Des individus malintentionnés, dont des prisonniers évadés, profitent de la situation pour s’adonner aux viols de jeunes filles et de femmes qui comme le reste de la population, dorment dans la rue depuis deux semaines. Les Port-au-Princiens sont invités a dénoncer ceux qui commentent de tels actes. La police encourage les femmes et les jeunes filles qui subissent des violences sexuelles ou qui en sont menacées de porter plainte immédiatement.