Avec qui Jovenel Moïse discute-t-il pour trouver une solution à la crise ? 

Les appels au dialogue et les missions d’officiels américains dans le pays n’ont jusqu’ici donné aucun résultat. Cependant, une source bien placée à la Passerelle a confié au Nouvelliste que cette structure de la société civile se prépare à rencontrer le président de la République. La Commission de passation de pouvoir a, quant à elle, fait savoir au journal qu’il n’y a jamais eu de canal de dialogue entre Jovenel Moïse et cette structure de l’opposition.

Depuis la démission de quatre membres influents de la commission de dialogue qu’il avait formée en octobre dernier, Jovenel Moïse n’a jamais reconstitué cette structure qui avait pour mission de trouver « une solution concertée à la crise ».

Évans Paul, Jean Rodolphe Joazile, Sainphor Liné Balthazard et Josué Pierre-Louis, respectivement coordonnateur, porte-parole, secrétaire rapporteur et membre de la commission de dialogue du président de la République, avaient remis leur démission à la suite des déclarations du chef de l’État lors d’une conférence de presse tenue le 15 octobre 2019.

Le Nouvelliste a appris que le chef de l’État devait rencontrer la Passerelle sur la crise. Cette importante structure de la société civile devait d’abord envoyer au locataire du Palais national, le mois dernier, un document contenant la feuille de route du gouvernement de transition que propose l’opposition. Puisque les regroupements politiques impliqués dans le processus n’avaient pas finalisé à temps le document, la rencontre avec Jovenel Moïse avait été reportée, a expliqué au Nouvelliste un membre très influent de la Passerelle. « Il n’y a pas encore de date pour l’instant, mais la rencontre avec le président de la République est dans notre agenda… », a précisé notre contact.

Le mandat de la première commission mise en place par la Passerelle composée de Bernard Craan, Carole Demesmin, Castel Germeil, du Dr Sofia Loréus, du Dr Charles Manigat, Sabine Manigat et Lemète Zéphyr étant arrivé à terme, c’est à un comité de suivi de finaliser la rencontre avec le chef de l’État, a appris Le Nouvelliste.
Par ailleurs, la Commission de passation de pouvoir n'a pas, quant à elle, de rencontre prévue avec le chef de l’État dans son agenda. Cependant, le porte-parole de cette structure de l’Alternative consensuelle a fait savoir qu’il n’écarte pas la possibilité de rencontrer le président de la République. « Pour le moment, il n’y a aucun canal de dialogue entre le chef de l’État et nous », a affirmé Hugues Célestin.

Pour le moment, personne ne sait avec qui le chef de l’Etat discute pour trouver une solution à la crise.

 

GERER a vu le jour.
Gerer, c’est cette nouvelle structure que les participants au Panel du 10 décembre à Washington avaient dénoncé comme l’une de ces sempiternelles structures avec directeur nommé avec salaire important, _ frais de dépacements, Voiture de luxe, etc…etc…
A la tête de Gere, UDER ANTOINE ancient direceur executive du dernier Conseil électoral provisoire
GERE aura pour tâche de fournir un support technique à l’Unité de Lutte contre la Corruption, l’ULCC
C’est Mme Michèle Sison ambassadrice des USA en Haïti qui a présenté le nouveau venu au public, réjouissant ainsi tous les specialists des payrolls grassement ras de l’USAID qui attendant déjà écrit le Nouvelliste ordinateurs, véhicules, frais et séminaires à gogo.
Et pour revenir à ce que Mme Emmanuele Duyon de Nou Pap domi avait declare lors du panel du 10 decembre à Washington: “ Si jamais le gouvernement américain accepte de mettre de l’argent dans un tel programme, ce sera un gâchis monumental.
Notre perception a expliqué l’une des personnalités invitées est que l’ambassade américaine soutient JOVENEL MOISE et ne semble pas du tout intéressée à ce que le procès Petro Caribe ait lieu un jour.

 

Cette semaine, un fait important a eu lieu. Cela fait très longtemps qu’il n’y avait eu un HEARING sur Haiti à Washington:
Le Comité des Affaires Etrangères de la Chambre des Députés, le HOUSE FOREING AFFAIRS COMMITTEE recevait le 10 décembre des personnalités haïtiennes pour leur poser des questions concernant la crise en Haïti, l’attitude du gouvernement américain et de l’ambassade américaine concernant la situation tragique dans laquelle vit le peuple haïtien, depuis on pourrait dire JILLET 2018, avec une accélération depuis le 15 Septembre dernier, avec le début de PEYI LOCK.
Toutes sortes de questions ont été posées.
On a eu l’impression que au fond, ces députés présents savaient pertinemment quelle était la situation en Haïti.
Mais les invites à ce panel: Pierre Espérance de RNDDH, Directeur exécutif de Haitian National Human Rights Defense Network
Ms Emanuela Douyon de Nu Pap Dòmi,
Daniel Erikson Managing Director Blue Star Strategies,
Ms Léonie Hermantin représentant la diaspora haïtienne,
Antonio Garratazu, Directeur Régional Latin America and the Caribbean International Republican Institute.
Les réponses du Pannel aux questions ont été très franches et c’était important de decrire la situation telle qu’elle est, de dire ce qu’était cette crise et surtout d’expliquer comment il n’y avait vraiment aucun moynen de dialoguer avec le président Jovenel Moïse qui est un inculpé et qui ne peut en aucun cas s’asseoir à la même table que ceux, c’est à dire la quasi totalité de la population qui demande qu’il démissionne.
Très peu de choses ont été laissées de côté…
Les hautes personnalités impliquées dans des scandales de corruption, l’abandon de la population qui meurt de faim, n‘a pas d’eau potable, ne peut envoyer ses enfants à l’école…les massacres impliquant des gangs comme celui de Jimy Chérisier impliqué dans le MASSACRE de La Saline , un gang qui continue à sévir, à voler, à tuer,. Sans qu’il n’y ait eu la moindre inculpation, sans qu’il n’y ait eu la moindre personne à avoir été appelée à se présenter devant la justice. Non
Jamais.
Le gouvernement a choisi de bloquer tous les dossiers de justice concernant le massacre de la Saline. Aucun mandat n’a été décerné concernant ce massacre de La Saline.
Question suivante: Et l’ambassade américaine dans tout ça? Comment le peuple haïtien perçoit ce que fait l’Ambassade Américaine ?
Réponse de 2017 à aujourd’hui, l’Ambassade a donné une aide totale au gouvernement haïtien. Depuis quelque temps, on peut même dire que les autorités américaines exercent une certaine pression sur ceux qui manifestent contre le régime en place. On enlève les visas par exemple ou bien on menace de leur enlever des visas, alors que les visas de ceux impliqués dans le “money landering” , le blanchiement d’argent ne sont pas le moins du monde menacés d’être enlevés.
On en vient à parler d’un programme à l’ordre du jour, celui de l’OEA et de l’Ambassade américaine un programme pour lutter contre la Corruption. “ Si jamais le gouvernement américain accepte de mettre de l’argent dans un tel programme, ce sera un gâchis monumental.
Notre perception a expliqué l’une des personnalités invitées est que l’ambassade américaine soutient JOVENEL MOISE et ne semble pas du tout intéressée à ce que le procès Petro Caribe ait lieu un jour.
Le gouvernement est corrompu, ça tout le monde le sait. Tous les gens qu’il engagent sont soupçonnés de corruption.

C’était présenté par Mélodie FM, quelques uns des points soulevés à la U.S.HOUSE OF REPRESENTATIVES COMMITTEE on FOREIGN AFFAIRS. À l’occasion d’un Hearing:
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Haiti on the Brink:
Assessing US. Policy Toward a Coutry in Crisis.

DOSSIER INSECURITE:
Haïti standard, le 12 décembre 2019.- Le porte-parole de la Police nationale d'Haïti (PNH), Michel-Ange Louis Jeune informe de l'arrestation, à l'aéroport international Toussaint Louverture, à Port-au-Prince, d'un présumé chef de gang canadien identifié sous le nom de Levesque Richard Joseph. Ce dernier avait pour objectif d'instaurer en Haïti une branche de ce gang vieil de plusieurs décennies, a déclaré le commissaire Michel-Ange Louis Jeune qui intervenait ce matin (12 décembre) sur les ondes de radio Caraïbe.

Haïti standard, le 11 décembre 2019.-La secrétaire exécutive de la la Fondation je klere, Marie Yolène Gilles informe qu’elle a visité, le 11 décembre, l’activiste politique connu sous le nom de Arnel Bélizaire écroué dans l’un des centres de détention de la zone métropolitaine.
Selon la militante des droits de l’homme, l’objectif de cette visite était de s’informer sur l’état de santé de l’ex parlementaire et de ses accolytes ainsi que les traitements infligés aux détenus.

Arnel Bélizaire a critiqué, selon Marie Yolène Gilles, une perquisition réalisée à son hôtel, dans ledit département, sans la présence d’un juge de paix. Les agents qui ont réalisé cette perquisition ont saccagé plusieurs portes de l’hôtel et emporté cinq (5) millions de gourdes qui étaient destinées au payroll des travailleurs, a rapporté la secrétaire exécutive de la Fondation je klere qui citait les propos de Arnel Bélizaire.

TOUJOURS INSECURITE: L’ETAT ANNONCE UNE SERIE DE MESURES POUR LUTTER CONTRE L’INSECURITE DANS LE PAYS.
( Haiti Libre)

Présence policière dans la zone métropoliaie et dans d’autres reegions du pays.
Le Corps d’Intervention et de maitien de l’orde (CIMO) et l’Unifé Départementale de maintien de l’Ordre 9UDMO) sont positionnés de façon permanente sur la route Nationale No 2 entre chalon et Petit goâve, et sur la route Natonale No 1 entre Cabaret et Arcahaie, afin de preevenir des actes de banditisme.
Mesures de renforcement dans les zones frontalières pour utter contre la contrebande d’armes et de munitins sur le tritore
Concernant ls activtés des gangs, Ronsard St Cyr et Eddy Jckson Alxi ont iiqué que ls autorités concernées détenaient des informations sur des groups d’individus armés afin de prcéder à leur arrestation au moment opportune
Quant à l’insécurité croissant au bicentenaire et ses environs st cyr s’est liité à dire que ls autorités plicières continuaient de dzeefinir des strategies pour reetablir l’ordre public.

ET POUR TERMINER, NOUS VOUS PROPOSONS DE REVENIR ENCORE A LA SÉANCE QUI A EU LIEU LE 10 DECEMBRE DERNIER AU CONGRES AMERICAIN.

Devant le congrès américain, Pierre Espérance a démontré les liens entre les autorités et les gangs armés en Haïti.
« Je milite dans le secteur des droits humains depuis 30 ans en Haïti. Ce que nous vivons en Haïti, depuis trois ans, nous ne l’avons jamais vécu auparavant », s’ plus de 180 personnes ont été tuées depuis le début de la crise.
Invité par la sous-commission des Affaires Hémisphériques, Sécurité Civile et Commerciale de la Chambre des Représentants des États-Unis, qui voulait réaliser une évaluation de la politique américaine en Haïti, le militant des droits humains a affirmé que le système judiciaire est pris en otage et est handicapé par l’Exécutif et les parlementaires.
Il a aussi exprimé ses regrets concernant les actions inefficaces de l’USAID et du soutien accordé par l’ambassade américaine au pouvoir en place, au détriment des revendications populaires.