Le bureau du Coroner du Québec qui enquêtait sur les circonstances du décès du juge d'instruction Jean Serge Joseph, a révélé dans son rapport médical que le magistrat est mort d'une hémorragie intra-parenchymateuse. Ainsi, le Coroner du Québec rejette la thèse d'empoisonnement avancée jusque-là par des proches du défunt ainsi que par un sénateur de la République. Le corps du Juge Jean Serge Joseph, on se le rappelle, a été rapatrié, en juillet dernier, au Québec sur demande de sa famille, pour besoin d'autopsie. La famille du magistrat instructeur avait saisi le Coroner du Québec, le dossier a été identifié au No. A-321992. Le cas a été présenté comme suit : un québécois décédé à l'étranger, avec rapport médical concluant un ACV. Les membres de la famille ont déclaré la mort suspecte, d'où, le Coroner du Québec a du enclencher une enquête. L'autopsie a révélé la même cause décrite du constat de décès, d'après une entrevue réalisée avec le médecin coroner responsable, Jean Brochu qui affirme n'avoir émis d'autres versions. Des examens toxicologiques s'en suivront parallèlement mais, avec mince possibilité de conclusion rigoureuse, car le corps avait déjà été embaumé en Haïti. Le rapport définitif ne sera pas réalisé avant l'automne prochain. Rappelons que le juge Jean Serge Joseph est décédé, le 13 juillet dernier, des suites d'une hémorragie intracérébrale selon cet organisme international.
L'ambassadeur des Etats-Unis en poste en Haïti, Pamela White, estime qu'à cinq mois de la fin de l'année les élections peuvent encore être tenues au pays. Pamela White qui indique avoir la garantie du président Martelly souhaite toutefois que l'exécutif arrive à maitriser les différentes crises qui se profilent à l'horizon. Les Etats-Unis disposent de 10 millions de dollars pour l'organisation des prochaines joutes en Haïti et ce, peu importe la date à laquelle elles se tiendront. l'élu de la Croix-des-bouquets Thomazeau a fait savoir que le projet de loi électorale sera mis à l'ordre du jour cette semaine en conseil des ministres. ‘'Pas plus tard que le dimanche 4 aout dernier, le premier ministre Laurent Lamothe m'a donné la garantie que le projet de loi électorale sera mis sur le tapis en conseil des ministres cette semaine avant d'être acheminé au parlement'' révèle Jean Tolbert Alexis.
Mais l’enquête n’est pas close pour autant déclare le bureau du coroner canadien. La thèse d'accident vasculo cérébral (AVC) est maintenue par le coroner québécois, le Dr Jean Brochu, dans le décès du juge Jean Serge Joseph. « Cette information a été transmise à la famille de M. Joseph », précise la porte-parole Genevièce Guilbault dans un courriel de «mise au point» adressé aux médias, mardi en avant midi. La confirmation de la thèse d'AVC ne met pas fin à l'enquête contrairement à ce qu'on pourrait penser. «Le coroner est toujours en attente d'autres résultats des expertises qu'il a ordonnées et son rapport d'investigation sera rendu public durant l'automne.», ajoute le service des communications du Bureau du coroner. Conclusion? Patience Le Bureau du coroner a jugé nécessaire d'apporter ces précisions devant l'escalade médiatique qui a cours depuis plus d'une semaine au sujet de la cause du décès de M. Joseph. Toute sorte d'informations et de thèses ont plu sur la toile et dans les médias sur le sujet. Un sénateur haïtien, Moïse Jean-Charles a été le premier à évoquer la possibilité d'un empoisonnement du magistrat. Par la suite, de nombreux sites et publications sur Internet se sont emparés du dossier, invoquant toutes sortes de scénario. «À ce stade, la seule information confirmée et vérifiée par le coroner est que M. Joseph a été victime d'un accident vasculo cérébral et toute autre information qui a pu circuler au sujet de son décès n'a jamais été avancée, confirmée ou infirmée par le Bureau du coroner du Québec», précise Mme Guilbault. Elle rappelle également que les rapports d'autopsie sont des documents confidentiels et non publiables. «Le rapport d'autopsie sur le décès de M. Joseph n'a donc en aucun cas été diffusé par le Bureau du coroner.» Funérailles enfin Par ailleurs, l'épouse du juge Jean Serge Joseph, Rachelle Acéla, a finalement obtenu un visa d'entrée au Canada afin d'assister aux funérailles de son mari. Ce visa lui a été refusé auparavant par un consul de l'Ambassade du Canada à Port-au-Prince, ce qui a provoqué l'ire de la communauté haïtienne de Montréal. Le frère du défunt, Fritz Joseph, a confirmé l'information mardi matin sur les ondes de CPAM1410, la radio haïtienne de Montréal. Les funérailles étaient prévues dimanche dernier mais ont été reportées en raison de ce problème de visa.
Le ministre de l’environnement Jean-François Thomas et le Directeur du Service métropolitain de collecte des résidus solides (SMCRS) ont annoncé mercredi un ensemble de dispositions pour la « mise en application graduelle, ordonnée et stricte » de l’arrêté portant sur l’interdiction de la production, de l’importation, de la commercialisation et de l’utilisation des sacs en polyéthylène, des intrants et objets en polystyrène expansé (PSE ou PS cristal ou styrofoam). Une concentration spéciale sera accordée aux objets à usage alimentaire, tels les plateaux, les barquettes, les bouteilles, les sachets, lescgobelets et le assiettes. Toutefois, selon le ministre, les bouteilles, les sachets transparents servant de récipients pour les boissons, les médicaments et aliments, les sachets blancs ou clairs pour ramassage d’ordures, les petits sachets à usage unique pour semences, production et conservation de plantules sont exempts de cet arrêté et feront l’objet d’autres réglementations. Le ministre Jean François Thomas a fait savoir que le gouvernement via le ministère de l’économie et des finances va prendre les dispositions nécessaires en vue de faciliter l’importation d’intrants, de récipients et de produits en papier ou carton à 100% biodégradabpour remplacer ces objets en polystyrene. Pour sa part, le Directeur du SMCRS, M. Donald Paraison a fait savoir que les responsables vont tout mettre en œuvre pour faire appliquer strictement cet arrêté entré en vigueur le 1er aout 2013. « Presque tous les canaux sont obstrués à 95% par des assiettes en foam », a indiqué M. Paraison. De son côté, le directeur de l’Administration générale des douanes (AGD), Fresnel Jean Baptiste indiqué que son institution a déjà pris toutes les dispositions pour empêcher la rentrée de ces produits interdits dans le pays. Une commission interinstitutionnelle va également procéder à la saisie de ces objets dans les entrepôts, a-t-il ajouté.
Lucie Tondreau sur la selette ! Toute une polémique secoue la municipalité de North Miami autour de la nouvelle mairesse : Lucien Tondreau élue à la majorité ( elle a recueillie plus de 4.000 votes) mais qui cependant se trouve confrontée à un problème certain : Selon les déclarations du maire sortant Kevin BURNS elle n’aurait pas habité dans le North Miami depuis un an au moment des élections . Or les règles sont formelles : pour être candidat au poste de Maire de Miami, il faut avoir habité dans la municipalité depuis au moins un an. Mais la polémique qui secoue la municipalité aujourd’hui est plutôt au sujet de l’entité qui paiera la facture. Un procès de ce genre est lié à beaucoup de frais. Frais d’avocat, ( Me Benedict Kuehne $ 250.00 l’heure) , Autres avocats sur le cas ( $ 200.00 l’heure) , paralégaux $ 90.00 l’heure. Ce qui représente une facture de $ 540.00 l’heure, qui est payée par la municipalité de Noth Miami. Et c’est ce qui provoque la polémique aujourd’hui. Pourquoi est-ce la municipalité qui doit payer la facture, alors que Madame Lucie Tondreau n’était pas mairesse quand le forfait a été commis . iI y a les pour, il y a les contre. L’un des attaquants les plus acharnés de la mairesse est Scott Galvin : « Quand tout cela est arrivé Madame Tondreau était la Citoyenne Tondreau, et non pas la Mairesse Tondreau :. Tandis que l’un des conseilles à la mairie Philippe Bien Aimé est d’avis que il est tout à fait légal pour la municipalité de faire les frais : « Quand le procès a été lancé Lucie Tondreau était déjà mairesse « Qui gagnera le Lawsuit ? L’enjeu est de taille. Il en est de la stabilité de North Miami. Mais en attendant, un véritable remue- ménage a été déclenché et tout ça n’est pas de nature à attirer dans la municipalité les investisseurs souhaités par la mairesse qui revient tout juste d’un voyage en Haïti où elle a été reçue très officiellement par la mairesse de Pétion Ville avec qui elle se déplaçait ( Yvanca Jolicoeur Brutus). Madame Tondreau s’est aussi rendue à Jacmel, la ville natale de sa famille et a promis de tout faire pour assurer le jumelage de villes américaines avec des villes haïtiennes. A ce sujet, elle compte beaucoup sur le concours et l’appui d’autre maires noirs à travers les Etats-Unis. Lucie Tondreau vient d’effectuer une visite fort réussie en Haïti. Est-ce donc cela qu’on lui reproche aujourd’hui ? Qu’on le veuille au nom Madame Tondreau jouit du concours de la majorité de la population haïtienne et beaucoup sont d’avis qu’avec elle à la tête de la municipalité de North Miami, la communauté haïtienne pourra enfin sortir de son marasme et jouir des mêmes avantages que les autres communautés constituant ce melting pot qu’est devenu le North Miami . Ceux qui l’attaquent aujourdhui veulent ils à tout prix empêcher à ce miracle d’avoir lieu ?