Treize ans après l’assassinat du journaliste Jean Léopold Dominique, la Plate-forme des organisations haïtiennes des droits humains continue de réclamer justice en faveur de la victime auprès des autorités judiciaires du pays.


Dans une note publiée, mercredi (3 avril), l’organisation de défense des droits humains dénonce l’impunité qui règne dans l’appareil judiciaire.
Le 3 avril 2000, le P.D.G de Haïti Inter, Jean Léopold Dominique et le gardien de la station Jean-Claude Louissaint ont été lâchement assassinés tôt dans la matinée sur la cour même de Radio Haïti Inter, à Delmas.
« Treize ans plus tard la lumière n’est toujours pas faite, et l’enquête se poursuit…, alors que la famille de Jean Léopold Dominique, ses proches, ses collaborateurs, les organisations de droits humains et la société toute entière attendent que la justice se prononce sur ce dossier », note la POHDH.