“Si quelqu’un me dit qe j’ai des garantis, je répondrai; NON. Car si il y a eu deux échecs avant moi, un troisième est touours possible. Si je passe le cap du processus de ratification je ne pourrai rien faire seule. Répondre à l’appel du chef de l‘état a été une décision difficile pour moi, parce que j’avais envie d’oeuvrer au progres du pays dans mon champ d’action. C’est une énorme responsabilité. Je m’engage parce que j’ai confiance dans ma capacité personnelle et dans la capacité des Haïtiens à relever le défi. En cas d’échec, je vais continuer mon travail de militante engagée dans ce pays”.