27 Novembre La Revue
Cette semaine est celle du 25 Novembre.
25 Novembre Journée Internationale contre les iolences exercées contre les femmes.
PARTOUT à TRAVERS LE MONDE LE 25 Novembre devient un symbole de lutte des femmes contre cette violence exercée le plus souvent par les conjoints de ces femmes victimes.
Avec le Confinement dû au COVID 19 cette violence semble s’être accrue et il y a eu un nombre très élevé de femmes à être tombées victime sous les coups de leurs conjoints.
Plusieurs grandes chaines de télévision ont consacré des emissions spéciales à ce problème.
On ne parle plus de JOURNEE CONTRE LA VIOLENCE CONTRE LES FEMMES, MAIS PLUTOT DE HUITAINE CONTRE LA VIOLENCE contre les femmes. DONC DU 25 NOVEMBRE AU 5 DECEMBRE.
Et puis un nouveau tere fait so apparition: c’est celui de féminicide pour designer ces assassinats, ces blessures, ces coups que reçoivent les femmes
Chez nous en Haïti, il y a eu cette émission speciale au cours de laquelle, on a pu éouter la sociologue Danièle Magloire rappelant comment les femmes qui ont eu le courage de porter plainte contre un homme les ayant aggressé sur leur lieux de travail, sont celles qui ont été renvoyées, expulsées, chassées – elle rapelle le cas de cett journaliste de la television Nationale. Et puis l’avocate Me Diliah Lemaire rappelant que nous avons une société d’obédience patriarcale .
C’est une violence, dit Maitre Lemaire qui est
Intégrée à l’intérieur de certains hommes. Elle rappelled l’un des cas les plus récents: Celui de l’écolière Evelyne Sincère.
Kidnappée, Violée, Assassinée et jetée au dessus des fatras dans un terrain vide.
Et l’économie ne change rien vis à vis de la violence faite aux femmes. Toutes les études qui ont été faites, montrent que la violence contre les femmes se recontre dans toutes les couches sociales.
Et Danièle Magloire d’enchainer: Nous avons eu un président de la république qui faisait des appels au viol…
Et on ne voit pas des intellectuels se prononcer sur cette question.
Et puis Haiti Standard publie ce pladoyer en faveur des femmes et filles des quartiers défavorisés.
Un extrait de ce pladoyer:
Plus que toutes les autres catégories de la population haïtienne, les femmes et filles des quartiers de la saline, Bel-Air, Cité soleil, Pont rouge, Martissant, La fossette, La savane et autres, subissent davantage de violences conjugales, d’agressions sexuelles et de graves abus des droits de l’homme perpétrés par les bandes armées qui terrorisent la population. Le quotidien des « madan-sara », des petites marchandes, des écolières issues des quartiers populaires est parsemé de vol, de viol, d’enlèvement contre rançons, de chantage, braquage, de peur, stress et pression psychologique dus aux actes de banditisme et d’insécurité qui les touchent particulièrement. Ce padoyer est présenté par :
L’organisation dénommée Combite pour la paix et le développement (CPD)
L’ACTUALITE, CETTE SEMAINE EST MARQUEE PAR LES NOMBREUSES ARRESTATIONS DE LA PNH QUI S’EST MISE SERIEUSEMET A LA POURSUITE DES BANDITS:
- Deux presumes voleurs abattus par la POLIce à DELAMS 75. (Haiti standard)
- Kidnappeur arête à Jacmel, dans le quartier de Meyer. Il s’agit de Charlot
Samba Revolusyonè Un policier bandit.
- SIX VOLEURS DE BETAIL tués par la population de Léogane. C’est un article du Foridien reproduit Haiti Libre et où on lit ceci : Alors que l’insécurité ne cesse de croître en Haïti, la population s’est résignée à ne compter que sur elle-même pour se défendre contre les malfrats, d’autant plus que la Police Nationale D’Haïti (PNH) est manifestement incapable de jouer pleinement son rôle dans la protection des personnes et de leurs biens. Ainsi, d’après des informations rapportées par nos confrères d’Haïti-Libre, des paysans de Léogâne ont dû recourir aux machettes pour faire face à des voleurs de bœufs. Ces derniers avaient pour habitude de débarquer dans des véhicules motorisés en pleine nuit, d’abattre le bétail, de le dépecer sur place et d’emporter la viande en ne laissant derrière eux que les carcasses.
Mais la nuit du 22 novembre, les paysans de la section communale 3ème Petite Rivière ne l’entendaient pas de cette oreille. Mieux organisés et armés de machettes et de gourdins, ils attendaient de pied ferme l’arrivée des malfrats. Pour une fois, ces derniers sont tombés sur plus fort qu’eux. 6 voleurs ont ainsi été éliminés à coup de machettes, avant que leurs corps ne soient brûlés sous le regard revanchard des paysans qui sont devenus ce soir-là leurs bourreaux. Les voleurs de bétail sont dorénavant prévenus!
EST-ce LA RAISON POUR LAQUELLE LE NOUVEAU DIRECTEUR GENERAL DE LA PNH a été cite à comparaitre au Tribunal ?
Le quotidien Le National consacre un article à a question:
Après les violences policières enregistrées dans la manifestation de l’une des branches de l’opposition le 18 Noembre dernier des organisaeurs ont décidé de porter plainte contre le nouveau directeur a.i. de la PNH, Léon Charles et des policiers présents sur les lieux Ainsi, les accusés sont cités à comparaitre par devant la
Chambre d’Instruction Criminelle du tribunal de première instance de Port-au-Prince.
LU DANS HPN
DESACCORD AU SEIN DE LA PNH
En conférence de presse mercredi, les membres du Syndicat de la Police Nationale d’Haïti (SPNH-17) ont dénoncé ce qu’ils appellent la « militarisation » du Haut-Commandement de la Police Nationale. Ils exigent également la dépolitisation de l’institution.
Alors qu’il est lui aussi un ancien militaire, le retour de Léon Charles, qui avait déjà dirigé la police entre 2004 et 2005, a fait des heureux parmi ses anciens frères d’armes, soutient la secrétaire générale du SPNH-17, Wedna Civil.
Elle informe que la plupart des changements qui ont été opérés au niveau du Haut-Commandement de la PNH ont favorisé des anciens militaires. Elle parle d’ailleurs de changements ne respectant pas les règlements de l’institution.
Pour sa part, le porte-parole du SPNH-17, Abelson Gros-Nègre, plaide en faveur de la dépolitisation de l’institution policière. Nous avons besoin d’une police professionnelle, proche de la population, a dit l’agent révoqué et dont les membres du SPNH-17 exigent la réintégration.
S’agissant des citoyens se réclamant du groupe « Fantôme 509 » constitué, disent-ils, de policiers qui généralement organisent des manifestations violentes et dont la dernière a été marquée par l’incendie d’une dizaine de véhicules immatriculés « Service de l’État », Abelson Gros-Nègre estime qu’ils sont des « victimes du système ».
JUSTICE
LE BINUH réclame une enquête approfondie dans l’affaire Dadou Jean Bart
Après les États-Unis, à travers leur ambassade en Haïti, c’est au tour du Bureau intégré des Nations Unies en Haïti (BINUH) d’exprimer son insatisfaction par rapport à la décision du juge d’instruction, Emilio Accimé, de blanchir Yves Jean Bart de tout soupçon en ce qui a trait au scandale d’abus sexuel dans lequel son nom est cité.
À la veille du lancement de la campagne 2020 des 16 jours d’activisme contre la violence basée sur le genre, le BINUH a exprimé sa préoccupation, dans une note de presse, quant à l’ordonnance de non-lieu rendue par la justice haïtienne dans le dossier d’abus de pouvoir et d’agression sexuelle qu’aurait perpétré l’ancien Président de la Fédération Haïtienne de Football, Yves Jean-Bart, sur des jeunes joueuses de football, dont des mineures.
Le BINUH considère que les éléments de ce dossier sont très inquiétants et demande qu’un processus judiciaire indépendant et complet soit mené afin que les victimes présumées obtiennent justice. Considérant qu’il faut mettre frein à l’impunité en matière d’abus sexuels, le BINUH salue les sanctions adoptées par le comité d’éthique de la FIFA dans ce dossier et appelle les autorités haïtiennes à garantir la sécurité des présumées victimes, ainsi que leur droit à obtenir réparation.
Hpn
après la FIFA, Yves Jean-Bart est radié des “hotels luxueux” de Port-au-Prince
Par
Haiti Standard
-
26/11/2020
5740
L’ancien président de la Fédération haïtienne de football (FHF), Yves (Dadou) Jean-Bart a été radié des “hotels luxueux” de Port-au-Prince suite à la décision de la Fédération internationale de football association (FIFA) de bannir à vie du football l’ancien numéro un de la FHF, a-t-on appris à la rédaction de Haïti standard.
Selon des informations recueillies par notre rédaction de sources dignes de confiance, les administrations de plusieurs “hôtels luxueux” de Port-au-Prince ont interdit l’accès à leur espace de conférence au Président directeur général (PDG) de la radio télévision Galaxie.
Haiti 24
Jovenel Moïse veut d’une administration publique moderne avant son départ.
Le président de la République, Jovenel Moïse, a pris part au forum des directeurs généraux déroulé au Centre de Convention de la Banque de la République d’Haïti (BRH), ce jeudi.
Dans son discours de coup d’envoi, le chef de l’Etat a exprimé ses préoccupations par rapport au mode de fonctionnement de l’Administration publique haïtienne en plein 21e siècle. Le locataire du Palais national a déploré le fait que des transactions ne peuvent se faire à distance, au moyen de la technologie.
«Pourquoi faut-il se déplacer pour payer un service de la DGI, un bordereau de la douane, ou pour faire une transaction bancaire?», s’est questionné le chef de l’Etat, qui invite les autorités compétentes à agir en ce sens. Jovenel Moïse croit que la numérisation de l’administration publique permettra de gagner du temps et de réduire la corruption.
D’un autre côté, le premier citoyen de la Nation s’est offert un satisfecit par rapport à des décisions de son administration qui, selon lui, cadrent avec la bonne gouvernance. Son projet d’électrification s’inscrit dans la démarche de modernisation de l’Administration publique, aux dires de M. Moïse.
Le chef de l’Etat a aussi plaidé en faveur d’une administration publique qui offre les services à la population dans les meilleures conditions. En ce sens, il croit que les contribuables doivent répondre à leurs obligations fiscales.
«Il ne doit pas y avoir de privillégiés devant le fisc», a exigé le chef de l’Etat. M. Moïse a donc demandé aux autorités compétentes de faire de l’évasion fiscale et de la fraude des crimes punis par la loi.
LE NOUVELLISTE
Entourée de cinq gangs armés qui s'affrontent régulièrement, la mission de l’Union évangélique baptiste d’Haïti (UEBH) est contrainte d’abandonner son mystique quartier général situé dans les hauteurs de Martissant. Après plus de 78 ans dans cette zone totalement contrôlée par des groupes armés, le STEP et le Collège évangélique Maranatha plient bagage….
Situés dans l’un des rares espaces verdoyants de Port-au-Prince, les locaux de la mission de l’Union évangélique baptiste d’Haïti (UEBH) dans la zone de Bolosse sont actuellement contrôlés par des gangs armés. « Face à l’évolution de la situation dans la zone surtout ces derniers jours, l’UEBH se trouve dans l’obligation de stopper toutes ses activités sur le campus de Bolosse », a annoncé mardi en conférence de presse, avec amertume, le Dr Jacques Louis, président de l’UEBH.
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MORT DE DIEGO MARADONA
Trois jours de deuil national décrétés par l‘Argentine
L'icône du football argentin Diego Maradona a été enterré jeudi vers 20H00 (23H00 GMT) lors d'une cérémonie familiale privée dans un cimetière de Buenos Aires, à l'issue d'une journée où des milliers de fans lui ont rendu un dernier hommage, selon les images de la télévision argentine.
Le corbillard transportant le cercueil recouvert du drapeau argentin avait quitté le palais présidentiel en fin de journée, salué par des milliers de personnes le long des routes avant que le cercueil ne soit mis en terre dans un caveau familial.