C’est aux 33 membres du Conseil de l’Université de résoudre la crise, clament quelques professeurs et étudiants réunis au sein d’un comité de suivi de la crise de l’UEH. En dépit de l’obligation du président de garantir la bonne marche des institutions, la création d’un "Comité de facilitation" présidentiel sur le cas tend à violer l’autonomie de l’UEH consacrée dans la loi mère de la République, soutient le comité de suivi.