Le premier ministre Jacques Edouard Alexis s’est dit prêt à répondre à l’interpellation des parlementaires le 28 février 2008, faisant remarquer que la lettre d’interpellation ne mentionne pas le dossier de la vie chère. " La lettre fait état de la politique générale et du bilan du gouvernement", dit-il soulignant avoir sollicité une copie de la demande d’interpellation formulée par 8 députés.