11,000 étrangers en provenance d'Haïti, d'Albanie, de Chine, de Cuba et du Venezuela, avaient été rapatriés (5,702) ou non admis depuis la frontière (5,430).

 

Un rapport de la Direction Générale des migrations (DGM) indique qu'au cours de cette période, 1,190 opérations d'interdiction de migrants ont été menées sur tout le territoire national, où 68,305 étrangers ont été détenus temporairement pour vérification et 46,726 ont été déportés principalement par la frontière terrestre de Jimaní, Elias Piña et Dajabón.

De plus par voie aérienne ont été enregistrées 2,650 non admissions sur le territoire dominicain, l'expulsion de 368 étrangers et le retour de 454 autres, qui ne respectaient pas les dispositions de la loi sur les migrations.

Selon le rapport, les étrangers rapatriés venaient d'Afghanistan, d'Albanie, d'Allemagne, d'Argentine, d'Arménie, de Belgique, du Brésil, de Bulgarie, du Canada, de Chine, de Colombie, de Cuba, de Curaçao, d'Equateur, d'Espagne, des États-Unis, de la France et du Ghana (Afrique ), de Grèce, de Guyane, d'Haïti, de l'Inde, de l'Iran, d'Italie, de Lituanie, du Mexique, du Népal, des Pays-Bas (Pays-Bas), du Panama, du Pérou, du Portugal, de Porto Rico, de Russie, de Serbie, de Taïwan, de Trinité-et-Tobago et du Venezuela.