Suite à un arrêt de travail observé, le mercredi 15 mars, par les agents de sécurité de l'Aéroport international Toussaint Louverture pour exiger une augmentation salariale, plusieurs vols internationaux ont dû être annulés. Une situation qui a été une nouvelle fois gérée grâce à l'intervention de la présidence de la République.

 

Depuis son arrivée au pouvoir, le chef de l'état ne fait que jouer au pompier, que ce soit dans la crise à l'unité de Dialyse de l'HUEH, ou dans les centres carcéraux avec la mort des prisonniers de malnutrition ou encore mercredi dernier à l'AAN (Administration aéroportuaire nationale) Jovenel Moise doit apporter son grain de sel pour qu'une solution rapide soit trouvée.
En effet face à la grogne des passagers et au blocus occasionné par cette grève qui a duré près de 5 heures de temps, des représentants de la présidence et des responsables de l'AAN ont rencontré les protestataires pour un dénouement de la crise.
Sans qu'une solution définitive n'ait été trouvée, les vols ont pu être repris et les agents de sureté à l'aéroport international Toussaint Louverture, ont mis fin à la grève. Toutefois, des centaines de passagers ont été obligés de remettre leur voyage à plus tard. Des avions sont repartis à vide vers l'étranger. Une information qui a été largement relayée par la presse internationale et pas bonne pour notre image.