Élection: la question des élections en Haïti sera débattue ce samedi à l’OEA Vendredi, 25 Avril 2014 11:02 RLJ/HPN Nouvelles - Politique Le Secrétaire général de l’OEA, José Miguel Insulza, a annoncé, vendredi, dans un communiqué que le Groupe des amis d'Haïti de l'OEA se réunira, ce samedi 26 avril 2014, pour débattre de la question des élections en Haïti, afin d'envisager l’adoption d’une déclaration. Le Secrétaire général a également invité les acteurs politiques haïtiens à « conclure un accord pour tenir les élections législatives cette année ». Selon M. Insulza « il est urgent que les acteurs nationaux impliqués dans le processus politique en Haïti parviennent à des accords aboutissant à des définitions précises au sujet du calendrier électoral ». Le dirigeant de l'OEA a indiqué que « cet impératif est la première conclusion de l’observation détaillée des événements politiques en Haïti effectuée par l'Organisation », soulignant par ailleurs l'ouverture d'un débat au sein du Conseil permanent de l’Organisation « où un grand nombre de représentants ont indiqué qu’il est souhaitable que les élections aient lieu en temps opportun ». Le Secrétaire général a averti que le processus interne haïtien « a atteint un point de stagnation marqué par l'absence d'accords tangibles établissant un calendrier électoral ». Le Secrétaire général Insulza a rappelé que l'organisation continentale « est disposée à dépêcher une mission d'observation pour accompagner un processus électoral qui donne des garanties à tous les secteurs et contribue à la stabilité démocratique de la nation.
La Centrale nationale des ouvriers haïtiens continue de réclamer 500 gourdes de salaire minimum journalier vendredi 25 avril 2014 P-au-P, 25 avril 2014 [AlterPresse] --- A moins de huit jours de l’entrée en vigueur de l’arrêté, fixant le salaire minimum à 225.00 gourdes pour la branche du textile, la Centrale nationale des ouvrières et ouvriers haïtiens (Cnoha) dit maintenir sa revendication d’un salaire minimum journalier de 500.00 gourdes (US $ 1.00 = 46.00 gourdes ; 1 euro= 65.00 gourdes aujourd’hui), dans une note transmise à AlterPresse. La Cnoha demande des accompagnements sociaux en faveur des ouvrières et ouvriers. Elle exige des subventions en nourriture, transport et logements sociaux. Ces mesures devraient être soutenues concrètement dans le budget du prochain exercice fiscal (2014 - 2015), dont le dépôt au parlement est attendu en juin prochain, insiste-t-elle. Parallèlement, la Cnoha appelle le parlement à « repenser la loi de 2009, parce que les ouvrières et ouvriers ne peuvent plus vivre avec 200.00, 300.00 gourdes par jour, mais plutôt 500.00 gourdes ». La loi de 2009, fixant le salaire minimum dans la sous-traitance à 200.00 gourdes, prévoyait que ce chiffre passerait à 300.00 gourdes le 1er octobre 2012. Une disposition, qui n’a jamais été appliquée. Par ailleurs, des rencontres entre syndicats et patrons doivent avoir lieu, suivant une autre recommandation de la Cnoha demandant aux patrons de « cesser les actes d’intimidations dans les usines ». La centrale nationale des ouvrières et ouvriers haïtiens en profite pour lancer une mise en garde à certains syndicats qui, dit-elle, prétendent aider les ouvrières et ouvriers, alors qu’ils gèrent plutôt des questions politiques. La demande de relèvement du salaire minimum journalier à 500.00 gourdes a agité les rues, fin 2013, au moment où le Conseil supérieur des salaires (Css) a recommandé un salaire minimum de 225.00 gourdes pour le secteur textile. La mobilisation de rues, emmenée par des syndicats d’ouvrières et d’ouvriers, s’est soldée par une vague de licenciements dans les usines. Le mercredi 16 avril 2014, le président de la république Michel Martelly a pris un arrêté qui doit entrer en vigueur le 1er mai 2014 et qui suit cette recommandation du Css.
Vendredi, dans le cadre d’une visite préparatoire du voyage officiel au Mexique du Chef de l’État haïtien, l'Ambassadeur de la République d'Haïti au Mexique, Guy Lamothe, s’est rendu au Yucatán (État du Sud-Est du Mexique) pour rencontrer le Gouverneur de l’État, Rolando Zapata Bello. Lors de cette réunion, qui s’est déroulée en présence d’Éric Rubio Barthell, Chef du Bureau du Gouverneur, Garvey Jean-Pierre, Ministre Conseiller de l'Ambassade d'Haïti au Mexique et Pierre Saint-Remy, le Directeur de la sécurité présidentielle d'Haïti, le Gouverneur s’est entretenu avec l’Ambassadeur d’Haïti des activités que le Président haïtien, Michel Martelly, réalisera au Yucatán à l'occasion de sa prochaine visite au Mexique pour participer au 6e Sommet de l'Association des États des Caraïbes qui se tiendra à Mexico du 28 au 30 avril et au III Sommet Mexique-Communauté des Caraïbes (Caricom), qui se tiendra mardi 29 avril à Merida, au Yucatán. Dans ses propos de circonstance, l’Ambassadeur Guy Lamothe a exprimé sa gratitude à Zapata Bello pour l'hospitalité du Yucatán et souhaité plein succès dans la réalisation de ces deux événements internationaux, compte tenu des conditions idéales de sécurité et d'harmonie sociale dans l'État.
Transmise par un moustique, la maladie de chicungouya est dans nos murs. Une vingtaine de cas ont déjà été diagnostiqué par un laboratoire localisé en Barbade. Les symptômes du chicunguya sont une très forte fièvre et des douleurs articulaires. Il faudrait que le ministère de la Santé publique, le ministère de l'environnement et les différents ministères du pays , sans oublier la police, se mettent à l'oeuvre pour lutter contre les détritus, pour empêcher de déverser dans les ravines toutes sortes de déchets, pour faire l'aspersion des zones les plus vulnérables pour venir en aide à la population, en tentant de freiner la propagation de l'épidémie ! Malheureusement nous ne voyons rien de ce genre ! Tous ceux qui habitent au bord du bois de Chêne ou de n'importe quelle autre ravine, entendent pendant toutes les nuits les brouettiers qui déversent les " fatras" et parfois même, comme au Bois Verna, ce ne sont même pas les brouettiers, mais les grosses compagnies qui jettents sacs de ciment ou toutes sortes d'autres déchets dans la ravine. Le ministère de l'environnement, la mairie de Port-au-Prince ont été avertis par plusieurs riverains. Mais rien , absolument rien ne s'est passé. C'est comme si tout un chacun est impuissant à faire appliquer les lois et regarde avec un hochement d'épaules cet environnement se dégrader chaque jour un peu plus!
Il s’agit de Markington Philippe. Les autorités argentiesl’ont arête et il est actuellement détenu en Argentine. Markington Philipp est suspect d’avoir tire sur Jean Dominique, il y al quatorze ans après avoir tire à bout portant sur le gardien de la station Jean Claude Louissaint, qui se trouvait à la barrier de la station au haut de Delmas. La nouvelle de l’assassinat de Markington Philip a fait le tour des salles de rédaction Le Nom de Markington Philippe avait été cite en Janvier 2014, lors de la sortie des résutats de l’investigation conduit par le juge Yvikel Dabrésil. NEUF autres noms avaient été cites dans cette investigation. En tzête de liste, Mirlande Libérus, une es-sénateur du parti de Jean Bertrand Aristide, retenue comme l’organisatrice du double meurtre d’Avril 2000 de Jean Dominique et du gardien de la station jean Claude Louissaint. zLes autres 8 autres noms figurant dans la liste présentée dans les résultats de l’vestigation sont: Annette Auguste Franco Camille NMérité Milien Dimsley Milien, Toussaint Mercidieu Jeudi Jean Daniel Markington Michel.