Pierre Espérance, directeur exécutif du Réseau National de Défense des Droits Humains (RNDDH), doute que cette Commission d'Évaluation Électorale soit viable et puisse permettre de rétablir la confiance dans le processus électoral et favoriser le dénouement de la crise, estimant entre autres que « le Président Michel Martelly ne peut être juge et partie à la fois ».