Plusieurs manifestants, dont deux étudiants, ont été victimes de brutalités policières, recevant coups et blessures de la PNH.
Tout a commencé quand des agents du corps spécialisé CIMO ont voulu empêcher les manifestants d’accéder à la Place de l’Empereur Jean Jacques Dessalines, lieu qu’ils avaient choisi pour délivrer un message final. Deux étudiants tentant de violer l’interdiction des agents de la PNH, ont été roués de coups par les policiers.