Dans un communiqué publié dimanche, le ministère de la Justice et de la sécurité publique rappelle que la législation pénale haïtienne punit sévèrement la diffamation, les menaces et les incitations à la violence, mais le texte ne fait pas mention du carnaval marqué cette année par la non participation de certains groupes musicaux très critiques envers le pouvoir.
Le ministère menace les auteurs matériels et intellectuels de diffamation et d'incitations à la violence des articles 64, 313 et 321 du code pénal ainsi que les articles 18, 22 et 23 du décret sur la presse et la répression des délits de presse.
HPN