Les membres du comité de suivi ont démenti les allégations faisant état de l'existence de plusieurs documents. Ils ont soumis aux journalistes une copie de l'Accord qui a été paraphé par les représentants des parties et authentifié par un notaire. Selon le sénateur Riché, son collègue Benoit n'avait pas à présenter des excuses pour avoir paraphé le document au nom du président du Grand Corps.
M. Riché explique toutefois qu'il avait exprimé des réserves sur cet article arguant que l'élaboration des lois est une prérogative constitutionnelle du Parlement.
En ce qui a trait à la levée de boucliers contre l'article 12 de l'accord d'El Rancho, le vice-président du Sénat préconise un nouveau round de négociation entre l'Exécutif, le Parlement et les partis politiques afin de trouver un consensus. Pour le sénateur Riché les acteurs politiques doivent œuvrer afin d'améliorer les conditions de vie de la majorité des citoyens.