M. Ismael dénonce le manque d’implication des politiciens canadiens dans le dossier. Il vise particulièrement son compatriote Emmanuel Dubourg, candidat libéral à l’élection partielle dans Bourassa qui se tient lundi. «M. Dubourg priorise ses intérêts personnels au détriment de gens en danger. Il se défile et c’est inacceptable», a-t-il déclaré.


Pour sa part, le candidat libéral estime qu’il n’a pas à demander une intervention dans le dossier. «La négociation doit se faire les deux pays souverains impliqués», a affirmé son attaché de presse, Jean Lapierre.